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Pour combattre le décrochage scolaire

Publie le lundi 20 avril 2009 par Open-Publishing
2 commentaires

De temps en temps, les médias québecois se plaignent hypocritement du décrochage scolaire élevé au Québec. Dans une société où l’argent achète les diplômes et les bons emplois qui s’ensuivent, il ne faut pourtant pas se surprendre de ce phénomène.

La tentation est forte chez les étudiants provenant d’un milieu moins bien nanti de décrocher.

Mais évidemment, tout est organisé pour que les bons emplois et les bons salaires demeurent dans les familles qui ont les moyens de s’instruire.

Dans cette société québecoise où les dirigeants politiques mangent dans la main de l’élite financière et affairiste et dans laquelle on retrouve un tas de citoyens soucieux de protéger leur statut social aux dépens de leurs concitoyens moins nantis, la solution à apporter passe à n’en pas douter par la gratuité scolaire. C’est en effet et sans aucun doute la meilleure façon de combattre le décrochage scolaire.

Le parti Québec solidaire propose la gratuité scolaire et la fin de l’endettement des étudiants pour un Québec plus juste et plus humain.

Messages

  • Le parti Québec solidaire propose la gratuité scolaire et la fin de l’endettement des étudiants pour un Québec plus juste et plus humain.

    Eh oui, au lieu de faire porter le chapeau aux professeurs, en les accusant d’être à l’origine du mal, en les trainant dans la boue en se servant des medias, en réduisant le nombre de postes, la voila la première des conditions pour qu’il y ait une véritable démocratie dans l’Education : la gratuité de l’accès à l’Ecole et à l’Université pour une partie de la population.

  • si les chomeurs soit ceux qui ont du temps libre y compri partiel sont accepté dans le proccésus au même titre que a la formation proféssionnel les salariés sinon que vaut l’accumulation des contribuables alloué aux enfants de +16 ans qui réussisent leurs études c’est seulement une classe sociale. donc un chomeur une carte d’étudiant gratuite et un étudiant n’est pas égale a un chomeur. le polindrome idéale si dessus a éviter puisque l’écolier est financé par les allocations familiales c’est juste une dépendance journaliére au foyé fiscale insufissant en revenu pour des horaires de cour. perduré sans fonction reconnu d’auditeur depuis l’école jusqu’a l’université est valable si cela se transforme en égalité sociale et pour cela il faut les chomeurs. ce qui est favorable au fait de l’autonomie fiscale pour autant que la naissance d’un enfant déclenche l’attribution d’allocation familliale dû a la personne a charge pendant au moins 20 ans. si il s’agit des mêmes caisses familiale et sécurité sociales l’assurance chomage est a part se qui est contradictoire avec l’inclusion des chomeurs mais c’est un propos de banque parcequ’il s’agit d’évité d’avoir plusieurs feuilles de paies pour subvenir a une inscription voir deux et autres tickets de dépenses. une tel revendication est recevable parcequ’elle résorbe la dette publique a partir du moment ou le statu d’étudiant est complétement maientenu dans la richesse au sein du patrimoine publique c’est juste que la rétribuation servent a participer au changement de publique de l’ecole. la gratuité révéle alors l’éducation en ce qu’elle est financé soit non octroyé. voir la page des anciens du www.l-a-p.org/ - 16k