Accueil > Appel intersyndical- Manifestons contre les licenciements et pour l’emploi (...)

Appel intersyndical- Manifestons contre les licenciements et pour l’emploi à Rennes, à Saint-Brieuc... le 23 novembre !

par La CGT BRETAGNE

Publie le jeudi 7 novembre 2013 par La CGT BRETAGNE - Open-Publishing
49 commentaires

M à J le 15 11 2013 : Selon "L’Huma’" ce jour : "Déjà sont décidées une manifestation des salariés d’Ille-et-Vilaine à Rennes, à 10h30, place de la Gare, et pour les salariés des Côtes-d’Armor, à Saint-Brieuc, à 10h30, place de la Liberté. Les manifestations pour les salariés du Finistère et du Morbihan se décideront dans les prochaines heures." ---- Manifestations à Rennes ET à Saint-Brieuc le 23 donc, et on attend "la suite" !

Le 23 novembre, agissons pour l’emploi !

Le contexte de l’emploi en Ille et Vilaine est une préoccupation majeure pour tous les salariés.

Pas une semaine ne se passe sans l’annonce d’un plan social, de suppressions de postes, de fermetures de sites,…

Ouest France, Parker, Conforama, Thyssen,… viennent compléter ces derniers jours, la liste déjà trop longue des restructurations et des suppressions d’emplois dans notre département.

C’est toute l’économie du département qui se trouve fragilisée.

Cette casse industrielle produit des effets collatéraux dans d’autres secteurs, à l’exemple des commerces et services dont certains annoncent déjà des difficultés d’activité.

Ce gâchis engendre colère, désespoir et mécontentement. C’est humain !

Cette détresse, qui n’est pas propre à l’Ille et Vilaine, est le signal d’alarme d’une situation qui n’a que trop duré, et pour laquelle le Gouvernement a une responsabilité majeure en agissant pour redonner confiance aux salariés, à ceux qui sont licenciés et tout comme ceux qui ont un emploi.

Cette situation n’est pas le fruit du hasard.

Les choix économiques et les stratégies des entreprises en sont les premiers responsables.

Ils visent en priorité à accroître de façon exponentielle le taux de rentabilité au détriment de l’investissement dans la modernisation de l’outil de travail, dans la Recherche et le Développement, dans les salaires et l’amélioration des conditions de travail.

Les politiques d’austérité, imposées par l’Europe, en rajoute à la situation de crise dont les conséquences sont déjà bien lourdes pour les salariés, les retraités, les demandeurs d’emplois.

Le cynisme du patronat qui en demande toujours plus et qui voudrait faire croire qu’il faut aller toujours plus loin dans la dérèglementation, pour soi-disant relancer l’emploi, est intolérable.

Ces dernières années, les dispositifs d’assouplissement et de flexibilité du droit du travail, entre autres, se sont multipliés alors que le chômage, lui, s’est envolé.

Combattre le fatalisme et la résignation.

A PSA La Janais, Alcatel, Renesas, Carl zeiss, Bonna Sabla, … des initiatives et des actions sont prises avec les salariés pour peser sur les décisions annoncées.

La CGT, dans son rôle de force de proposition, construit des alternatives crédibles pour maintenir les emplois et l’activité : à l’exemple du "Plan B" pour l’automobile en Ille et Vilaine, ou des projets de diversification de production chez Carl Zeiss à Fougères.

Encore faut-il que les propositions soient prises en compte par les directions et appuyées plus fortement par les pouvoirs publics.

Faire entendre les exigences

Le Gouvernement, les collectivités ne peuvent se contenter d’ouvrir le porte-monnaie pour accompagner la casse sociale.

Il faut 
Conditionner toute aide publique au respect de critères portant sur l’emploi, le maintien de l’activité, les politiques salariales dans l’entreprise.

Il faut 
Un droit de vote suspensif des représentants du personnel sur les plans de licenciements et les plans de restructuration, permettant la recherche et la construction de propositions alternatives aux licenciements.

Il faut 
Une loi contre les licenciements boursiers et pour la reprise des sites rentables, en cas de menace de fermeture.

Il faut 
Une gestion prévisionnelle des emplois qui ne soit pas une gestion prévisionnelle des suppressions d’emplois.

La CGT revendique aussi l’amélioration des conditions de travail, l’augmentation des salaires,…Plus d’emplois, de meilleurs salaires, c’est bon pour nos retraites !!!

TOUS ENSEMBLE, MASSIVEMENT,

Dans l’unité des organisations syndicales et des salariés

MANIFESTONS

SAMEDI 23 NOVEMBRE 2013
10H30 - PLACE DE LA GARE A RENNES

http://www.cgt35.fr/Samedi-23-novembre-2013.html


Interview de Françoise Le Loarer, CGT Bretagne "En Bretagne la CGT construit des réponses unitaires" - mercredi 6 novembre 2013 , par Frédéric Dayan

Françoise Le Loarer est l’un des dirigeantes de l’union régionale CGT de Bretagne. A l’occasion de sa participation aux travaux du comité confédéral national de la CGT nous lui avons demandé de faire le point sur les événements sociaux qui secouent sa région. Quelques jours après la manifestation de Carhaix, elle évoque la construction d’un front syndical pour peser dans les discussions en cours avec le gouvernement.

L’interview ici

http://www.cgt.fr/En-Bretagne-la-CGT-construit-des.html


RAPPEL : LE 23 NOVEMBRE A RENNES MANIFESTATION INTERSYNDICALE DES TRAVAILLEURS CONTRE LES LICENCIEMENTS ET POUR L’EMPLOI --- (a priori à 10h30 place de la Gare)

Rapprochez vous des organisations syndicales de vos entreprises ou locales en cas d’absence de syndicat ; l’occasion de se syndiquer pour être partie prenante !

Pour la CGT, VOIR CI-DESSOUS

CGT Ile et Vilaine (adresses et téléphones sur la droite)

CGT Morbihan (adresses et téléphones sur la droite)

CGT Côte d’Armor (adresses et téléphones sur la droite)

CGT Finistère (adresses et téléphones sur la droite)

#licenciements #emplois #bretagne #cgt #23nov #rennes #salaries

Messages

  • La CGT Bretagne a trouvé l’expression de "choc de clarification". Je la garde. Elle est bien vue.

    Oui, dans le combat de classe, il faut toujours apporter autant de clarté et de démocratie ouvrière que possible, si l’on veut espérer quelques succès pérennes.

    Oui l’organisation syndicale, aussi imparfaite soit-elle, est importante pour mener ces combats.

    Oui le 23 novembre il faudra être tous et toutes à Rennes.

    Oui, après le 23 novembre il faudra que la pression et le mouvement continuent.

    Oui, pour préparer Rennes, il faut investir les organisations syndicales, y apporter les revendications des salariés de votre entreprise. Préparez des cahiers de revendications, ils sont là nos cahiers de doléance !

    Oui les organisations syndicales sont les représentantes "naturelles" des intérêts des salariés, comme jamais la FNSEA et le MEDEF ou l’UMPFN ne le seront. Mais comme "la plus belle fille du monde ne peut donner que ce qu’elle a", les syndicats ne peuvent être que ce que les salariés en font. Au lieu de fustiger la bureaucratie syndicale (parfois à juste titre) ou son réformisme, en restant dehors de celles-ci, prenez votre carte.

    Pas assez d’adhérents, pas assez de militants ? Et bien,oui, l’organisation se délite et peut se fourvoyer. Mais elle ne se fourvoiera pas au point d’être confondue avec une organisation patronale et les moments d’égarement quand ils arrivent ne sont que temporaires si les travailleurs eux-mêmes savent se ressaisir. La CGT a déjà connu des crises de cette nature et de cette ampleur. Rien n’est irrémédiable si l’on se bat.

    Alors oui travailleurs bretons, il y a bien la Bretagne du Capital, et la Bretagne des travailleurs, et ce sont bien deux Bretagnes différentes. Un patron breton n’est pas "meilleur" qu’un patron chinois.

    Oui, le lien régionaliste est un lien factice, dans une société capitaliste comme celle dans laquelle nous vivons, totalement mondialisée, aucune frontière ne peut protéger des ravages du Capital, au contraire, alors coupez le cordon d’avec le patronat, ce patronat qui se fiche de vous, et rejoignez nombreux les rangs de vos organisations à vous, des organisations de votre classe pour exiger LA SUPPRESSION du droit pour les exploiteurs de vous licencier.

    • "les syndicats ne peuvent être que ce que les salariés en font. Au lieu de fustiger la bureaucratie syndicale (parfois à juste titre) ou son réformisme, en restant dehors de celles-ci, prenez votre carte" , oui d’accord mais les structures syndicales telles qu’elles sont maintenant permettent-elles que les salarié(e)s, militant(e)s de base (puisqu’il y a une base et un sommet !) contrôlent efficacement la boutique ?

      "il y a bien la Bretagne du Capital, et la Bretagne des travailleurs" , mais encore, les syndicats reconnaissent-ils l’existence des nations colonisées au sein de l’hexagone ? Le jacobinisme de toutes les orga syndicales est-il compatible avec un désir réel de vivre et décider au pays, même si ce pays ne s’aligne pas sur la globalisation structurelle décidée via Paris ?

      "Oui, le lien régionaliste est un lien factice, dans une société capitaliste comme celle dans laquelle nous vivons, totalement mondialisée," , oui d’accord, alors tous les prolétaires doivent devenir transparents et les différentes cultures et langues populaires doivent disparaître au profit du français d’abord, puis de l’anglais, et pourquoi pas du chinois ? Être de quelque part et le revendiquer n’est ni une tare ni un handicap, n’en déplaise à Mossieur Brassens, et la Lutte de Classe n’implique pas obligatoirement la négation d’une appartenance à une nation colonisée !

    • sur la question de l’outil et de la structure, la CGT reste statutairement un organisation "fédéraliste", c’est donc au travailleurs de décider de leur mode d’organisation et donc de la forme de leur syndicat, base de la cgt et seul pouvoir politique de la cgt . Donc si les bureaucraties existent et sont forte c’ets peut etre lié a la nature de nos syndicat de base, tout petit, ne syndiquant que des retraité et des copains en CDI dans des boites plutôt grosse : nous ne groupons pas ni les précaires, ni les chômeurs, ni les copains des TPE ... , de plus 50% des syndciats de la cgt ont moins de 10 adhérents !!! forcement que les mandaté s’autonomises : les DS et syndicats de boite s’autonomisent des travailleurs et les élus dans les instances de la cgt s’automise de syndicats incapablent de les controller !!!
      Alors, a la fois pour le rapport de force face au capital, et a la fois pour controller notre organisation, arretons de penser que le syndicat doit avoir comme périmetre la simple boite !!! c’est un mensonge entretenue par la bureaucratie , la cgt a été historiquement composé de syndicats de branche (c’est comme ça qu’on a gagné les convention collective de branche seule accords permettant l’unité de tout les travailleurs, contrairement à l’accord d’entreprise ). Et puis la stratégie du boite par boite c’est du suicide pur, on pleure les bureaucrates tout les 4 matin pour qu’ils appellent à la gréve générale mais en vrai sur le terrain on ne saura pas l’organiser (dès fois je me demande si on est pas content que la bureaucratie existe pour se dédouaner tous à la base).
      Bref, oui les structure de la cgt sont un probleme, mais les anciens quand ils créaient un syndicat confédéré, n’avait pas peur de se poser la question des outils de leur but et de leur forme. Faisons comme eux étudions notre branche d’industrie localement, ainsi que l’ensemble de la situation de l’exploitation des prolétaires sur nos territoires pour determiner nos outils et nos besoins matériel !
      et mon petit doigt me dit que le syndicat d’entreprise apparait comme une belle connerie ... un outil de reproduction de la division voulut par les patrons.
      Et rappelons que la CGT est une organisation de classe et de masse parcequ’elle s’est construite sur deux jambe : le groupement professionel (le syndicat et la fédération d’industrie) et le groupement interprofessionel (la bourse du travail/ul, l’ud et la confédération). Ne sacrifions aucune jambe sinon on sait tous ce qui arrive a un cul de jatte ...

    • mais encore, les syndicats reconnaissent-ils l’existence des nations colonisées au sein de l’hexagone ? Le jacobinisme de toutes les orga syndicales est-il compatible avec un désir réel de vivre et décider au pays, même si ce pays ne s’aligne pas sur la globalisation structurelle décidée via Paris

      T’es marrant toi. Tu luttes contre le jacobinisme avec un discours national-régionaliste ? la référence à "la nation", en rouge ou en bleu, c’est pas ma tasse de thé , ni en breton ni en français ni en turc.

      Sinon, je savais pas que les patrons bretons, ils faisaient leurs discours au MEDEF en breton ? Je savais pas que les patrons basques, ils refusaient d’employer la langue de Shakespeare dans leurs échanges commerciaux ? Je savais pas que recevoir une lettre de licenciement écrite en corse, ça changeait le montant de ton indemnité chômage.....

      C’est marrant que tu voies "Paris" (et pourquoi pas Bruxelles ? Pourquoi pas Berlin ?.pourquoi pas "Bourges" ou "Lyon" qui finalement n’ont rien contre "Paris" et sont des complices objectifs..etc etc) comme "empêcheur de vivre et rester au pays" alors que moi je vois "le Capital".....

    • Cher Bis+, tu demandes :

      ’les syndicats reconnaissent-ils l’existence des nations colonisées au sein de l’hexagone ?

      Les syndicats je ne sais pas, mais moi je n’ai jamais rien compris à cette histoire de nations colonisées au sein de l’hexagone au XXIème siècle...

      Quel rapport entre d’une part le duché de Bretagne rattaché par mariage princier au royaume de France au XVeme siecle,... et d’autre part les peuples des ex-colonies d’amérique, d’afrique et d’asie, qui ont été privés de leur terre, surexploités, traités soit en esclaves, soit en citoyens de seconde zone soumis à une législation spéciale, et condamnés à produire uniquement des matières premières à bas coût pour la métropole ?

      En quoi au XXIeme siecle, la situation des travailleurs de Bretagne est-elle fondamentalement différente de celle des travailleurs de la région parisienne ? En quoi la bourgeoisie ’’bretonne’’ est-elle fondamentalement différente de la bourgeoisie ’’parisienne’’ ? Ca me dépasse.

      Et quel rapport avec la manif à Rennes, ça me dépasse encore plus.

    • coucou Bis + .. IP...- 90.**.237.**

      T’as vuqu’un autre anticoloianiste est en train de servir dum^me ordi que toi..?

       :)

      Quand les "bonnets rouges" vendent de la contrefaçon
      8 novembre 2013 - 08h55 - Posté par lo beret liure - 90.**.237.**

      Avec en plus ..duplagiat de tes manifestes !

      Toi tu postes ceci..le 7 novembre 2013 - 16h42

      mais encore, les syndicats reconnaissent-ils l’existence des nations colonisées au sein de l’hexagon

      ...Ton clone , lui , explique..

      http://bellaciao.org/fr/spip.php?article138080#forum507765

      Et dans les 2 cas, ce sont des nations colonisées, une par les Anglais, l’autre par les Français, n’en déplaise à l’Huma ! Alors, tout est bons pour les jacobins pour tenter de crever la révolte bretonne,

      Faut faire gaffe, "on "te pique tes idées.., tes formules..
      OU alors c’est un hacker que tu as convaincu..


      Je me demande si un A.C bis va pas venir me dnner raison..
       :)
      Allez, bonne soirée !

  • "Ils visent en priorité à accroître de façon exponentielle le taux de rentabilité au détriment de l’investissement dans la modernisation de l’outil de travail". Je dirais que là est le cœur du problème. C’est la crise (et oui) parce que il y a baisse du taux de profit. Donc, les investissements passent d’une boîte à l’autre sans avoir le temps, ni l’envie, d’investir la recherche. A la recherche d’une boîte qui l’a déjà fait et qui gagne en stabilité pour quelque temps.
    Ces camarades CGT (mais aussi FdG) sous l’emprise du réformisme pensent encore que le capitalisme est réformable. Non, il s’agit bien là de la marche normale de ce système, de son évolution logique. Evolution qui mène aux conflits dont les peuples sont victimes jusqu’au jour ou la Révolution communiste y mettra fin.
    Bien sûr maintenant qu’il faut manifester mais il faut être clair pour éviter la récupération et la présence des patrons, petits ou grand comme à Quimper. Car ce sont eux au final qui licencient et qui font les choix économiques.
    Les gouvernements sont là pour les aider et régulariser la machine, en menant une politique sociale adéquate et en maintenant la pression de l’idéologie bourgeoise. Il n’est pas là pour faire des lois qui contrarient le système (anti-licenciements boursiers par exemple), tout au plus pour atténuer un temps les feux des révoltes (comme en 1968, sitôt lâché, sitôt repris)
    Tous à Renne mais avec des alliances et des mots d’ordre qui fassent avancer vers la Révolution.

  • Ce ne sont pas les "bonnets rouges" qui appellent à manifester pour l’emploi, mais les organisations syndicales !

    IL NE FAUT SURTOUT PAS CONFONDRE.

  • "Rennes, le 6 novembre 2013

    Le Pacte d’Avenir pour la Bretagne,
    Une coquille vide à remplir avec les exigences sociales

    La première réunion du Pacte d’Avenir avec les acteurs économiques et sociaux s’est tenue Mercredi matin sous la présidence du préfet de région et du Conseil Régional.

    Pour la Cgt, s’il est évident de travailler des pistes d’avenir, il est tout aussi important de prendre en compte la réalité.

    C’est pour cela que la Cgt entend mettre en avant que deux temps font partie de ce projet, le premier sur les mesures d’urgences, le second sur les perspectives.

    Il parait, pour la Cgt, impossible de réfléchir à l’avenir dans le même temps que des milliers d’emploi sont supprimés.

    La Cgt pose comme préalable (et non ultimatum) à une discussion sereine et sérieuse, la suppression des plans sociaux par la continuité du contrat de travail.

    Mettre un arrêt à la casse industrielle doit permettre de poser les jalons de perspectives dont la Cgt entend prendre toute sa place.

    L’exigence, face à la casse de l’emploi, passe par des mesures innovantes, ce n’est pas le cas dans les annonces du premier ministre.

    Pour la Cgt, les aides publiques doivent être mise en œuvre pour permettre une étude sur les filières avant toute mesure de restructurations. Ces demandes, déjà émises, n’ont pas encore fait l’objet de réponses par les pouvoirs publics.

    Elles doivent constituer un pôle public financier pour agréger des financements et développer des industries et des activités économiques créatrices d’emploi.

    Elles doivent être contrôlées pour ne pas augmenter les profits et les dividendes, comme c’est trop souvent le cas.

    Le patronat, qui porte la responsabilité de la situation, a demandé la poursuite de la baisse du coût du travail. Les agriculteurs demandent encore plus de liberté pour produire sans les contraintes, mais avec les aides.

    La Cgt entend interpeller les salariés pour peser sur le Pacte d’Avenir pour que les aspirations des salariés soient au cœur de l’avenir économique de la Région.

    La colère est forte, elle doit se transformer en un mouvement massif porteur d’espoir. Patronat et gouvernement doivent entendre les exigences de justices sociales par une autre répartition des richesses.

    La Cgt propose dans le Pacte d’Avenir :

     Mettre un frein à la concurrence et à la baisse du coût du travail,
     Mettre un terme aux suppressions d’emplois,
     Renforcer les filières industrielles par une implication des pouvoirs publics dans leur organisation,
     Organiser un financement de développement de l’industrie par la création d’un pôle public
    financier,
     Organiser le contrôle des aides publiques et leur efficacité sur l’emploi,
     Accompagner les mutations industrielles en maintenant les salariés sous contrat de travail jusqu’à leur reclassement,
     Réformer la fiscalité en profondeur pour ne pas faire payer aux uns ce que les autres ne veulent pas payer.

    Thierry Gourlay
    Secrétaire Régional"

    http://www.cgt-bretagne.fr/IMG/pdf/20131106_communique_cgt_pacte_d_avenir.pdf

  • Il faut  Conditionner toute aide publique au respect de critères portant sur l’emploi, le maintien de l’activité, les politiques salariales dans l’entreprise.

    Il faut  Un droit de vote suspensif des représentants du personnel sur les plans de licenciements et les plans de restructuration, permettant la recherche et la construction de propositions alternatives aux licenciements.

    Il faut  Une loi contre les licenciements boursiers et pour la reprise des sites rentables, en cas de menace de fermeture.

    Il faut  Une gestion prévisionnelle des emplois qui ne soit pas une gestion prévisionnelle des suppressions d’emplois.

    C’EST DU PIPEAU REFORMISTE !

    IL FAUT INTERDIRE LES LICENCIEMENTS, "BOURSIERS" OU NON, ET REQUISITIONNER LES ENTREPRISES AGROALIMENTAIRES, CONDITION POUR UNE REORIENTATION NON PRODUCTIVISTE QUI NE SACRIFIE PAS LES SALARIES.

    CE QUE PROPOSE LA CGT BRETAGNE, C’EST LA VAINE RECHERCHE DU BON REPRENEUR CAPITALISTE GENTIL !

    • Tu as raison Combes, ce que la CGT revendique, c’est seulement des réformes radicales, mais moins ’’radicales’’ que celles que tu proposes... c’est bien la preuve que c’est du réformisme.

      D’ailleurs, à la fin du Manifeste Communiste, Marx et Engels, ne proposaient ni l’interdiction de tous les licenciements, ni la réquisition de l’agroalimentaire, leurs revendications étaient donc déjà réformistes...

      Par contre, excuse-moi, mais ce que tu proposes, c’est encore du réformisme :

       Parce que, imaginer obtenir l’interdiction réelle de tous les licenciements même dans les entreprises qui ne dégagent plus de profit, tout en restant en système capitaliste, alors que la bourgeoisie continue à posséder les moyens de productions et que les prolétaires en restent démunis, bref alors que le travail continue à être une marchandise servant à produire de la plus-value... c’est de l’idéalisme !

       Et revendiquer, seulement, la réquisition de toutes les entreprises de l’agroalimentaire, alors que les entreprises industrielles, de la grande distribution ou les banques restent privées et pourront ’’couler’’ ces entreprises réquisitionnées en deux temps, trois mouvements... c’est une demi-mesure qui ne pourra amener qu’à l’échec !

       En plus, le but même de cette manifestation à l’initiative de la CGT est ’’réformiste’’ : parce que manifester ’’pour l’emploi’’ (salarié), c’est à dire pour le droit de se faire exploiter ?... c’est t’y pas carrément aliéné comme mot d’ordre ?

      Mais, bon depuis Lénine et ses pauvres revendications réformistes : ’’la paix, le pain, la terre...’’ on peut plus faire confiance à personne... Non, quand on y réfléchit bien, la seule revendication qui n’est pas réformiste, -et la seule qu’il faut écrire en majuscules-, c’est : ABOLITION DU CAPITALISME ET DU SALARIAT ! ÉDIFICATION DU COMMUNISME !

      (Voili-voilou. Juste une petite provoc’ pour dire que les mots d’ordre de la CGT pour cette manif du 23 à Rennes, pourraient sans doute être meilleurs, mais qu’ils sont déjà plutôt bons...et en tout cas bien plus clairs que ceux de Quimper ! ;-)

    • euh !!!! j’ai faillit répondre la même chose !
      j’ai même l’impression de l’avoir écrit ;) !!!
      très bon !

  • Débarrassons nous de ceux qui nous volent nos vies et nos richesses !! une fois pour toute !! Nous sommes dirigés par des voleurs et des exploiteurs qui aujourd’hui développent la pauvreté généralisée pour augmenter encore plus leurs richesses.. Citoyens ! si nous ne faisons rien, dans les mois qui viennent, la pauvreté va se développer, les licenciements augmenter, le pouvoir d’achat des plus des employés va baisser, les libertés et les droits sociaux vont se rapprocher de zéro, le racisme et la xénophobie vont augmenter.. le populisme de droite et d’extrême-droite ainsi que le populisme de gauche vont se développer !.. La crise est un mensonge ! Elle n’existe pas !! c’est nous tous qui créons les richesses !! Mais nous laissons une poignée de voleurs nous les prendre !! Réagissons ! Reprenons les richesses qu’ils nous ont volées et les vies qu’ils sont en train de nous voler !!! Citoyens debout avant de finir esclaves !!

  • Le Pen, Dieudonné, Soral : un monstre à 3 têtes contre les travailleurs ! Le SGLCE-CGT entre en campagne contre les différentes composantes de l’extrême-droite. Il met UN document de quatre pages à la disposition des syndicats qui voudraient s’en inspirer.

    <<<<<< https://docs.google.com/file/d/0BxWljzNfEdFhRzBWdnhfbmhsam8/edit?usp=sharing&pli=1

  • je ne suis pas d ’accord avec ceux qui à l égard de la direction de la CGT , pratique la politique de défense de la forteresse assiégée , ne rien dire , c’est qu’on le veuille ou non , apporter son soutien à la ligne réformiste que la direction CGT ne cherche même plus à cacher : aucun drigeant de la CGT n avait été aussi loin que LE PAON fraichement élu pour reconnaitre officiellement que l ’avenir du syndicalisme c’est le réformisme avec l ’assentiment quasi silencieux de la base , des militants, des responsables de syndicats, d UL d UD , qu’il a fallu alerter et réveiller pour que certains réagissent...
    Or avec l aiguisement de la lutte des classes ou l ont voit certains brouiller le message et détourner le mécontentement grandissant des travailleurs ( manif de QUIMPER ) il est plus urgent que jamais de démasquer ceux qui veulent en finir avec le syndicalisme de classe au profit du capitalisme français et européen qui finance la CES .

    Ce qui me semble important , c’est de ne pas franchir la ligne rouge et sous prétexte de dénoncer la direction confédérale de tomber dans l anticégétisle systématique ce qui reviendrait à bout du bout à affaiblir le syndicalisme de classe puisqu’ à la base la très large majorité des syndicats CGT demeurent les principaux adversaires du patronat et se battent sur une ligne de classe .

    En conséquence la meilleure stratégie pour combattre une direction réformiste et éventuellement ( sans illusion) la contraindre à revoir sa position c est de soutenir toutes les luttes qui vont dans le bon sens avec la participation des organisations de la CGT et il en est ainsi de l appel de la CGT-BRETAGNE pour l’action du 23 NOVEMBRE , même si on peut reprocher à celle-ci d’avoir été trop longtemps sur une ligne cédétiste , car ce n est pas d’aujourdhui que des entreprises ferment ou délocalisent en BRETAGNE sans que la CGT-BRETAGNE ne réagisse avec la vigueur nécessaire .
    en conséquence , ne faisons pas la fine bouche , et appelons sans aucune réserve à manifester le 23 novembre pour la défense de l’emploi en BRETAGNE ET POUR LE VIVRE ET TRAVAILLER AU PAYS ...

  • On va essayer de conclure-du moins en ce qui me concerne- ces échanges enrichissantspour moi, tant avec MIMO qu’avec Richard
    Tout d’abord , que nousayons, entre militantssincères, qui plus est, syndiquésà laCGT, et en véritable souffrance et colère quant à des positionnements de certaines directions, notamment la Conf’, je pense ^tre deceux qui peuvent comprendre..

    J’ai failli rendrema carte, tant tout e qui touche à e que j’estime un terrain des plus décisifs dans la nécessaire APPROPRIATION SOCIALE- expropriation des Banquiers , a été progressivement totalement abandonnée , pour des slogans des plus ridicules, copier coller idiots des thèses de la Section eco du PC, avec son"pôle public etc etc etc" , en retrait même de certines propositions de campagne du..PS§
    Sans compter, les liens que je pourrais détailler entre tels ou tels dirigeants ’avec les Patrons, tant en terme d’achat de trous du culs montreuillais, que de flirts dans les Assos comme "dialogues" -déjà dénoncés ici- !
    Donc , ce n’est pas moi, qui en plus ai été à la direction du PC quand Loulou Viannet .."suivait" pourle Parti, maFédé 33, qui l’ai entendu en petit comité expliquer sa version de "modernisation du syndicalisme rassemblé" qui feindrait d’ignorer beaucoup de choses du"vers et du fruit"..

    Nos divergences sont à la fois naturelles et d’utile confrontaion
    Car , par exemple je dirais ceci à Mimo(que je remercie pour sa réponse)

    J’ai , en début d’année été tenté aussi de voir ce que telle ou telle forme de rassemblement d’opposant au sein de structures comme celle qu’il arejoint oula FSC auquel j’ai versé une cotise 2013-ce qui ne signifie pas que je recommencerai en 2014..- pouvait apporter..

    Je réserve à cette "orga" mes réflexions , mais je pense que cen’est pas en créantdes "tendances" (dela "CGTU" de la fin des années 20 ne disant passon nom ) quel’on règlera la question du retour à des pratiques deClasse.

    C’est en faisant effort de ne pas donner prise à tout e qui n’est pas "compris" des copains en interrogations sur ladérive, en étant AVEC EUX dans la lutte avec ce qui en pénalise lourdementl’impact( cequeje n’appelle plus "réformisme" qui laisse croire qu’il ya encore grain à moudre pour des "réformes synonymes d’avancées socailes en cemoment historqiue de CRISE SYSTEMIQUE du K,c’est selon moi, comme ça, qu’on peut , , AIDER à mettre à un le"syndicalisme "chauve soutis de le Paon , de la CES..

    C’est dire que, ce que réaffirme Richard, -son boycoot d’initiatives"parrainées par les dirigeants que nous avons actuellemnt (et que nous n’avons pas pu , àcejour, renvoyer à Pole Emploi avec leur bréviaire du syndicalisme "responsable" rassemblé, réaliste, -voir les revendiactions sur la Retraites que u citesfort justement, Richard) , ben, je pratique pas.

    Je voudrais pas paraitre nombriliste, mais j’affirme que dans lesmanifs , il m’arrive de débattre avec des tas de copains, qui connaissent mes poistions, mes condamnations publiques du largage denos repères ar la conf, voireen pétard contre tel appel scandaleux à se "méfier" des FORD , vu que c’est Poutou quiserait le gauchiste NPA..à surveiller..voire -et ce joutlà, j’ai faillialler casser des dents- demandant au bouche à oreille, à ne pas se rendreà une soirée desoutien aux Fralib -dans le tour de Francequi faitconnaitre leur lutte-parcequ’ils étaient"manipulés" par des types , je cite"comme Hoareau et Chancogne quisontlà pour affaiblir et diviser notre CGT"

    Pov’cons..

     Donc oui, sauf quand un lumbagoou me cloue pas au pieu, je suis dans les manifs, et d’autantplus avec le sourire que jevois la tronche de certains"chefs" !

     !!(Rien à voir avec ce que serait ma participation à du cirque mélenchonien , voire à tel ou tel numéro de soit-disante pratique"communiste" pure et dure..., histoire de s’assurer une relative rémission en tant qu’orga désormais coupée des travailleurs, et"inaudible" dans ses refrains de "zig" et e"zag" , sur fond d’opportunisme éléctoral..)

     Reste et nous aurons à revenir sur d’autres sujets , sur mon approche-que je ne prétends pas de"pureté marxiste" , sur la question "Parti -SYNDICAT"

    Richard me dit

    Que la CGT redevienne une organisation syndicale de classe ne siginifie pas que l on doive renouveler les erreurs du passé notamment dans les relations SYNDICAT/PARTI ...

    OK à cent pour cent !

    Je n’ai pas du tout cette approche ditede la "courroie de trasmission" des rapports entre "le politique" et ce qu’est la spécificité du mouvement syndical !

    C’est valable pour notre CGT comme cela devrait l’être pour leDGB ou les Trade Unions, dont on voit ou les conduit l’allégenace à la social-démo..Je dis simplement que chez nous, ce rapport disons de carcatère léniniste apu aider-etp asqu’un peu !) à ceque la CGT s’appuie sur ce que l’existence d’un PARTI de Masse et qui, malgré ces deéfauts, "musclait" le Syndicat et -parfois même en transposant dans la CGT un "stalinisme évident !- évitait à toutle moins à un prolo d’avoir honte de ses dirigeants..

    Sans vouloir en quoi que cesoit un remake , ni en terme de ce queseral’ Orga révolutionnaire ,etun besoin de cornaquer le futur secrétaire général siègeant à Montreuil,..par passage à Fabien pour préparer l’ordre du Jour de la CEn du CCN , du BC,
    .............................je réaffirme donc que sans ce qu’instille un Parti de classe dans la Société, notamment sur les lieux d’exploitaion, il ne peutpasy avoir de "bougés" significatifs "quant à la façon dont un Syndicat-y compris la CGT - peut animer la LDC !

    Si je suis revenu sur cela c’est pas pour le plaisir de donner à penser que j’entendais me"distinguer" en polémiquantavecRICHARD , dont je me sens proche sur plein de choses essentielles" c’est parce que son expression m’avait"interpelé" (comme ondit)

    Puisque lui, affirmait

    je crois en effet que sans un puissant syndicat de classe qui conduit les luttes tout en faisant le lien avec le nécessaire changement de système il sera très difficile de construire le parti communiste que nous souhaitons

    J’ai senti -et si je me suis planté, mesplates excuses- comme unePRIMAUTE donnée à la reconstruction e la CGT sur bases de LDC..pour que puisse se construire un Parti REVOLUTIONNAIRE.

    Mais, m^me si cette divergence existe entre nous, elleest saine !
    Ilvaut mieux se titillersur le"comment semer de lagraine révolutionnaire" plutôt que de dire"les gens sont trop cons" , ou "sauvons les meubles en jouant profil bas.."

    Chacun croit avancer ce qui lui est le plus efficace.

    En soi, c’est du "travail" tel qu’il sera nécessairequ’il soitmené demain...car sinon , le Communisme ne verra jamais le jour, le temps des masses appelées à avaler le pré-mâché d’une avant garde qui"sait"..c’est FINI...
    Tant mieux !
    Cordailement et @plus sur d’autres sujets

    A.C

    • je réaffirme donc que sans ce qu’instille un Parti de classe dans la Société,

      Pour moi, le parti de classe réel c’est la confédération syndicale de classe . La classe est traversé de différente niveaux de conscience et le parti révolutionnaire ne peut pas couvrir toute la classe ... et inversement le parti de classe aujourd’hui ne peut pas etre révolutionnaire .
      après que l’organisation révolutionnaire (la ou les révolutionnaires s’unissent et font progresser la reflexion autour de la stratégie révolutionnaire, voila ma définition) soit uniquement composé de membre de la classe exploité, de prolétaire cella en fait une organisation de classe .... mais spécifiquement révolutionnaire . attention a ne pas confondre les deux (comme tu semble dire que le pcf a fait cette erreur, et je le pense !) . Sinon, le réveille sera douloureux, comme en 14, comme en 68 ou encore en 36 ... nous auront des organisations de masse dite révolutionnaire (cgt avant 14, pcf en 36 et 68 ...) qui lors des périodes révolutionnaires ne poseront pas la question du pouvoir et se contenteront de réformes (même radicale et immédiatement utiles ).

    • Donc on diverge.!

      Et dix verges,
       :) ça doit permettre de mieux baiser la CLASSE qui nous saigne !

      Salutations communistes

      A.C

    • Ben pour moi, le parti, c’est la classe ;-) les syndicats quels qu’ils soient sont par essence voués au réformisme et au trade-unionisme ou au corporatisme. Ce qui ne signifie pas (au contraire) qu’ils n’aient point d’utilité et qu’il ne faille pas les investir.

      Quant au "parti révolutionnaire" (c’est à dire celui qui existe dans une société encore capitaliste avec tout ce que cela implique, ayant vocation à propager le sentiment, la volonté, le désir...révolutionnaire dans la classe donc à conscientiser les membres de celle qui par définition existe en soi mais pas encore pour soi), il n’a pas à couvrir "toute la classe" mais bien d’abord à regrouper d’abord l’avant-garde (qui n’a rien à voir avec une aristocratie plus ou moins bureaucratisée mais regroupe tous les éléments conscients, et des classes et du besoin de communisme, du mouvement ouvrier).

      Etre un parti révolutionnaire "de masse" ne signifie pas "être attrape-tout".

  • "....je pense que notre devoir de communiste c’est de combattre tout ce qui fait obstacle à la victoire de notre classe,y compris dans "nos rangs" cela n’est pas contradictoire avec la défense de la CGT qui,à la base,est encore l’orga syndicale la plus "saine".Je crois au contraire que sous le prétexte qu’on peut ou doit faire avec faute de mieux,on retarde la construction de l’orga politique révolutionnaire puisque l’on participe au maintien d’un syndicalisme réformiste qui s’accommode du capitalisme"

    Non seulement je suis d’accord avec Richard,mais je dirai même que j’ai une certitude du fait d’une très forte conviction.

    A coups de "pas de vague" et mettre les conneries et les saloperies sous le tapis CA DEBORDE !!!

    Je ne veux pas que la CGT,ma CGT,soit représentée par un mec qui est devenu son secrétaire général,après avoir corédigé et coprésenté avec un élu UMP,un avis du CESE sur l’ouverture à la concurrencer du service voyageurs à la Sncf,quelques mois auparavant.

    Je ne veux pas de cette caste politique de faux-culs qui hurlent à chaque manifestations abjectes de fachos qui relèvent la tête,alors qu’en décembre 2010 sous Sarko et en décembre 2012 sous Hollande,l’Europe dont la France,s’est abstenue lors du vote à l’ONU d’une résolution condamnant le racisme,la xénophobie et la commémoration du nazisme dans certains pays du monde notamment en Europe.

    Pas de vague là aussi ?

    Hein Mme TAUBIRA ?

    Je n’ai plus envie de "philosopher" MAIS DE GERBER !!!

    LR

  • Très importantes contributions à l’appel de manifestation à RENNES le
    23 novembre !
    Contributions variées et parfois contradictoires mais qui ne sont pas inintéressantes !
    Sauf, bien sûr celles qui ne polémiquent pas !
    Mais pourquoi se limiter à la Bretagne alors que c’est dans toutes les Régions les plans sociaux, les fermetures, les licenciements !

    Il faut se mobiliser partout et si possible à des dates identiques mais ce n’est pas avec une seule journée que nous ferons changer la politique libérale de ce Gouvernement !

    Les Appels doivent être unitaires mais pas avec "les réformistes" qui ont paraphé l’ANI en janvier 2013 (ACCORD NATIONAL INTERPRO) avec le Ggouvernement et qui ont trahi une fois de plus la classe ouvrière.

    Le rassemblement à l’initiative de la CGT (et l’UL de ROANNE) le 7 novembre a été un succès (pour soutenir les 5 militants trainés 4 fois devant le Tribunal pour
    "refus de tests ADN" suite à quelques tags en 2010 pendant le conflit des retraites)
    Plus de 12 000 participant-es avec présence devant le Tribunal pendant le "jugement"
    Décision le 17 décembre 2013.
    LES AVOCATS ONT PLAIDE LA RELAXE.

    IL FAUT CONTINUER LA MOBILISATION, UNIR NOS FORCES POUR OBLIGER LE GOUVERNEMENT A CHANGER DE POLITIQUE.

    lA SAVOIE EST AUSSI EN PLEINE CRISE D’EMPLOIS : après CAMIVA, c’est EURIWARE (filiale d’AREVA) vendue à CAP GEMINI, SPIREL en redressement judiciaire en Maurienne jusqu’au 6/01/2014 et en recherche de reprise, SNCF avec projet de transfert de charges de St Jean de Maurienne à Modane en 2014,un projet TGV et le projet Gouvernemental de "la REFORME" qui va accentuer la PRIVATISATION, le Lyon-Turin pharaonique de 26,1 MM€ (France et Italie), d’autres entreprises en difficultés (OWEN CORNING (ex-Verre Textile), METAL TEMPLE, CARBONE ACIER ......

    Les "Politiques" impuissants font des déclarations sans mobilisations et "gèrent la misère et la désindustrialisation"

    RASSEMBLONS et MOBILISONS-NOUS !
    C’EST LA SEULE ISSUE POSSIBLE !

  • @ 82**129,

    J’entends bien le côté théorique,mais......

    "....ben pour moi le parti,c’est la classe.Les syndicats sont "par essence"voués au réformisme...."

    Ah bon,j’avais pas compris que cette phrase dans le préambule des statuts de la CGT : "...elle agit(la CGT)pour une société démocratique,libérée de l’exploitation capitaliste.....",était par "essence" réformiste.

    Et tu rajoutes : "ce qui ne signifie pas(au contraire)qu’ils n’aient point d’utilité et qu’il ne faille pas les investir." Pour faire quoi s’ils sont PAR ESSENCE voués au réformisme ?

    Pour moi,syndicat ou parti,je ne vois pas d’incompatibilité et de différence dans la notion de classe.

    Théoriquement cette conception de "la classe " est dangereuse car elle contribue à alimenter le côté pervers de la "double casquette" syndicat-parti.

    Cette double casquette qui conduit à confondre indépendance et neutralité pour la plus grande satisfaction de notre ennemi de classe,et des OS complices par leur "soi-disant apolitisme".

    Après la théorie....

    Ca doit être pénible d’être réformiste le matin (au syndicat) et le soir révolutionnaire (au parti).Donc pour le confort de mon cerveau délabré,j’ai fait le choix d’être UN et INDIVISIBLE,avec une SEULE casquette,celle d’un mec engagé en 1 seul morceau.

    Y compris pour ce "Parti des Communistes" qui ne pourra naitre sans la convergence des luttes syndicales et politiques dans le combat de classe où qu’il soit.

    J’espère que la manifestation à Rennes le 23 sera le début de la fin d’un nouveau Quimper.EN BRETAGNE ET AILLEURS !!!

    Comme disait mon père : "on ne mélange pas les torchons et les serviettes"

    Fraternellement

    LR

    • Un message du syndicat CGT Damen de Brest (réparation navale)
      Lettre ouverte du syndicat CGT de Damen BREST au secrétaire CGT régional de Bretagne et à la secrétaire CGT générale départementale du Finistère.

      Brest le 04 novembre 2013.

      Mr le secrétaire général de Bretagne, Thierry Gourlay.

      Aujourd’hui, le syndicat CGT de Damen Brest vous lance un coup de gueule, qui ressemble beaucoup à un cri d’alerte, suite au communiqué pour l’appelle a manifester son mécontentement à Carhaix le 2 novembre.

      Tout d’abord, sachez que votre manifestation pour nous et nos syndiqués est une grande mascarade et que bien sûr personne ne s’est déplacé à celle-ci. Il nous a paru plus que lamentable d’apprendre l’existence de ce rassemblement sur Carhaix par voie de presse avant toute forme de communication interne à la Cgt. L’opinion et la voie de vos syndicats et syndiqués ne vous intéresse-t-elle plus ? Somme-nous juste là pour financer votre grande confédération ? Mais ce n’était pas le pire, votre communiqué arrivant avec 2 jours de retards et de surcroit un vendredi février à 22h30 et daté du même jour, soit le 1er novembre, quelques heures avant la manifestation. Devons-nous passer la nuit à prévenir tout le monde de vos intentions ?

      Sachez que votre contre-manifestation est très mal venue et mal comprise. Il est bien bas de votre part de créer une manifestation pour l’emploi en marge d’une autre manifestation pour l’emploi et de surcroit dans la ville Carhaix, ville de l’organisateur de celle de quimper. Faites-vous de la politique ou du syndicalisme, ou alors faites-vous le jeu de certains élus politiques.

      Vous avez le droit de ne pas vouloir manifester auprès de la FNSEA et du MEDEFF, mais vous n’aviez pas le droit de séparer les manifestants pour qui le choix du lieu a été très dur, quitte à ne pas se déplacer du tout. Pour la CGT Damen, vous n’aviez pas le droit non plus de manifester auprès du front de gauche qui se permet de traiter le peuple breton de nigaud, esclave,ect, ni auprès des verts qui défendent un projet ECOTAXE sans en connaitre les termes du contrat qui parait bien juteux pour le grand patronat. Une manif pour l’emploi un autre weekend aurait été mieux perçue et aurait permis de maintenir une pression constante sur le gouvernement.

      N’avez-vous toujours pas compris qu’une force unitaire est bien plus efficace que la division. Diviser pour mieux régner n’est-elle pas ce que l’on combat en temps normal. OUI, VOUS AURIEZ DE L’ETRE À QUIMPER AVEC TOUT LE MONDE. OUI ? VOUS AURIEZ DU FAIRE PASSER VOTRE MESSAGE A LA FOULE. OUI ? VOUS AURIEZ DU PRENDRE LA TETE DU COTEGE POUR COUPER L’HERBBE SOUS LE PIED DU MEDEFF ET DE CES MEGALOS DE LA FNSEA. Mais non vous avez préféré jouer petit et tout seul avec des groupes qui ont beaucoup à se reprocher ses derniers temps.

      Les conséquences de vos actes sont graves et ont des répercussions directes sur la CGT et sur les syndicats. Aujourd’hui dans mon entreprise, mais pas que, nous avons du gérer ce qui pouvait se passer de pire, une entreprise ou vous avez un taux de syndicalisation les plus haut du Finistère, une entreprise qui a fait la fierté de la CGT pendant le conflit de la réparation navale civile de 2012. Fierté de la CGT, mais pas la vôtre qui complotait derrière notre dos avec la CFE-CGC et votre confédération Cgt manipulée. Aujourd’hui, il a fallu convaincre les élus CGT de l’entreprise de conserver leur carte d’adhésion et bon nombre de syndiqués aussi. Le syndicat dans la boite est la première priorité pour faire face au patronat. Mais si vous casser tout en divisant les gens, vous serez bientôt bien seul car nous n’hésiterons pas à chercher une nouvelle étiquette.

      En passant, je transmets des questions qui viennent de la Cgt d’en bas, celle que vous ne consultez plus. Qu’as fait la Cgt contre l’ANI ? RIEN. Qu’as fait la Cgt contre les retraites ? RIEN. ET TOUJOURS RIEN DEPUIS UN AN. Et aujourd’hui vous nous dites de faire cavalier seul, alors que toute la Bretagne appelle au rassemblement…. Nous restons sans voix devant votre incompétence. Nous étions heureux de vous voir quitter l’UD du Finistère et non étions inquiet de vous voir arriver à la région et nous avions raison.

      FINI LA LANGUE DE BOIS !!!!! Vous êtes trop éloigné du monde de l’entreprise et de l’industrie, votre poste de permanent qui se succède d’année en année vous transforme plus en politique qu’en syndicaliste. Et doit on le rappeler La CGT est un syndicat à la base d’employé et d’ouvrier.

      Regardez, nous sommes la risée des réseaux sociaux et de la presse comme par exemple http://www.rue89.com/... . Nous attendons de vous, un ressaisissement rapide et un moyen de réintégrer la lutte unitaire car sans quoi, à terme la Cgt ne sera plus représentatif sur le territoire bretons comme l’ai actuellement le front de gauche, grâce au propos de Mr Mélenchon sur un article paru dans le point et toujours présent sur son blog.

      Ce courrier sera distribué par mail mais aussi sur les réseaux sociaux, pour que les gens sachent que tous a la Cgt ne pensent pas comme vous.

    • Si ce message émane réellement d’un syndicat CGT,il faut l’envoyer paître avec ses partenaires de Quimper (MEDEF,FNSEA,FNTR,FN,...etc) dans les pâturages bretons !

      Défendre les revendications des salariés en manifestant avec les patrons et les fachos,c’est une spécialité de ce syndicat ?

      Et aujourd’hui sur les routes avec les patrons routiers ?

      Vous avez raison,allez manifester à St Brieuc,l’air de Rennes sera moins pollué !

      LR

    • Ce communiqué du syndicat appelant à manifester le 23 è St Brieuc est relayé par le NPA tendance (pas)claire,et sur médiapart au bon soin de Antoine Montpellier NPA.

      LR

    • Quentin c’est quoi cet pseudo communique écrit en singulier par une seule personne ??????

      Encore une provocation du NPA ????

      "Aujourd’hui dans mon entreprise..."

      "ou vous avez un taux de syndicalisation les plus haut du Finistère..."

      "et votre confédération Cgt manipulée"

      "n’hésiterons pas à chercher une nouvelle étiquette."

      "En passant, je transmets des questions..."

    • Et oui Roberto,encore de la provoc. de la part de ceux qui passent du bonnet rouge au bonnet d’âne.ça s’arrange pas au NPA.

      amitiés

      Jacky

    • Ce débat vest "fondamental"

      Il est à repredre, approfondir , selon moi , àpartir d’un "papier" que quelqu’un pondrait.

      Je veux donc juste m’immiscer dans votre échange pour dire mon sentiment
       : Oui, le Syndicalisme , meme s’ilpeut affirmer des objectifs révolutionnaires (c’est le cas dans la charted’Amiens ).., est , de par sa fonction , un outil qui n’ apas vocation à "conscientiser" les masses quant aubesoin de’abolirle Capitalisme
      C’est mon sentiment..

      Que cela soit une contradiction emmerdante ou pas, n’est pas marxisteDU TOUT, le slogan "Augmentez nos salaires"..Si du moins on prétend agir pour abolir..le salariat !

      Certes on est là , en apparence, dans une remarque "théorique"

      Pas du tout, selon moi...

      Le Capital a relativement "joué" l’engagement syndical CONTRE "la POLITIQUE" que les socialistes d’alors "apportaient auxmasses"..

      Pourquoi ?

      Parceque, à défaut d’empêcher le regroupementdelaCLASSE OUVRIEREpour se défendre,..., les capitalistes avaient objectivement"besoin" d’un élément" régulateur," pour que le compromis, l’armistice obligé de tout conflit entre classes antagoniques, offre une possibilité de"lâcher" de la"réforme" sans risquer voir mis en cause la légitimité du Propriétaire-Exploiteur.Cette donnée a renforcé l’idée que le sort des travailleurs pouvait s’améliorer sans avoir à "renverser la table"

      C’estpourquoi je trouve dommageable que nous puissionscontinuer aujourd’hui àtraiter du "réformisme" de telle ou telle orga.

      ..Parce quePLUS PERSONNE de peut espérer une quelconque "réforme" si dumoins ce terme voulait encore dit"amélioration "

      Le Capitalsime a gagné une bataille idéologique de taille : tous les matins on nous serine qu’il faut REFORMER , en signifiant qu’ilfaudrait admettre le besoin de RECUL humain (social, dmocratique, "sociétal" etc)

       Si donc on admet que rien , à part RESISTER pour empêcher le pire, n’est "jouable" pournotre Classe dans l’instant , alors ilest urgent se poser laquestion d’une intervention spécifique du PARTI

      Jesuis d’accord pour dire, avec toi, qu’il est dangereux de vouloir affecter au Syndicat la seule fonction "revendicative" et qu’il appartiendrait donc au seul Parti de servir de boussole révolutionnaire.

      Si nous relisons la Charte qui a servi de fondation aux statuts de notre ORGA syndicale, jecrois qu’il ne faut pas oublier que ce texte ne visaitpasà créer une ORGANISATION de classe ET demasse !La preuve ; je cite en soulignat le caractère "avant-gardiste" de l’ORGA

      Le Congrès confédéral d’Amiens confirme l’article 2 constitutif de la Confédération Générale du Travail, disant : " La Confédération Générale du Travail groupe, en dehors de toute école politique, tous les travailleurs conscients de la lutte à mener pour la disparition du salariat et du patronat"

      De fait la CGT, -y compris laCGT-U" n’ont jamais rassemblé les seuls travailleurs CONSCIENTS etc etc..

      Donc, mais cen’est que ma position après réflexion et expérience de décennies, en prenat lerisque deme planter j’affirme :

      Sans Parti REVOLUTIONNAIRE, certes desmilitants aguerris peuvent , comme toi , et d’autres dont je pense être, déployerleurmilitantismede CLASSE , en affirmant

      Donc pour le confort de mon cerveau délabré,j’ai fait le choix d’être UN et INDIVISIBLE,avec une SEULE casquette,celle d’un mec engagé en 1 seul morceau

      Par contre et là je te renvoie au début de mon commentaire, ton début de cette phrase ne mesemble pas "juste"

      Ca doit être pénible d’être réformiste le matin (au syndicat) et le soir révolutionnaire (au parti)..

      sauf que...personne ne peut être réformsite le matin !!
      Si tu n’es pas révolutionnaire toute la journée , grâce à l’aide"extérieure " qui permet que tu engranges des repères "globaux" de la LDC et de tous ses terrains, objectivement alors tu ne renforces pas un "réformisme" décédé aujourd’dui, tu ne peux pas combattre la résignation, et tout ce qui bloque la prise de conscience deMASSE qu’ilfaut changer DE société..

      Dit commecela, je ne pense pas (mais je peux me gourrer) reintroduire les dégats des rapports Parti-syndicats , tel que le léninisme d’importation a pu les faire vivre quand nous avancions avec ce qu’on appelait"nos deux jambes"....

      Je suis certainement confus, c’est un sacré travil d’analyse collective qui nousest imposé !

      Si nous voulons que le COMMUNISME que nous souhaitons voir naitre un jour, soit construit en nous gardant de toute recette , surtout faisant appel à des ingrédients périmés..

      Amical salut du Vieux..
       :)

      A.C

    • Rien à voir , tu as mal compris, désolée. Il faut relire (un peu plus) calmement. Oui les syndicats sont par essence voués au réformisme car par essence voué à protéger une situation d’emploi donc de soumission au salariat (pas de hasard si l’abolition du salariat est passée à la trappe à la CGT) et donc de soumission au patronat. Oui néanmoins ils ont une grande utilité dans une perspective révolutionnaire parce que c’est par eux que se fait la confrontation et par leurs démarches (quand ils font leur travail) qu’apparaissent clairement les antagonismes de classe, et leur inconciliabilité. C’est aussi une manière de créer et fonder des liens, forts et de transmettre une culture.
      Tout ça ce n’est pas moi qui l’ai dit dit mais Lénine.

    • il faut arrêter de jouer sur les mots , ainsi le mot "réformisme " n a plus le sens qu’ il avait au moment de la rédaction de la charte d’ AMIENS , de nos jours est réformiste , tout ce qui s’accomode du capitalisme et ne veut le changer qu’à la marge en le rendant plus acceptable et ce n est pas la vocation de la CGT qui statutairement est une organisation anticapitaliste , ce qui , si les mots ont un sens siginifie qu’elle lutte contre ce système et veut le changer et jouer son rôle dans ce changement .
      Notons qu’aucun autre syndicat ne prèconnise la lutte contre le capitalisme, ALORS A MOINS DE DIRE COMME LE PAON POUR JUSTIFIER LE SYNDICALISME RASSEMBLE QU’ IL N’ EXISTE PLUS UN POLE SYNDICAL REFORMISTE ET UN POLE SYNDICAL RADICAL ...dire que tout les syndicats sont par nature réformistes me semble aujourdhui inexact et en tout cas relevé d’une analyse théorique déconnecté de la réalité du terrain .

      Certes il n ’appartient pas à un syndicat de définir l’organisation politique et économique qui remplacera le capitalisme , mais en temps que représentant légitime des travailleurs , nul n ’est mieux placé qu’eux pour participer à la construction du nouveau pouvoir et permettre aux travailleurs d exercer leur rôle décisonnnaire dans les structures autogérées qui remplaceront les institutions bourgeoises , et ça , c’est pas du réformisme ...

      Pour finir , si un jour nous connaissons un jour la société communiste que nous rêvons , j espère que les syndicats ne renouvelleront pas les erreurs commises en URSS et ceux que l on appelait les pays de l EST , ou justement les syndicats sont devenus réformistes, accompagnateurs du pouvoir central , les syndicats , en toute indépendance , devront continuer au sens littéral du terme à être des organisations révolutionnaires , gardiennes des droits des travailleurs et de leur pouvoir de direction .

    • contre le réformisme il n’y a que la stratégie révolutionnaire ...
      le réformisme garde sa définition, un anticapitalisme qui se conçoit a travers une stratégie de réforme sociale et économique immédiate et de conquête des pouvoirs publiques, parlement, gouvernement etc ...

      actuellement ceux qu’on traite de réformiste (en fait les jaune comme cfdt, unsa, une partie de fo ...), ne sont pas réformistes mais simple accompagnateur des mouvements du capital et de sa gestion .
      Les congrès et les revendications de la cgt ont ainsi l’air réformistes son action quotidienne par contre n’étant pas coordonnée est un simple mélange d’action défensive corporatiste (greves et négo de boite), localiste (négo et très rares greves territoriales) et enfin des campagnes confédérales et fédérales très peu coordonnées et sans application réelle de terrains chacun ayant le nez dans le guidons de la gestion du reflux militant et de la gestion des attaques dans les boites dans ce contexte.
      bref, pour moi la cgt n’est ni réformiste, ni révolutionnaire, mais en pleine crise car elle peine a faire vivre une réel réflexion anticapitaliste et a faire vivre une stratégie anticapitaliste ... même si statutairement et historiquement , les mandatés actuels et les militants aurait déjà les clés pour agir en ce sens, agir pour que la cgt est une stratégie autre que la position défensive .
      les patrons le savent (voir pour ceux qui en doute le dossier de mars de la revue des DRH "Liaison Social" sur la CGT avant son 50ème congrès) et se passent le mot : attaquer toujours plus les sections et syndicats, faible, mal coordonnées, mal formés, mal soutenus ....
      que tout les syndicalistes de classe s’unissent par dessus les divisions introduit par le patron (boite, statuts, communautés ...) dans de vrai syndicat de branche, de vrais ul de vrais ud et de vrai fédérations d’industrie (syndiquant publique et privée, précaires et salariés en cdi ...) permettra d’avoir l’outil pour faire avancer la lutte immédiate...
      et que les copains révolutionnaires se regroupent en vrai tendance révolutionnaires dans la cgt et nos idées, notre stratégie révolutionnaires progresseront alors dans ce bain de lutte efficace coordonnées et pouvant nous donner les moyens de se projeter dans un avenir révolutionnaire .
      Et dire que la cgt ne peut pas être révolutionnaire est différent de dire qu’elle ne l’est pas en ce moment. Je dirais aussi que dire que la cgt ne peut pas etre révolutionnaire veut dire que la classe ne peut pas être révolutionnaire !! après j’admets quand même que des militants se réclamant de la stratégie révolutionnaire en mandat dans des secteurs de la cgt ne veut pas forcément dire que la cgt est automatiquement révolutionnaire ... évidemment un copain révolutionnaire peut etre convaincant dans la lutte immédiate et être mandaté a divers responsabilité sans que le mandat soit de préparer la révolution.

    • "Tout ça ce n’est pas moi qui l’ai dit dit mais Lénine.""
      Evitons les arguments d’autorité.

      parceque Lenine,troski,et moi avons dit souvent des grosses bétises ;-)

  • Au lieu de voir tout le monde s’écharper gaillardement, à moins d’une semaine du 23 novembre, il serait plus intéressant de connaître l’état de la mobilisation pour les manifs et des actions entreprises pour qu’elles fonctionnent (diffes, heures d’infos, AG, initiatives intersyndicales locales ou de boîtes, etc...)

    Olivier

  • Salut frangine,

    Je t’avais pas reconnu,donc je sais que nous n’allons pas nous faire la gueule et nous écharper à partir d’avis différents.

    Peut-être que je n’ai rien compris.Ce serait pas la 1ère fois.

    Je n’ai pas compris la différence entre se libérer de l’exploitation capitaliste et l’abolition du salariat.

    Je n’ai pas compris cette référence à Lénine,et ce qu’il a dit en effet,sur le rôle du syndicat.Mais sans en préciser le lieu,le contexte,et son conflit avec Trotski qui était à côté de ses pompes en la matière.

    Lénine tiendrait-il le même discours aujourd’hui ? je n’en sais rien.Mais ce que je sais c’est que les scissions,les divisions,la propagande (devenue communication) ont encore très souvent comme origine cette pierre d’achoppement Syndicat-Parti.

    Je militais au PCF avant de le quitter,et à la Fédération des cheminots.Jamais,je dis bien JAMAIS je n’ai accepté et n’accepterai pour mes Cdes et moi-même ce que je considère comme une mutilation de l’individu dans sa conscience de classe,lorsqu’il ait demandé à des militants de la CGT de ne pas prendre des responsabilités politiques,car "incompatibles" avec l’exercice d’un mandat syndical.

    D’après toi,même en théorie,comment sera interprétée le fait que par essence le syndicat est réformiste et le parti sur des positions de classe ?

    Alors,par essence (ou autre carburant),je ne cautionne pas une théorie (discutable) fusse-t-elle de Lénine,quand dans les faits elle contribue à cloisonner Syndicat-Parti,non pas sur l’indépendance,mais sur la neutralité de bon aloi prônée par nos ennemis de classe.

    Mais la différence existe bien entre parti et syndicat.....La CGT ne présentera pas de liste aux municipales.

    Bises et à bientôt

    LR

    • Chouet !
      Je peux doncen "remettre" une couche, allez , une "dernière" pour la route !

      Non seulement personne ici ne s’"écharpe..., mais , si je comprends l’irritaion Olivier, je crois que -même et y compris -voire surtout-dans la marmite de laLDC est sur lefeu (le23 sera un de cestemps forts) , ilest légitime, et SAIN que des communistes sincères -et surtout qui ne sont pas que des théoriciens d’ordi, mais des acteurs à la tripe, au coeur , au neurone (j’aifailli ajouter un organe qui n’est pas dans la panoplie de lutteuse..) :)...auSERVICE du Bonheur collectif s’interpellent

      Qu’ilséchangent , réfléchissent sur comment faire en sorte que la CGTsoit àla hauteur ds enjeux de cet automne 2013.

      Comment faire face à une réalité objectice( l’abandon du BA.BA des repères de clasee,..ce qui conduit parfois àfaire hurler de rage un Richard qui ducoup, en arrive à ne plus supporter d’être dans une manif ou le Paon fait la roue ..de secours du MEDEF

      Nous avons d’autant plus intérêt àne pas "lâcher" sur lebesoin de débattre -qui va de pair à aider à une forte mobilisation pour le 23,, que nous sentons bien que l’exaspération populaire demasse peut conduire à dessituations de telle confusion que le Capital, en France comme ailleurs, peut espéreravoir du répit dans un combat ou leterrain ressemblerait un champ demines par temps debrouillard intense.

      Je rép^te etsuggère à nouveau : Ouvrons -ou plutôt continuons ce débat -avec un autre article ici sur BC.

      Nous commencerons par voir très vite que nous ommes d’accordsur l’eSSENTIEL : le besoin d’organisations refusant le "modèle" qu’on nous vante mis en placepar exemple dans les pays anglo saxons : consensus, compromis-compromission sur labase de quelquesamnégements à la marge des revendications du K, sans aucun espace de vrai "réformes" , même au sens que donnaientàemot des miltants dussocialisme de lafin du19°...,)

      Déjà, dont nous sommes héritiers, prétendaient, non sans raison, que -mot d’ordre des travailleurs était"Une seule solution la REVOLUTION"...

      On mesure le gâchis que "nous fumes (je parmle pour moi et d’autresici) quifirent en sorte, en mai 68 que soient couvert cemot d’ordre d’un "un seul chemin, Le programme Commun" !!)

      Donc, réformistes on estd’accord, c’est "nul" ..parce qu’il n’ yaPLUS
      d’espace pour desserer le neoud coulant mais , pire, tout accord "con-sensuel(?), c’est pour mieux étrangler la classe(A.N.I, retraites etc etc)

      Une fois d’accord sur ça, alors oui, avec les yeux de 2O13, qui n’interdit pas au contraire de "voir" ce qu’il ya à piocher dans des "fondamentaux" de Marx, Lenine , en le confrontant avec une approche n’excluant jamais le rappel des contextes politiques , sociaux, des annes s oufurent analysées les situations concrêtes" du moment,

      ............... alors oui, le débat s’enrichira obligatoirement de quelques questions qui montreront des approches différentes, divergentes..

      HEUREUSEMENT : S’en étonner serait réver d’un prêt à penser unique, d’une Bible du militant, ...Sans insister, cela apu exister.....nous sommes même quelues anciens "curés" gardiens des dogmes !

      Sur le fond, personne je pense ne niera le besoin d’une Organisation deMASSE ou la cohabitaion d’opinions politiques divergentes ne soitpasun frein à toutceque peut être l’affrontement de classe :.un SYNDICAT
      D’autant plus que le pluralisme actuel permet à quirefuse de voir dans les patrons un "ennemi", d’aller voir ailleurs (CFDt, FO) comment on souscrit une espèce d’assurance contrele vol, mais en acceptant que levol soit perrein..)

      Certains militants estimeront -c’est leurdroit" que si le syndicat "tient la route"pourquoi se quereller sur un besoin de Parti ?

      D’autres tenterontde préciser que si, aucune frontière entre "revendication" et" type de Société à construire" n’est demise, carl’exploitaion capitaliste ne commencepas à l’embauche pour s’arrêter àla sonnerie de fin du" travail gratuit"..., en m^me temps , l’existence des partis etdonc DU PARTI , sa capacité y compris de"l’extérieur" d’apporter l’éclairage qui peut mieux armer le combat dans la taule, est d’impérieuse nécessité

      .
      Là, sans que cela ressemble à l’histoire e la poule etdel’oeuf", les communistes, les travailleurs débattrontd’autant"mieux " que cesera sur fond de LUTTES....
      Pas qu’à partir de ce que dit Lénine, L.R. et tellefrangine de ce dernier.

      Juste un derniermot, maisalors là, juré craché, après, je sors de la "room" !

      Tu dis, AMI L.R (provocation ouréelle interogation) :

      Je n’ai pas compris la différence entre se libérer de l’exploitation capitaliste et l’abolition du salariat

      .

      Quand avec d’autres nous avions tenté de mettre en place un FORUM MARXISTE (dans les années2OO4 je crois) , très vite ce qui aurait du être unéchange devint un dialogue de sourds aveci n fine, insultes..Je pris le large

      (je ne parle pas du FMR version originale, qui tenta de reprebtee le bébé mais avec la "patte" LCR)

      Parmi ceux qui intervenaient, les"communisateurs" à la Simon(1) intégristes d’un marxisme , commed’autres le sont avec certaines sourates du CORAN, n’avaient pas tort de relever la contradiction conduisant àprétendre , d’un côté fairevolet la "cage" en éclat (dispositif d’EXPLOITATIOn d’une classe qui POSSEDE et DECIDE , avec distribution parcimonieuse du strict"nécessaire" pour renouveler la FDT)...et "revendication d’augmentaion de ce qui "fixe" la règle du contrat de domination : le SALAIRE..
      En gros, "la cage est pourrie, je veux la repeindre"..
      Cen’est pas faux ..Ce qui devient "con" , inaudible" (pardon c’est mon avis) c’est de traiter de pauvre typesans "conscience de CLASSE ceux qui essaient d’arracher auPatron plus qu’iln’entend distribuer"...
      Cette suffisance d’"intello" (?) marxisant m’a toujours fait gerber

      Ceci précisé, oui, je partage avec L.L.(c’est bien elle la frangine ?) : L’abandon dans tout ce qui étaient deslieux de"remue-méninges" prolétaires, y compris les formations syndiacales delaCGT (et j’en ai animé , je reconnais donc que moi aussi, j’ai "merdé") de rappel de ce que signifait la Société libérée de l’exploitaion , l’abolition du SALARIAT- a contribué lourdement à ce que notre ORGA puisse , sans pour autant négliger toutce qui permet ledéveloppementdesLUTTES revendicatives-dans lesquelles forcèment, il ya évolution des"consciences" , garder , pour les enrichir, desrepères originels qui expliquaient mieux le combat contre le "réformisme"....

      J’arrête !! on va croire que je ne peux pas vivreune journée sans "bavardage" saoulant

      Cordialement à tous ,frangins, frangines ou cousins...

      A.C

      (1)

      http://meeting.communisation.net/
      NB Pour"fayoter"avec L.L...et sachantqu’avec moi-sans en tirerles m^mes conclusions- elle aime bien revisiter Rosa L.., faisons cadeau aux lecteurs de la possibilité delecture gratos de 111 pages de

      "Rosa Luxemburg
      Réforme ou révolution ?
      Grève de masse,
      parti et syndicat

    • D’ accord avec ALAIN , pour poursuivre ce débat à partir d’un autre article , dans l’attente , je rappelle cette citation de FIDEL CASTRO en 1961 :

      "... le syndicat est une organisation indispensable : il organise les fonctions primordiales des travailleurs DANS la révolution .... on ne pet concevoir le pouvoir révolutionnaire sans un pouvoir qui , en paroles et en actes , représente les masses laborieuses ..."

      je publierais prochainement un texte de INICIATIVA CUBA SOCIALISTA , sur l’histoire et le rôle du syndicalisme cubain dans le processus révolutionnaire .

    • RAPPEL :

      en décembre 1995 lors de son 45 ème congrès sous la présidence de LOUIS VIANNET l’un des précurseurs de la ligne réformiste les statuts de le CGT sont modifiés, notamment l’article indiquant " ...La CGT s’assigne pour but LA SUPPRESSION de l’exploitation capitaliste notamment par la socialisation des moyens de production ... " est remplacé par : " la CGT combat l’exploitation capitaliste et l’exploitation du salariat sous toute ses formes ..."

      le lien entre l’action revendicative et la nécessité de changer la société pour améliorer durablement la condition ouvrière est donc supprimé .

    • Certains militants estimeront -c’est leurdroit" que si le syndicat "tient la route"pourquoi se quereller sur un besoin de Parti ?

      D’autres tenteront de préciser que si, aucune frontière entre "revendication" et" type de Société à construire" n’est demise, car l’exploitaion capitaliste ne commencepas à l’embauche pour s’arrêter àla sonnerie de fin du" travail gratuit"...,

      il y en a (et j’en suis :) ) qui pense les deux en même temps ! et posent la question du syndicat seulement dans l’entreprise comme on l’entend trop encore aujourd’hui par de prétendus orthodoxes ou autre déformés de la pratique institutionnalisé (chose inimaginable même par certains Frachon et Monmousseau, formé dans les bourses du travail et les syndicats locaux d’industries puissant et organisant la sociabilité de classe du quotidien...bref les orthodoxes de la défaites ils font rire a coté des anciens des victoires ouvrières).