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Démenti du Pentagone : notre nouvelle vidéo ne contredit pas le film ’Everybody gotta learn sometime’

Publie le mercredi 17 mai 2006 par Open-Publishing
11 commentaires

Chers amis,

Le post publié ci-dessous reprend une dépêche propagandiste AFP sans ancun intérêt. Je me permet de reprendre un des commentaires :

Cette vidéo ne montre pas grand chose de nouveau... Et les autres caméras, elles n’ont rien enregistré de plus parlant ? Conclusion : c’est un coup d’épé dans l’eau / une tentative désespéré du Pentagore pour faire taire le tsunami de protestations qui s’amène...

Pour ma part, je dirais qu’à près tout peut importe les différentes versions de ce qui a frappé le pentagone, même si je pense qu’il y a trop d’incohérences pour croire le Pentagore. Est-ce (un avion de ligne ? Un avion + un missile (voir le fameux impact circulaire qui transperce les anneaux du batiment de part en part), un drone ?). La réouverture de l’enquête le dira.

Si vous voulez vraiment vous convaincre que le 11/9 est un coup monté, voir le nouveau film ’Everybody gotta learn sometime’. Je sais que c’est dur à avaler, que c’est terrifiant, consternant, dramatique, mais il faut bien y passer un jour...

http://video.google.com/videoplay?d...

D’après des commentateurs, il s’agit du "film le plus dangereux de l’année 2006". Il est très convaincant. Il s’appuie sur les points de démonstration suivant :

-la connaissance anticipée des attaques que possédaient les services de renseignement (date, cibles...eh oui !! Special thanks to FBI Whistleblower Sibel Edmons, une des femmes les plus courageuses du monde, rien de moins !!)

-l’affaire Able Danger (investigations pre911 empechées)

-les exercices de simulation terroriste menés par l’armée ce jour là (sous la direction du vice président himself)

-la non intervention des défenses aériennes

-les investigations post911 empêchées

-Les omissions/déformations/mesonges de la commission sur le 11/9

-l’affaire des attaques à l’Anthrax

L’ensemble est IRREFUTABLE. Ce film à le gros avantage de se concentrer sur des faits documentés, de bien mettre en évidence le fond idéologique et la stratégie de domination mise en place par le PNAC, et surtout de ne pas exposer de théorie controversée comme les démolitions contrôlées ou le ’no plane’ du pentagone, suspectes aux yeux des sceptiques. Ce film a reçu une ’standing ovation’ lors de sa première projection au Tribecca Hall de New York ; à noter que cette première a été perturbée par une alerte à la bombe (intimidation ?).
FAITES TOURNER LE LIEN SUR VOS LISTES DE DIFFUSION !

La vérité est en marche et rien ne va l’arrêter. Il est temps que les démocrates protestent contre la vague des attentas ben-ladenistes manipulée par l’extrème droite néoconservatrice ! GRAND GRAND DEBAT d’ici les élections !

Messages

  • Je ne serai jamais assez stupéfait par la logique de nos théoriciens du complots... Qu’il faille se montrer lucide face à une presse orientée, c’est évident ; qu’il soit nécessaire d’être critique envers les déclarations de l’administration US, c’est une hygiène de l’esprit. Mais qu’on manie l’hypercritique à un point pareil, c’est de la déraison.

    La thèse de Meyssan possedait dès l’origine une lacune énorme : la disparition des 186 personnes qui volaient à bord du boeing. Meyssan prétend à l’aide de commentaires hypercritiques de quelques clichés photographiques (car il a fait toute l’enquete depuis son clavier internet, et non sur le terrain) qu’il n’y a jamais eu d’avion sur le pentagone. Que sont devenus dans ce cas les passagers du vol ? Notre Rouletabille du clavier n’a JAMAIS fournit la moindre explication à ce sujet. En d’autres temps, Forisson et consorts, qui niaient l’existence des chambres à gaz, souffraient de la même lacune : qu’étaient devenus les 6 millions de déportés : volatilisés ?

    Lorsque des photos de la chambre à gaz du camp de Strutof ont circulé, nos révisionnistes, bien embarassés, ont répondu : 1) elle est bien petite, cette chambre... 2) Si ça se trouve, ce sont les Yankees qui l’ont construite en 1945 pour valider leurs fables sur de prétendus génocides.

    Quelle preuve faut-il fournir dans ce cas ? Il est difficile à un gazé de venir témoigner à la barre de ce qu’il a subi, tout autant qu’aux passagers du boeing qui s’est crashé sur le pentagone --- ce serait pourtant là, semble-t-il, la seule preuve susceptible de mettre fin aux délires hypercritiques (quoique, la logique paranoiaque étant ce qu’elle est, ces témoins directs seraient sans doute accusés d’etre des complices à la solde du complot...)

    Amis de bellacio, je vous prie de ne pas sombrer dans le même travers hypercritique et de conserver la lucidité suffisante pour ne pas faire flèche de n’importe quel bois contre l’impérialisme US. On peut, je crois, continuer à apprécier les analyses de qualités que fournit le Réseau Voltaire, sans pour autant accepter n’importe quelle soupe révisioniste.

    A cette fin, voici un beau texte écrit par l’historien George Dumézil au sujet de l’hypercritique. Je vous invite à le méditer car il fait apparaitre l’étroite limite qui sépare la raison vigilante du gaspillage de soupçon.

    " Je disais tout à l’heure que l’hypercritique est comme la maladie naturelle de toute philologie livrée à elle-même. En effet, du moment où j’ai rencontré (et comment ne la rencontrerai-je pas, s’agissant d’une oeuvre humaine ?) la preuve que l’exposé systématique fait par un auteur ancien d’un mythe. d’une légence, d’une scène d’histoire, est en désaccord avec une autre tradition, ou avec un "fait", ou bien laisse paraitre une contradiction interne ou du moins une maladresse, ou trahit de quelque manière un effort, ou encore --- supreme joie ! --- ne contient pas ce qu’il "devrait", me semble-t-il, contenir, autrement dit du moment où je me sens autorisé à imaginer le vieil auteur à sa table travaillant sur des fiches (...) je vois dans cet auteur un collègue dont la tache était de monter, par des moyens inverses des miens, un édifice philologique que ma tache à moi est de démonter, il est évident que je me pique au jeu, que je m’engage dans une sorte de duel et que, m’appliquant à percer les intentions, les artifices et les ruses du partenaire, je lui en prete généreusement qu’il n’a jamais eues. Comme il n’est pas devant moi pour se défendre, je suis régulièrement vainqueur et chacune de mes victoires diminue le crédit que je crois pouvoir concèder à un témoin devenu suspect. Bientot, il ne reste rien : de même qu’aucun prévenu, fut-il le plus innocent du monde, ne garde sa serenité , son assurance, son air d’innocence au sortir d’un interrogatoire "scientifiquement" mené. (...) Il est difficile de montrer au philologue qu’il passe ses droits. On fait devant lui figure de naif, voire d’ignorant... Somme toute, je ne connais que trois moyens d’intervenir. (...) Le premier moyen est de rendre le critique sensible à des faits autres que ceux qu’il retient. Est-il, dans un récit, parvenu à tout expliquer sauf un trait, qu’il déclare sans importance ? On pourra lui montrer que ce trait est essentiel, que tout le récit est au contraire orienté vers lui (...) Le second moyen est de rendre la critique sensible à la fragilité et à l’arbitraire de ses propres constructions. (...) Le troisième moyen, c’est le moyen comparatif, c’est-à-dire la forme que revet naturellement, dans les sciences humaines, la méthode expérimentale"

    Styall

    • Merci Styall pour cet éclairage sur la notion d’hypercritique. Elle est malheuresement inopérante dans le cas qui nous concerne.

      Vous pouvez remettre en question certaines théories farlfelues ou apparement farfelues concernant le mode opératoire des attentats, cela n’enlève rien à la démonstration portée par ce film, qui se base sur leur contexte, sur des articles de journaux, sur des comptes rendus de procès, sur des documents officiels, etc.
      Celà n’enlève également rien aux milliers de papiers sérieux déjà écrits sur le sujet.

      Heureusement pour l’Histoire, les plus grands falsificateurs que la terre ait jamais porté ont dors et déjà perdu la guerre de l’information.

      Ce n’est pas Rumsfeld, ses stratégies obscurantistes de controle de l’information, ses légions de YES MEN et d’economic hit men, ni les trilliards de fric déversés dans la machine infernale de la guerre qui empêcherons les peuples de se pencher sur les faits qui sont aujourd’hui "all over the internet". Voyez par exemple ce qui se dit chez nos voisins de Bellaciao.uk

      Il y a 600 millions d’internaut sur terre, et l’information progresse à grande vitesse. Personne n’effacera toutes ces traces. Comment ces monstres ont ils pu croire qu’il réussiraient à cadenasser pareillement l’information à l’ère de l’internet ?

      Et si vous faites parties de ces internautes-chiens de garde qui peuplent certains lieux de l’internet en étant visiblement payé pour le faire (et oui, c’est ça la guerre de l’information !), je ne vous en félicite pas. Vous jouez contre vos semblables. J’espère que vous êtes simplement naif.

    • Styall, je n’ai pas besoin de toi pour me dire comment et quoi penser, ni non plus la majorité des personnes ici, j’en suis sûr.
      Mon opinion est faite depuis longtemps, Meyssan n’a été que le premier d’une longue chaîne d’observateurs qui ont porté à la connaissance de tous les nombreux éléments de preuve de cette ignoble machination.
      Celui qui veut bien s’informer n’a qu’à le constater par lui-même.
      Les théoriciens du non-complot comme toi on les rencontre un peu partout sur le net. Cela pourrait fonctionner sur un autre sujet, mais sur le 11 sptembre, tu peux laisser tomber, c’est trop tard.
      sergueï

    • De nouveau, je ne peux que m’étonner devant la déraison à l’oeuvre. Je suis enseignant de philosophie, militant CGT, lecteur régulier de Bellacio et du Reseau Voltaire et me voici devenu sous la plume de nos "croyants" un agent ennemi de la désinformation. Arrêtez le délire, par pitié. Prenez un peu de distance avec votre foi ! Vous rendez vous compte que c’est un fonctionnement sectaire ? Vous adhérez à un credo, autour d’un homme (Meyssan) qui, selon vous, ne peut par définition pas se tromper. Donc, toute critique vient soit d’un naif, soit d’un agent ennemi... On se croirait sur le forum d’une secte ufologique...

      Le naif n’a qu’une question sans réponse, mais elle est récurrente et centrale : que sont devenus les passagers du vol qui s’est (prétendument ?) écrasé sur le pentagone ?

      Meyssan n’a jamais répondu à cette question. Il s’est contenté de la passer sous silence. Or toute son hypothèse repose la-dessus. S’il avait raison, ces passagers n’existeraient pas. Ce n’est pourtant pas ce que disent leurs familles.

      Styall à 82.***.248.**

    • M Styall. Des preuvent ne manquent pas qu’aucun boeing civil ne s’est craché sur le pentagon avec des passagers vivants à bord. Et pourtant vous n’arrêtez pas de demander à M° Meyssan d’expliquer le sort des passagers du boeing qui s’est craché sur le pentagon.

      Pourquoi voulez-vous que M° Meyssan vous dit ce que sont devenus ces malheureux passagers ?

      Allez plutot demander à M° Bush et sa famille et à son administration. Ces gens-là sont certainement bien placés pour vous l’expliquer. Ce n’est tout de même pas M° Meyssan qui a organisé les attentats du 11 septembre !

      M° Meyssan ne sait pas ce que sont devenus les passagers des avions disparus le jour du 11 septembre 2001 parce que les avions n’ont pas encore été trouvés ni les cadavres des passagers. Il faut attendre que l’on les trouve.

      Pour le moment on sait que les attendats ont été organisés par la main directe de l’administration Bush et des explosives, des missiles et des drones ont été exploités pour commettre des attentats sur le sol américain contre le peuple américain afin de servir de pretexte à l’armée américaine pour envahir les champs pétroliers de la planète.

    • A tous salut,

      l’"hypercritique", ça veut strictement rien dire, ça ressemble à "hyperterrorisme", c’est un terme qui ressortit à la vulgate médiatique des pseudo-journalistes et pseudo-experts à la botte du pouvoir, style ceux qui ont leur entrées régulières chez Y. Calvi.

      En fait, ça doit surement désigner la critique qui dérange trop le pouvoir, la critique qui arrive justement à un stade critique pour ledit pouvoir, quand les questions deviennent trop pressantes et trop pertinentes, quand elles touchent à la vérité que le pouvoir veut absolument nous cacher, celle qui lui fait courir un gros risque.

      On est jamais trop critique, on l’est malheureusement trop souvent pas assez.

      Examinons à présent la logique défaillante du pourfendeur de l’hypercritique : puisqu’on ne sait pas où sont passés les passagers du vol 77, alors celui-ci s’est forcément écrasé sur le pentagone. C’est un peu léger, le premier fait n’induisant nécessairement l’autre en aucune manière.

      Le problème avec la vérité, c’est que lorsqu’on la cherche, on la trouve.

  • Quand CNN affirmait qu’aucun avion ne s’était écrasé sur le Pentagone

    Le journaliste de CNN spécialisé dans les questions militaires Jamie McIntyre, qui possède un bureau au Pentagone et se trouvait sur place le matin du 11 septembre 2001, rapporte face à la caméra ses premières impressions après une inspection visuelle méticuleuse du lieu de l’impact.

    JAMIE MCINTYRE : « D’après mon inspection rapprochée, il n’y a aucune preuve du crash d’un avion à un quelconque endroit près du Pentagone.
    Tout ce qui est visible, c’est la façade du bâtiment qui est enfoncée. Et comme je l’ai dit, les seuls débris sur place sont assez petits pour être ramassés à la main. Il n’y a ni morceaux de queue importants, ni sections d’ailes, de fuselage, rien de tel dans les environs qui indiquerait que l’avion tout entier s’est encastré dans la façade du Pentagone et en a provoqué l’effondrement.
    Même si lorsque vous regardez les images du Pentagone vous voyez que les étages se sont tous effondrés, cela ne s’est pas produit immédiatement. Ce n’est qu’environ 45 minutes plus tard que la structure était suffisamment fragilisée pour que tous les étages s’effondrent. »

    On constate ainsi que le matin du 11 septembre 2001, CNN affirmait qu’il n’existait aucune preuve sur place qu’un avion s’était écrasé sur le Pentagone. Pourtant, 3 jours plus tard Jamie McIntyre affirmait catégoriquement qu’il s’agissait bien d’un avion.

  • Mercredi 17 Mai 2006
    La presse n’a pas relevé un long passage de la lettre adressée par Mahmoud Ahmadinejad à George W. Bush le 8 mai 2006.

    11 septembre 2001 : le président iranien accuse George W. Bush

    http://www.marcfievet.com/article-2...

    • C’est tout à fait vrai. Je suis iranien et j’ai lu la lettre du président iranien dans les journaux iraniens. Ahmadinedjad accuse gravement l’administration Bush sur les attendats du 11 septembre et dit clairement que cette administration en a été plutot l’instigateur. C’est tout de même halucinant qu’aucun média européan n’a voulu traduire cette partie de la lettre d’Ahmadinedjad à Bush. C’est uen lettre officielle et déposée à jamais dans l’histoire. Au nom de quoi les médias se donnent le droit de cencurer une partie d’une lettre officielle d’un président à un autre président si ce n’est que ces médias ne travaillent que pour des organismes internationnaux.

    • Comment est il possible qu’aucun des medias francais qui viennent de diffuser ces images ne se rende a l’evidence ??? Qui voit un boeing sur ces images ??? on voit sur une image un truc blanc ,assez petit ( pour un boeing ) a droite de l’image , on vous dit "c’est le boeing american airlines" et vous le voyez !!! Sans même parler de théories , je trouve ca hallucinant , certains sites de ces "grands medias francais" constatent juste que ces images sont "peu explicites" , mais voient tous un avion ???