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Pourquoi la suppression des postes de pions (MI-SE) était indispensable

Publie le mardi 12 octobre 2004 par Open-Publishing

Selon l’hebdomadaire Lutte Ouvrière du 8 octobre 2004, le proviseur d’un lycée de Blois paye 38 000 euros par an à une société de gardiennage pour avoir un vigile à la porte. La somme est prise sur le budget général du lycée.

C’est bon pour l’emploi.