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Evo Morales appelle les États-Unis à coopérer contre le terrorisme
Publie le mercredi 29 mars 2006 par Open-Publishing1 commentaire
Le Président bolivien, Evo Morales, a relevé que la participation d’un Étasunien à deux attentats terroristes à La Paz est suspecte. Il a demandé aux États-Unis de contribuer à l’enquête ouverte sur l’affaire.
Au cours d’une brève conversation avec des journalistes, Evo Morales a dit qu’il n’a reçu aucune information ou communication faisant état d’éventuelles réactions d’irritation des États-Unis à cause de ses commentaires sur les attentats qui ont fait deux morts.
Il a insisté sur le fait qu’il est fort suspect que, pour la première fois dans l’histoire de la Bolivie, un Étasunien se soit rendu en Bolivie pour tuer des personnes innocentes et il a ajouté " je voudrais bien que des terroristes ne continuent pas à venir chez nous ".
Il a de nouveau condamné les attentats à l’explosif perpétrés dans deux petits hôtels. Il a signalé qu’il ne croit pas qu’il s’agisse de faits isolés.
Messages
1. > Evo Morales appelle les États-Unis à coopérer contre le terrorisme, 29 mars 2006, 15:00
Et on dit que la mondialisation est inévitable, ces pays d’Amérique du Sud nous montrent que quelqu chose d’autre peut exister
je jubile lorsque je lis cet article
Je jubile lorsque je lis que TOTAL va devoir payer au fisc Vénézuelien 108 millons de dollars d’arriérés ainsi que les pénalités de retard et intérêts
Je jubile lorsque je lis qu’au Pérou M. Oilanta Humala, candidat de gauche en tête des sondages prospose de nationaliser les secteurs stratégiques de l’économie comme l’énergie et en plus (cerise sur le gâteau) qualifie le modèle néolibéral de "caduc" et veut imposer les superprofits
eN fRANCE NOUS DEVONS ENFIN REJETER CETTE POLITIQUE ULTRALIBERALISTE et ne pas céder
mais pour cela nous devons former une alternative UNIE ET FORTE et enfin mettre ses idéologies propres en sourdine mais Ca c’est une autre histoire.
Car en France : il n’y a que SON parti qui a raison et que l’on applaudi quelqu’il soit, on n’aime bien les cloisonnages
Nicole