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Koyaanisqatsi, pandémonium, ou le manifeste du rien

par Patrice Faubert

Publie le Viernes 1ro de marzo de 2013 par Patrice Faubert - Open-Publishing

" Celui dont on a confisqué le corps et auquel on laisse la faculté de penser à son gré, est cent fois plus libre que celui dont on tient l’ âme captive aux chaînes d’une occupation odieuse. allez, Messieurs, dans toutes les actions qui vous paraissent les plus généreuses, il n’y a que l’ égoïsme. "

Mon oncle Benjamin ( Claude Tillier, 1801-1844 )

1915 - 1916
Phosgène, ypérite, chlorine liquide
Du criminel de guerre
Prix Nobel de chimie 1919 , feu (1868-1934) Fritz Haber
Puis le premier neurotoxique
De feu (1903-1990 ) Gerhard Schrader
Le tabun, en 1936, toujours l’enfer
En 1961, au Vietnam, premiers défiolants
Les américains avaient les nerfs
Leurs militaires sont des méchants
Mais déjà, en 1155
Feu (1122-1190) Frédéric Barberousse, vraiment dément
De la ville de Tortona, s’imposa violemment
Par des cadavres pesteux, lancés et lobés
Des murs de Caffa et de sa cité
Puis encore, vint la psychopharmacologie
Pour formater les populations
C’est plus efficace, c’est de la chimie
Avec les neuroleptiques, tranquillisants, plus de révolution
Largactil (1952) et Equanyl
Librium et valium (1958)
Puis l’industrie de la tranquillisation
En fit une révolution
Des pilules pour supporter l’insupportable
D’un monde devenu invivable !
Des cachets pour tolérer son voisin
Avec lequel plus aucun lien
Les pauvres sont des esclaves
Les riches de leur sang, se lavent
Prostitution, gangstérisme, corruption
Du monde politique au Vatican, et absolution
Une totale protection pour tous ces gens !
Qui font et défont les lois
Et le peuple complice, ignorant, soumis et manipulé
Pour cette mafia, toujours prêt à voter !
Il a son football, nouvel opium du peuple
Des vedettes spectaculaires, pour le faire saliver
Des feuilletons, des films, des jeux, des documentaires, pour faire rêver
Et ainsi, la misère qui se fait oublier
Comme les pires atrocités, mémoricide
De feu (1835-1909) Léopold 2 de Belgique
Et toute sa sinistre clique
Qui extermina des millions d’humains du Congo
Mains coupées, femmes abusées, et tout le lot
Et c’est aussi complètement oublié !
Populicide et génocide, devenant une façon de gouverner
Toutes les cultures
Sont issues des bourgeoisies
Tous les arts et leurs parures
A la vie, cherchent des noises
Nous prenons des poses
Nous voulons être quelque chose
Nous sommes le bruit du vide
Car ce que nous faisons, c’est de la ride
Moi, je ne suis rien
Mais, je ne veux être rien
Tout ce que l’être humain
Touche, cela fait du vilain
Tout ce qui se veut quelque chose
Tout ce qui fait sa dose
Peintre, poète, comédien
Savant, musicien, écrivain
Est une hiérarchie monstrueuse
Est une autorité menteuse
Cela justifie toutes les inégalités
Cela interdit la fraternité
Les artistes sont au service
De toutes les bourgeoisies
La vie, invalide les milices
Censées représenter ce qu’elle vit
La plupart des humains
Sont bornés, fanatiques, se croient malins
Pourtant, savoir que l’on ne sait rien
Que tout gouvernement ne vaut rien
C’est cela la révolution
De l’encéphale en pleine mutation
Plus d’artistes, de savants, d’illusionnistes
La drogue des bourgeoisies hédonistes
Et puis
Celui qui croit savoir
Et qui ne sait rien
Et veut vous imposer son ignorance
Avec plein de suffisance
Nous en connaissons
Tout un tas, hommes et femmes
Jeunesse, vieillesse, tout un drame
Cela se prend au sérieux
Et c’est ainsi, toujours ennuyeux
C’est la solidarité des prétentieux
Il suffit de voir le personnel politique
Qui roule des mécaniques
Et la fausse contestation aveuglée
Qui n’aspire qu’à les remplacer
L’égo nous tient en laisse
Sans lui, personne ne nous blesse
Le fascisme est dans nos têtes
Le stalinisme est dans nos fêtes
Mais pour ébaubir, je ne suis pas aigri
Et le peu dont je jouis, je l’apprécie !
La présomption de culpabilité
Est comme un dépôt de mendicité
Il n’y a pas d’innocence, dans notre société !
Après le carnet d’anthropométrie
Voici la puce électronique, qui partout nous suit
En 1895, surgit le mot clochard
Cloche, maladroit, parfois pochard
Maintenant ce sont des sans domicile fixe
Les noms changent, mais la rue, le risque
La vieillesse qui s’accélère
La misère toujours délétère
La misère rend méchant
La misère ne rend pas intelligent
Et comme la richesse
Rend crétin, sourd à la détresse
Et comme la richesse
Rend débile, obsédé par les fesses
C’est mal parti, c’est la folie
Et vive le retour à la bougie
Et à l’ancienne technologie
Vivre longtemps, dans un monde de médiocrité
Pourquoi faire? tout y est absurdité !
Déjà, il faudrait se débarrasser
De tous les députés
De tous les journalistes
De tous les intellectuels
De tous les artistes
De tous les trucs en iste
Car dans une sotte société
Il n’y a que des sots métiers
Se défaire de l’extrême gauche
De la droite, de l’extrême droite, de l’extrême gauche
Mais nous ne voulons pas de révolution
Aussi, jamais, nous ne le faisons !
Le capitalisme affame les populations
Le capitalisme est une maladie
C’est le permanent massacre, de toutes façons
Le massacre de la fraternité
Le massacre de la liberté
Le massacre de l’égalité
Seule la conscience d’une vraie révolution
Est la révolution de la conscience
L’information spectaculaire, c’est toujours la même chose
Cela sert toujours la même cause !
Toujours les sempiternels bobards
Au bon service des richards
Les gens qui ne se veulent rien
Eux, ont compris, je les aime bien
A l’humanité, ils veulent le bien
Car ce que nous savons, ne vaut rien !
Les gens qui se veulent quelque chose
N’ont rien compris, ne prennent aucune pause
De toutes choses, ils font des doses
Faire le mal est leur cause !

Patrice Faubert (2013) puète, peuète, pouète, paraphysicien, Pat dit l’invité sur "hiway.fr"

"Aquel cuyo cadáver fue confiscado y que permitió la capacidad de pensar a su entera discreción, es cien veces más libre que el que tiene las cadenas alma cautiva ocupación odiosa. Going, señores, en todas las acciones que cree que son más generosos, no es que el egoísmo. "

Mi tío Benjamin (Claude Tillier, 1801-1844)

1915 - 1916
El fosgeno, gas mostaza, el cloro líquido
El criminal de Guerra
Premio Nobel de Química en 1919, el fuego (1868-1934) Fritz Haber
Entonces, el primer nervio
Fuego (1903-1990) Gerhard Schrader
Tabun en 1936, todavía infierno
En 1961, Vietnam, défiolants primera
Los norteamericanos tenían los nervios
Sus soldados son malos
Pero ya en 1155
Fuego (1122-1190) Federico Barbarroja, muy enojado
La ciudad de Tortona, es violentamente impuesta
Por cadáveres peste, puesto en marcha y lobuladas
Paredes de Caffa y su ciudad
Luego vino otra vez Psicofarmacología
Para dar formato a las poblaciones
Esto es más eficiente, es química
Con neurolépticos, tranquilizantes, más revolución
Largactil (1952) y Equanyl
Librium y Valium (1958)
A continuación, la cámara de industria
Hicimos una revolución en
Pastillas para soportar lo insoportable
Un mundo se hizo insoportable!
Sellos de tolerar su vecino
Lo que no está vinculada con
Los pobres son esclavos
Los ricos por su sangre, lave
La prostitución, el gangsterismo, la corrupción
El mundo de la política, en el Vaticano, y la absolución
Protección total para toda esa gente!
Quienes hacen y deshacen las leyes
Y los cómplices, ignorante y manipulado bajo
Por esta mafia, siempre dispuesto a votar!
Es el fútbol, ​​nuevo opio del pueblo
Celebridades espectaculares a salivar
Seriales, películas, juegos, documentales, sueñan con
Y así, la miseria que se olvida
En el peor de los memoricidio atrocidades
Fuego (1835-1909) Leopoldo de Bélgica 2
Y toda su camarilla siniestra
¿Quién exterminó a millones de personas de Congo
Las manos cortadas, las mujeres maltratadas, y la totalidad del lote
Y también se olvidó por completo!
Populicide y el genocidio, convirtiéndose en una forma de gobernar
Todas las culturas
Se derivan de la burguesía
Todas las artes y ornamentos
Una vida, buscar ruidos
Nos plantea
Queremos ser algo
Nosotros ruido vacío
Porque lo que hacemos es montar
Yo no soy nada
Pero yo no quiero ser nada
Todo lo que los seres humanos
Key, que hace que el feo
Cualquier cosa que quiere algo
Todo lo que hace su dosis
Pintor, poeta, actor
Académico, músico, escritor
La jerarquía es un monstruoso
La autoridad es un mentiroso
Esto justifica todas las desigualdades
Esto impide que la hermandad
Artistas servir
Todas las burguesías
Vida válidos milicias
Se supone que representan lo que vio
La mayoría de los seres humanos
¿Está acotado, fanáticos, piensa inteligente
Sin embargo, a sabiendas de que no sabemos nada
Que cualquier gobierno no sirve para nada
Esta es la revolución
Del cerebro cambiando
Más artistas, científicos, ilusionistas
Burguesías droga hedonista
Y luego
Quien entiende
¿Y quién no sabe nada
Y quiere imponer su ignorancia
Con aire satisfecho
Sabemos
A muchos hombres y mujeres
Juventud, la vejez, un drama
Esto es serio
Y esto sigue siendo aburrido
Esta es la solidaridad de pretencioso
Basta con mirar el personal político
Mecánica del balanceo
Y reto falso ciego
Que busca reemplazar
El ego nos hace salir
Sin ella, nadie resultó herido
El fascismo está en nuestras cabezas
El estalinismo es en nuestras celebraciones
Ébaubir pero no estoy amargado
Y lo poco que me gusta, te lo agradezco!
Presunción de culpabilidad
Es como una casa de trabajo
No hay inocencia en nuestra sociedad!
Después de la antropometría libro
Aquí está el chip que nos sigue a todas partes
En 1895 se levanta la palabra vagabundo
Bell, torpe, a veces borracho
Ahora están sin hogar
Los nombres cambian, pero la calle, el riesgo
Que acelera el envejecimiento
La miseria siempre perjudicial
La miseria hace perverso
La miseria no inteligente
Y a medida que la riqueza
Hace idiota, sordo a la difícil situación
Y a medida que la riqueza
Hace estúpido, obsesionados por las nalgas
Es parte equivocada, es una locura
Y regreso animado a la vela
Y la vieja tecnología
Larga vida en un mundo de mediocridad
¿Por qué? todo es una tontería!
Ya, él debe deshacerse
De todos los miembros
Todos los periodistas
Todos intelectual
Todos los artistas
Todas las cosas ista
Porque en una sociedad estúpida
No hay oficios tontos
Deshágase de la extrema izquierda
La derecha, la extrema derecha, la extrema izquierda
Pero no queremos revolución
Además, nunca, lo hacemos!
Capitalismo hambrientas poblaciones
El capitalismo es una enfermedad
Esta es la masacre permanente, de todos modos
La masacre de la hermandad
La masacre de la libertad
La masacre de la igualdad
Sólo la conciencia de una revolución
¿Es la revolución de la conciencia
Información espectacular, siempre es la misma cosa
Siempre es la misma causa!
Siempre la mierda sin fin
El buen servicio de los ricos
Las personas que no quieren
Han comprendido, me gusta
A la humanidad, que quieren una buena
Como sabemos, no está bien!
Las personas que quieren algo
No entiendo, no se rompen
De todas las cosas, las dosis
Si lo hace mal es su causa!

Patrice Faubert (2013) puète, peuète, pouète, paraphysicien, Pat dijo el invitado en "hiway.fr"