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10000 otages dans les prisons d’Israël / nadi al asir al falestini sur www.campuslille.com

Publie le mardi 19 septembre 2006 par Open-Publishing

CE MERCREDI 20 SEPTEMBRE 2006

A 18H30

"C’EST L’HEURE DE L’METTRE"

sur RADIO CAMPUS Lille 106,6

en direct sur www.campuslille.com

(en archives pendant deux mois sur notre site)

Avec :

"1/4 d’heure en Palestine" : en direct de Palestine occupée, nous nous entretiendrons avec un responsable de NADI AL ASIR AL FALESTINI (Association de soutien aux prisonniers palestiniens).

Ci-dessous, quelques textes courts témoignent de la réalité de l’occupation. Par extension, ils témoignent aussi de l’impunité dont bénéficie l’Etat sioniste et de la complicité occidentale sans laquelle tout ce qui suit ne serait pas...

Addameer appelle à la libération de Manal et Nour
Une prisonnière palestinienne et son fils d’un an et demi

Léa Mathy
lun 04 avr 2005

Manal et son fils Nour

Ramallah - 21 mars 2005 : Addameer, une organisation pour les droits de l’Homme et de défense des prisonniers politiques, a lancé une campagne afin de demander au gouvernement israélien de libérer Manal Naji Mahmoud Ghanim, une prisonnière palestinienne de 29 ans et son enfant âgé d’un an et demi, tous deux détenus à Tulqarem depuis le 17 avril 2003 dans la prison de Telmond.

Manal, qui souffre de la thalassémie a été arrêtée alors qu’elle était enceinte. Emmenée de sa maison menottée, Manal a donné naissance à Nour dans un hôpital israélien.

L’administration pénitentiaire ne fournit, ni à Manal ni à Nour, les soins médicaux spécialisés dont ils ont besoin, et elle ne fournit pas non plus à Nour le lait dont il a besoin parce que sa mère n’est pas à même de l’allaiter.

Le 17 avril 2003, vers 3 heures du matin, l’armée israélienne a arrêté Manal, mère de trois enfants dont le plus âgé est en primaire, dans sa maison dans le camp de réfugiés de Tulqarem. Les soldats israéliens l’ont menottée, lui ont bandé les yeux et l’ont battue quand elle tâchait de les empêcher de s’attaquer à Majed, son fils de 4 ans. Les troupes israéliennes ont également dégradé le contenu de sa maison, confisqué tous les documents familiaux, les cartes d’identité, et les certificats. De plus, les soldats israéliens n’ont montré aucun mandat d’arrêt, et ils n’ont pas lu à Manal ses droits quand ils l’ont arrêtée.

“Nous assistons ici à une véritable crise humanitaire” a affirmé le directeur général de l’association Addameer.

Malgré le fait qu’elle souffre de thalassémie et que son enfant soit né derrière les barreaux d’une cellule, Manal, ses enfants (Niveen, Ihab et Majed) ainsi que son mari (6 personnes au total) souffrent au quotidien des conséquences terribles de son emprisonnement.

Majed, qui souffre de drépanocytose, une pathologie chronique apparentée à la thalassémie, a besoin de sa mère à ses cotés puisque sa maladie l’oblige à se rendre à l’hôpital tous les 10 jours.

En réalité, l’absence de Manal au foyer a, d’une certaine manière, également rendu sa famille prisonnière. En effet, ses enfants souffrent de troubles psychologiques sévères qui se manifestent par des troubles du comportement tels que la violence, la dépression, l’échec scolaire et l’agressivité. “Suite à la détention de Manal et de la reconnaissance de la juste cause de tous les prisonniers politiques palestiniens, nous vous invitons à vous joindre à nous et à la famille de Manal dans cette campagne de libération” a ajouté M. Jarrar.

En ce qui concerne les actions légales qui peuvent être entreprises au cours de cette campagne, Mahmoud Hassan recommande que le public signe une pétition qui sera envoyée au commandant militaire de l’armée israélienne qui, selon la législation militaire applicable dans les territoires palestiniens occupés, détient les compétences nécessaires (via un conseiller juridique) pour libérer Manal sur base de son état de santé dégradant et sur le traumatisme continu qu’elle subit en prison. En plus d’avoir mis au monde son enfant en prison, elle est forcée de le voir grandir derrière les barreaux. La souffrance de Manal est incommensurable puisqu’elle est séparée de force de ses autres enfants ainsi que de son mari.

La prisonnière à fait part de ses inquiétudes quant à la vie son enfant détenu. En effet, les militaires israéliens utilisent régulièrement des lances à eaux et du gaz lacrymogène contre les prisonnières palestiniennes. “Nour a besoin de lumière, de soleil, d’air frais, de jouets, et de tout ce dont il est privé derrière ses grandes portes fermées. Lorsqu’ils nous ont attaqué avec les lances à eau, je l’ai protéger contre ma poitrine et je me suis mise dans l’endroit le plus sûr de la cellule pour le protéger au mieux. J’espère que la campagne qu’a lancé Addameer, me permettra de réunir ma famille dès que possible” a confié Manal.

Shahnaz Saber Mudall, l’infirmière responsable des soins de Majed depuis 5 ans à l’hôpital du Dr Thabet à Tulkarem a affirmé “Majed était plein d’énergie avant l’arrestation de sa mère. Avant, il jouait et parlait tout le temps, comme tous les enfants. Mais depuis que sa mère est détenue, l’état de Majed se dégrade.”

A présent, il a besoin d’une transfusion sanguine presque tous les 2 jours, il fait une crise tous les 10 jours, il fait régulièrement de fortes fièvres, allant jusqu’à 40°C, il souffre de douleurs aiguës de l’estomac, du dos et des jambes ce qui oblige sa famille à l’hospitaliser pour des périodes de 5 jours consécutifs. Il refuse de rester à l’hôpital et demande de rentrer à la maison. Souvent, à la demande de sa famille, il est autorisé à quitter l’hôpital. De plus, son état de santé empire après chaque visite à la prison, ce qui oblige les médecins à lui interdire de rendre visite à sa mère.

Au cours d’une conférence de presse au Media Center, Mme Jarrar et l’avocat d’Addameer, Mahmoud Hassan, ont annoncé le lancement de la campagne. Le Dr Basahr Al Karmi a également expliqué la situation critique des patients atteints de thalassémie. Les enfants de Manal étaient présent lors de cette conférence de presse.
Addameer invite toutes les institutions ainsi que le public palestinien à participer à la campagne en envoyant des messages pour faire pression sur le gouvernement israélien et sur le Comité International de la Croix Rouge (CICR) pour la libération de Manal et de Nour.

De plus, Addameer appelle à l’envoi de messages de soutien à Manal dans la prison de Telmond Prison et pour le soutien de ses enfants au camp de réfugiés à Tulqarem.
Les messages peuvent transiter par le site Addameer. (http://www.addameer.org). La semaine prochaine, "Addameer" lancera une campagne partout dans les villes palestiniennes pour la collecte de signatures à l’aide d’une pétition pour la libération de Manal et de Nour. Addameer invite tous les Palestiniens, surtout les étudiants des universités et des écoles, à participer à cette campagne.

A l’occasion de la fête des Mères, les enfants de Manal lui ont écrit des lettres spéciales.
"Quand je te rends visite, Maman, je voudrais briser les vitres, enlever les barbelés de la clôture et te libérer" a écrit Ihab 9 ans. "Maman, nous avons amené des vêtements pour toi et des jouets pour Nour. Nous t’embrassons avec les doigts" a écrit Majed, le fils cadet.

Manal est une parmi les 7.500 prisonniers palestiniens soumis à des conditions d’emprisonnement très difficiles dans des prisons et des centres de détention israéliens.
Quelques 115 prisonnières politiques sont détenues dans les prisons de Telmond et de Neve Tertza.

Manal est une des deux prisonnières qui ont été arrêtées alors qu’elles étaient enceintes lors de cette Intifada, commencée en septembre 2000.

Mervat Taha, 21 ans, fut la première prisonnière enceinte palestinienne à accoucher dans une prison israélienne. L’administration pénitentiaire israélienne permet aux prisonnières d’élever leurs bébés en prison pendant 2 ans, ensuite elles sont obligées de les confier à leur famille hors de la prison.

Léa Mathy

EXTRAIT D’UN RAPPORT DE NADI AL ASIR AL FALESTINI / 05-06-06

Manal Ghanem, séparée de son fils Nour, toujours détenue

L’avocat de Nadi al-asir al-Filistini, Adel Khalayle, a rencontré le 3 juin
la prisonnière Manal Ghanem, qui a été séparée de son fils Nour. Manal avait
accouché , en prison, de son fils Nour, il y a près de trois ans. Une
campagne internationale initiée par le centre Addameer et d’autres
organismes palestiniens avait exigé la libération de Manal et de son fils,
étant donné que les trois autres enfants de Manal souffraient de l’absence
de leur mère, que Nour avait également besoin d’elle hors de la prison. Mais
le tribunal de l’occupant a rejeté à plusieurs reprises toute demande de
libération de Manal.

Manal Ghanem a déclaré que les forces de l’occupation l’ont transférée de la
prison de Telmond à la prison de Ramleh, le 26 avril dernier, pour la faire
suivre par des spécialistes en psychologie qui la prépareraient à la
séparation d’avec son fils. En réalité, déclare Manal, rien n’a été fait. Il
s’agissait d’un leurre. Le 10 mai, le tribunal militaire de la prison de
Ramleh s’est réuni. Le procureur a refusé de l’entendre et prêter attention
à ses arguments, qui montraient les dégâts psychologiques que Nour pouvait
subir s’il était séparé de sa mère. Elle affirme que le procureur s’est
contenté d’appliquer la loi sioniste, refusant tout argument humain. La loi
sioniste en effet autorise la mère à garder son enfant deux ans après sa
naissance.

Manal affirme qu’elle est angoissée et en colère à la fois. Le 11 mai, elle
a été transférée de nouveau à la prison de Telmond, où la situation se
dégrade de jour en jour. Depuis quatre mois, les cantines sont vides, et les
prisonnières sont obligées de se contenter des repas infestés de bestioles
que la direction des prisons leur donne. Mais la solidarité entre les
prisonnières reste importante : celles qui reçoivent un peu d’argent de
leurs familles partagent les maigres achats qu’elles font avec leurs
compagnes de cellules.

Dans la section 11 où se trouve Manal, les prisonnières sont au nombre de
59, chiffre important vu l’étroitesse du lieu, "où les toilettes n’ont pas
de pote, mais seul un rideau les sépare de la cellule, les fenêtres sont
constamment fermées par une plaque en métal, et les rats et cafards sont
disséminés dans toutes les sections".

D’autre part, l’avocat a rencontré la prisonnière Samah Khalil Ahmad
Abdallah, détenue dans la prison de Telmond. Elle a 17 ans et est arrêtée
depuis le 6 octobre 2004. Elle a été condamnée à deux ans et demi de prison.
Samah est malade, elle souffre de rhumatismes et de maux dans les jambes.
Elle n’est pas soignée.

Une prisonnière torturée lors de son interrogatoire à al-Moskobiyya

La prisonnière Fida’ Ahmad Abdallah, de la ville d’al-Quds, détenue depuis
le 11 février 2004, condamnée à trois ans et demi de prison et âgée de 30
ans a déclaré à l’avocat de Nadi al-Asir avoir été sauvagement torturée lors
de son interrogatoire dans le centre d’al-moskobiyya, les premiers jours de
son arrestation.
Témoignage de Fida’

"Le 11 février 2004, l’armée de l’occupation a encerclé l’immeuble avant
d’investir la maison. Les soldats ont réclamé les papiers d’identité, ils
avaient avec eux une photocopie de ma carte professionnelle, je travaillais
au Croissant Rouge. Ils ont ensuite fouillé ma chambre et m’ont annoncé que
j’étais arrêtée. Ils m’ont ensuit emmenée au centre Semiramis, près de ma
maison. Le médecin qui se trouvait avec eux m’a demandé si je souffrais
d’une maladie quelconque, puis ils m’ont attachée les mains à l’arrière, ont
bandé mes yeux et ont commencé à me photographier. Ils m’ont emmenée ensuite
dans une voiture militaire sur une longue distance. Tout au long de la
route, les soldats m’insultaient et me disaient des mots grossiers.

Nous sommes arrivés à al-Moskobiyya. J’ai été poussée dans une cellule, et
là ils m’ont fouillée. Ensuite, j’ai été emmenée au bureau des instructeurs,
il y en avait deux. Ces derniers m’ont annoncée où je me trouvais. J’ai été
interrogée pendant 23 jours de suite. J’ai été frappée, boxée sur la figure,
j’ai été mise en position de shabeh à genoux. Pendant toute la durée de
l’interrogatoire, je tombais par terre, tellement j’étais fatiguée. Les
instructeurs me demandaient de me mettre sur la pointe des pieds, ils
m’obligeaient à rester ainsi tout le temps. Je ne sentais plus mes jambes,
j’avais très mal, et j’ai encore mal aux jambes, depuis cette période.

Au début de l’interrogatoire, j’ai mené une grève de la faim, mais malgré
cela, ils m’apportaient à manger dans la cellule. Parfois, il se trouvait 11
instructeurs en même temps, l’un questionnait, l’autre frappait, un autre
criait, et les autres insultaient, pour m’obliger à avouer.

Les instructeurs utilisaient des liens en métal pour couper le passage du
sang. Ils me liaient les mains avec des menottes qu’ils fermaient au milieu
du bras, et ensuite l’instructeur faisait pression sur ces menottes pour
susciter une douleur insupportable. Ils me disaient que mes cris
atteindraient Bab al-Amoud (une des portes de la vieille ville d’al-Quds).
Ils ont utilisé cette méthode plusieurs fois le même jour, jusqu’à ce que ma
main gauche soit entièrement vidée de sang et que les battements de mon
coeur soient déréglés. Ils m’ont alors emmenée à l’infirmerie, m’ont obligée
à prendre des médicaments, alors que je n’avais rien avalé pendant toute la
journée.

Lors de l’interrogatoire, ils m’ont menacée d’arrêter les membres de la
famille, de jeter ma fille dans la rue. Ils me disaient : "ta fille va
mourir". Trois jours après le début de l’interrogatoire, ils ont amené mon
père, mais lui ont interdit de me parler. L’instructeur m’avait seulement
annoncé que mes parents étaient arrêtés, et si je n’avouais pas, ils
resteraient en prison.

Lors de la présence de mon père, j’ai annoncé aux instructeurs que leurs
méthodes ne servaient à rien, que je n’avouerai pas quelque chose que je
n’ai pas commis. Lorsqu’ils ont sorti mon père de la pièce, ils se sont mis
à me tabasser, sur tout le corps. L’un des instructeurs, dénommé Abu
Yussouf, m’a menacée de me briser la tête, disant que je suis têtue et qu’il
me presserait comme une orange.

Ensuite, ils m’ont descendu à la cellule. C’était une tombe, sombre, d’où se
dégageait une odeur insupportable. Le ventilateur soufflait à fond de l’air
glacé. J’étais frigorifiée. Ils m’ont alors menacée de me passer au
détecteur de mensonge. J’y suis passée cinq fois, et à chaque fois, le
résultat était que je mentais.

Lors de ma présence en cellule, le gardien entrait et me menaçait de coups.
Ils ont essayé plusieurs fois de me faire tomber sur les escaliers, ils
m’obligeaient à descendre les escaliers les yeux bandés et les mains
attachées. Ils me frappaient sur le dos. Ils m’ont fait également écouter
des voix de jeunes torturés. Tout cela, pour me faire avouer.
Lors de ma présence à al-Moskobiyya, le médecin de la Croix-Rouge n’est pas
venu. Seul un avocat est passé 10 jours après le début de l’interrogatoire.
Fida’ se trouve actuellement dans la prison de Telmond.

Femmes palestiniennes résistantes et prisonnières

L’arrestation des femmes palestiniennes s’est intensifiée ces derniers
temps. Le 5 juin 2006, 123 femmes sont détenues, dont 6 mineures et 21 mères
de famille. Elles sont détenues dans les prisons de Telmond et Ramleh.

Le 4 juin, l’avocat de Nadi al-Asir a réussi à obtenir une visite à la
prison de Telmond. Les prisonnières ont déclaré que les conditions de
détention sont insupportables et humiliantes, pour tout être humain.
Les prisonnières affirment que les cellules sont surpeuplées, les lits font
défaut, et plusieurs prisonnières sont obligées de coucher sur le sol.

Elles se sont plaintes de la prolifération des maladies de peau, à cause de
l’humidité et le refus de la direction de les soigner, d’autant plus que les
insectes et les cafards pullulent dans les cellules. Au cours des
récréations, elles ne sont pas protégées du soleil très fort, ce qui suscite
des maux de tête pour certaines. Elles sont interdites d’utiliser les
douches pendant la période de récréation.
Elles souffrent du manque de circulation de l’air frais dans les cellules,
et certaines souffrent d’une insuffisance respiratoire. Plusieurs femmes
souffrent d’une situation psychologique très dure. Elles affirment manquer
de vêtements et sous-vêtements, étant donné que leur nombre augmente et que
la direction refuse l’entrée de nouveaux colis de la part des familles.
Elles se sont plaintes des punitions collectives et individuelles que la
direction de la prison poursuit, pour les raisons les plus futiles, ainsi
que des fouilles provocatrices menées à chaque fois qu’elles sont obligées
de se déplacer.


Beaucoup d’enfants palestiniens dans la prison israélienne de Telmond sont exploités par "le travail obligatoire qu’ils doivent effectuer pendant huit heures contre quelques shekels", a révélé le Centre d’Information des Prisonniers.

L’un des enfants a fait une déclaration après sa libération. "L’Administration de la Prison a forcé tous les prisonniers de la prison de Telmond à travailler huit heures pour des salaires très bas".

Il a continué en disant : "Les soldats israéliens viennent dans les chambres à 7h et ils nous forcent à aller à sortir avec les pieds enchaînés". L’enfant a ajouté que son travail était d’emballer des cuillères en plastique dans des boîtes sous la garde des soldats.

Même des prisonniers politiques blessés sont forcés de travailler, selon le rapport publié vendredi à Naplouse. Un ancien prisonnier a déclaré : "J’avais un os cassé mais les soldats m’ont expulsé de ma cellule pour travailler, sans aucune considération envers ma douleur".

Il y a à peu près 375 Palestiniens dans la prison de Telmond, dont la plupart d’entre eux sont des enfants. Le Palestinien le plus âgé à Telmond a 22 ans. Les enfants qui travaillent reçoivent deux repas par jour ; 1 à 6 h et un à 23 h.

Les officiers des prisons israéliennes essayent également d’extraire aux enfants des informations au sujet des membres de la résistance armée et se lancent fréquemment dans des abus psychologiques.

Selon le Centre d’Information, il y a 200 enfants de moins de 16 ans dans les prisons israéliennes qui commencent à être soumis à certaines des pires formes d’exploitation et d’humiliation. Un total de 376 enfants palestiniens sont actuellement emprisonnés dans les prisons et les camps de détention israéliens.

Par IMEMC (International Middle East Media Center)
en français :Traduction : MG pour ISM www.palestinenet.org
en anglais Source : http://www.imemc.org/