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Les "gentils" sites web et autres contacts bannis par le "méchant" Iran

Publie le mardi 5 janvier 2010 par Open-Publishing
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A leur place on ferait pareil ! Quelles pertes, la fondation Rockfeller, le NED, Voice o f America...!!!! Que de bons médias de propagande pro us pro capitaliste etc. bien connus dans le monde entier pour foutre le bordel avec la CIA à la moindre occasion.

Quant aux Moudjahidines, que Sarkozy a refusé encore récemment de rayer de la liste des orgas terroristes en Europe, on aurait beau jeu de s’offusquer... Une bande de malades qui "lutte" en s’immolant devant les ambassades...quelle perte pour la démocratie, c’est sûr.

LEAVE IRAN AND IRANIANS ALONE AND IN PEACE ! HANDS OFF !


"Après la répression, la pression. Les autorités iraniennes poursuivent la mise au pas de leurs opposants, intérieurs comme extérieurs. Cette fois, les citoyens sont interdits de tout contact avec ceux que le régime considère comme ses ennemis. Le ministère des Renseignements a en effet publié ce mardi une liste des organisations, médias ou structures qui ont, selon lui, joué un rôle dans les manifestations anti-gouvernementales depuis la réélection contestée du président Mahmoud Ahmadinejad en juin dernier.

"Tout contact, contrat, utilisation des moyens de ces sociétés qui participent à une ’guerre en douceur’ sont interdits et illégaux", a déclaré le vice-ministre des Renseignements, cité par les médias iraniens. Parmi les ONG citées, figurent essentiellement des organisations américaines comme Human Rights Watch, Brookings Institution, la fondation George Soros, National Endowment for Democracy (NED) ou les Fondations Ford et Rockfeller.

Difficile à contrôler ?

Il est également interdit de collaborer ou d’avoir des contacts avec les "chaînes satellitaires en persan hostiles à la République islamique comme la Voix de l’Amérique, la BBC, Radio Farda (ndlr : financée par les Etats-Unis), Kol Israël (ndlr : la radio officielle israélienne) et les chaînes par satellite appartenant aux Monafeghine (ndlr : "hypocrites", terme utilisé pour désigner les Moudjahidine du peuple) et aux monarchistes". Les sites internet de l’opposition, comme Rahesabz.com, sont également visés

Le gouvernement a enfin demandé aux Iraniens de ne pas avoir de "contacts sortant de l’ordinaire avec les ressortissants étrangers, les ambassades étrangères et les organisations qui leur sont liées".

Reste désormais à savoir si le régime aura les moyens de contrôler l’interdit qu’il vient de mettre en place.

http://lci.tf1.fr/monde/moyen-orient/l-iran-bannit-les-contacts-avec-60-ong-5625241.html


Qu’est ce que "VOICE OF AMERICA" sinon un grossier instrument de propagande au service de l’Etat US ?

cf Wikipédia :

"Voice of America (VOA), ou en français La Voix de l’Amérique, est le service de diffusion internationale par radio et télévision du gouvernement américain. Contrairement à la Deutsche Welle, Radio France Internationale ou BBC World Service, VOA est directement contrôlé par l’État. Son organisme de tutelle est l’International Broadcasting Bureau. Il y a aussi plusieurs stations de radio affiliées ou engagées avec VOA qui diffusent ses programmes. Ceux-ci sont également disponibles sur Internet. VOA fut d’abord installé à Union Township (aujourd’hui : West Chester Township), dans l’état de l’Ohio. Parmi d’autres sites de VOA se trouvent ceux de Dixon (Californie), Hawaï, Okinawa, le Libéria, le Costa Rica et le Belize. L’audience de Voice of America dépasserait 116 millions d’auditeurs et de téléspectateurs en 2006, contre 163 millions pour BBC World Service et 44 millions pour RFI."

"Les buts de V.O.A. sont définis dans une charte établie en 1960 et devenue loi le 12 juillet 1976 (Public Law 94-350)[1]. Ils sont au nombre de trois :

* Etre une source fiable d’information, avec précision et objectivité.

* Présenter la société américaine, ses modes de pensée et ses institutions.

* Présenter avec clarté la politique américaine."

"En matière de diffusion radiophonique internationale les États-Unis ont fait preuve de retard : dans les années 1930, ils sont le seul grand pays à ne pas disposer de radio publique émettant vers l’étranger. Seule une douzaine d’émetteurs ondes courtes de faible puissance et appartenant au secteur privé existent alors dans ce pays. En 1941, plusieurs d’entre eux sont loués par la Coordination for Inter-American Affairs (C.I.A.A.) pour diffuser des programmes vers l’Amérique Latine. Au milieu de 1941, le président américain Roosevelt crée le Foreign Information Service (F.I.S.) chargé d’émettre vers l’étranger. L’entrée en guerre des États-Unis contre le Japon et l’Allemagne à la fin de cette même année facilite les choses. Dès décembre 1941, le F.I.S. lance ses premières émissions à destination de l’Asie. Le 24 février 1942, le F.I.S. débute sa diffusion vers l’Europe grâce aux émetteurs à ondes courtes de la BBC. En juin 1942, Voice of America est placée sous l’autorité de l’Office of War Information (O.W.I.)[2].

Avec la fin de la guerre, Voice of America ferme plusieurs de ses services en langues étrangères. A la fin de 1945, un comité désigné par le gouvernement des États-Unis et présidé par Arthur McMahon de l’université de Columbia lui demande de prêter plus d’attention à V.O.A. Ainsi la station, de même que la C.I.A.A. passe sous le contrôle du Département d’État le 31 décembre 1945.

Le début de la Guerre Froide : 1947 – 1953 [modifier]

L’apparition de la Guerre froide en 1947 donne une nouvelle justification à l’existence de Voice of America : faire entendre la voix de l’Amérique face à celle de l’Union soviétique. En 1948 est voté le Smith-Mundt Act qui fait dépendre les services de diffusion à l’étranger de l’Office of International Information of Department of State.

La Voix de l’Amérique connaît une grave crise en 1953. C’est à partir du 16 février 1953 que le sénateur Joseph McCarthy s’intéresse à V.O.A., dont il accuse certains employés de ‘‘négligence favorisant le communisme’’. Plusieurs salariés doivent démissionner ou sont licenciés, le budget de la station est diminué, passant de 21 à 16 millions de dollars, le projet de construction d’émetteurs est arrêté, et plusieurs services en langues étrangères sont supprimés[3].

La suite de la Guerre froide : 1953 – 1990 [modifier]

La même année une commission désignée par le président Eisenhower conclut que les services d’information destinés à l’étranger ne doivent plus être contrôlés par le Département d’Etat. Aussi l’United States Information Agency (U.S.I.A.) est créée le 1er août 1953, dont dépend Voice of America. De plus, la station déménage de New-York à Washington.

En 1960, le directeur de l’U.S.I.A. adopte la charte de Voice of America qui établit les principes guidant la station de radio. En 1969, elle connaît sa meilleure audience : 800 millions de personnes suivent sa retransmission des premiers pas de l’être humain sur la Lune. Le 12 juillet 1976, la charte de V.O.A. devient loi fédérale (Public Law 94-350). En 1977, la station devient le premier diffuseur international à utiliser en permanence le satellite pour transmettre des émissions.

Au cours des années 1980, VOA lance ses programmes de télévision. En 1983, elle initie un programme de reconstruction et de modernisation de ses équipements techniques, devenus obsolètes[4].

Les années 1990 [modifier]

En 1997, le gouvernement albanais coupe la diffusion des programmes de Voice of America par des stations locales. La même année les diffuseurs américains vers l’international accèdent au satellite AsiaSat 2. Un changement important a lieu avec le Foreign Affairs Reform and Restructuring Act de 1998 qui, le 21 octobre 1998, place les diffuseurs publics non-militaires de programmes destinés à l’étranger sous la tutelle du Broadcasting Board of Directors, composé de neuf membres[5]."

http://fr.wikipedia.org/wiki/Voice_of_America

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