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L’infâme au foyer

Publie le jeudi 10 février 2005 par Open-Publishing
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Maison d’Ariane, un foyer pour femmes en détresse, fait l’objet de rumeurs depuis sa création en 1999. Aujourd’hui, son directeur est mis en examen pour viols.

Denis Roux

Scandale en Vendée, où le directeur d’un foyer pour femmes en détresse est mis en examen pour agressions et viols sur sept femmes et sur une fillette âgée de 5 ans. Basé à La Roche-sur-Yon, Maison d’Ariane s’est donné pour mission d’aider des femmes en difficulté à poursuivre leur grossesse à leur terme. Pourtant, depuis sa création en 1995, la polémique n’a fait qu’enfler. Non pas tant pour son positionnement anti-IVG que pour l’un des objectifs affichés dans ses statuts : « Informer et accompagner [les femmes] dans les démarches de consentement à l’abandon. » L’Etat, via la DDASS, et le conseil général de Vendée, présidé par Philippe de Villiers, participent financièrement à la vie de la structure.

Tournure politique

Ce soutien ne se démentira pas malgré des rumeurs d’humiliations et de discriminations qui circulent dès avril 1999. En 2000, une Comorienne est « mise à pied » et se retrouve à la rue avec ses trois enfants. Plusieurs femmes, d’origine africaine, signalent qu’elles sont fortement incitées à quitter la France en laissant leur enfant, « qui serait plus heureux en se faisant adopter par une bonne famille ». Une enquête de la DDASS et une plainte entraîneront le départ du directeur en 2002. C’est son remplaçant qui est aujourd’hui mis en examen pour des faits criminels. Sa remise en liberté, contre l’avis du parquet, n’est pas de nature à calmer les esprits dans ce dossier qui a vite tourné au conflit politique. Le maire PS de La Roche-sur-Yon réclame la fermeture de cet établissement

http://www.lepoint.fr/societe/document.html?did=158758

Messages

  • En mars 2003 un Commandant de la Police Judiciaire s’est suicidé à La Montagne près de Nantes. Il enquêtait depuis plus d’un an sur des réseaux de spoliation sur personnes vulnérables à Nantes et en Vendée (mises sous tutelle abusives). Il avait assuré lors d’une enquete sur une spoliation à Nantes qu’il aurait des résultats en mai 2003. L’une des auteurs des abus est une procureure, Mireille Cadenat Duthil. Elle agissait en collaboration avec la directrice de l’hopital de jour de Nantes, responsable d’associations "sociales" comme AGAD, Association de garde et d’aides à domiciles, et autres associations d’"aide" à personnes vulnérables, Françoise Meissan. Peu de temps avant son suicide le policier nous a fait dire que ça tournait mal, que sa hierarchie ne suivait plus, qu’il ne fallait plus parler de lui. Il nous avait déjà dit auparavant qu’il risquait sa carrière mais qu’il irait jusqu’au bout. Le Juge Desaunettes suit l’enquête sur ces réseaux dans lesquels on retrouve de nombreux notables nantais, avocats, notaires, etc, Si ça vous intéresse faites le moi savoir par mail. Ch. Berniel
    e mail : dossier_ariane@directbox.com