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carla et moi c’est du sérieux ! ... que je vide des caisses déjà vides !

Publie le lundi 4 février 2008 par Open-Publishing
12 commentaires

Un mariage médias non admis pour les Sarkozy
JOELLE MESKENS

lundi 04 février 2008, 07:11

SOBRE et intime. Le Président français a retenu la leçon de ses conseillers. Et celle des sondages…
Paris - DE NOTRE ENVOYÉE PERMANENTE

Une cérémonie on ne peut plus discrète. Montre en main, dix minutes pour la lecture du Code civil, les alliances et le baiser. Et dix minutes pour l’orangeade offerte aux très rares invités. Nicolas Sarkozy et Carla Bruni ont évité toute publicité pour leur mariage, samedi matin, dans un petit salon du premier étage de l’Elysée. Le secret avait été on ne peut mieux gardé. Le maire du VIIIe arrondissement, François Lebel, avait été mis au courant il y a une dizaine de jours. Un quart d’heure avant de célébrer l’union, l’élu s’est présenté au palais par une porte dérobée. Les proches des deux époux ont fait de même. Dont leurs quatre témoins, Nicolas Bazire (ancien directeur de campagne d’Edouard Balladur) et Mathilde Agostinelli (directrice de la communication chez Prada) pour lui, le musicien Julien Civange et l’ex-mannequin Farida Khelfa, pour elle. À peine une trentaine d’intimes étaient présents. Même les plus vieux amis du Président, les époux Balkany ou le chanteur Didier Barbelivien, par exemple, n’ont appris la nouvelle qu’après qu’ils se furent dit « oui ».

Aucun média n’a été convié à la noce. Le seul portrait finalement offert aux journalistes a été celui du… maître de cérémonie. « Ils étaient émus et amoureux », a expliqué le maire du VIIIe arrondissement sur le trottoir du Faubourg Saint-Honoré, lui-même manifestement tout chose d’avoir officié pour cette première historique : jamais jusqu’alors sous la Ve République un président ne s’était marié en cours de mandat.

Le maire s’est même offert le luxe de détailler leur tenue. « La mariée était en blanc, mais pas en robe longue. Une robe Hermès, avec un liseré bleu marine. Le marié portait un costume sombre et une cravate. »

La nouvelle du mariage a été confirmée par un communiqué très laconique de l’Elysée, sept heures après la célébration et cinq heures après le « scoop » de RTL. Juste avant que les mariés se rendent pour le dîner et la nuit de noces au pavillon de la Lanterne, à Versailles, une luxueuse résidence jusqu’alors dévolue au Premier ministre mais que le Président s’est réservée depuis son élection en mai dernier. Là non plus, les journalistes n’étaient pas les bienvenus.

À peine deux mois et demi après sa rencontre avec l’ancien mannequin et moins de quatre mois après son divorce avec Cécilia, Nicolas Sarkozy s’est donc marié pour la troisième fois, quelques jours après son cinquante-troisième anniversaire. Un mariage qui devrait résoudre les épineuses questions de protocole qui s’étaient posées ces dernières semaines. Le Président avait dû se rendre seul en voyage officiel dans le Golfe et en Inde pour ne pas froisser ses hôtes. Une régularisation qui, espèrent les proches du Président, devrait aussi clore la séquence « people » entamée lors de la première sortie publique du couple en décembre dernier à Eurodisney.

Mais les premières sorties officielles de la nouvelle « première dame » seront immanquablement suivies et commentées. Fin mars, le couple sera l’invité de la reine d’Angleterre…

Car si Nicolas Sarkozy, dans le passé, avait beaucoup instrumentalisé sa vie privée pour se forger une légende de « Kennedy français » (cette mise en scène avait atteint son sommet lors de son élection à la présidence de l’UMP, fin 2004, quand son fils Louis avait lancé sur écran géant : « Bonne chance mon papa »), il négocie aujourd’hui, à la demande pressante de ses conseillers, un virage à cent quatre-vingts degrés. Il faut dire que la médiatisation de sa rencontre avec Carla Bruni a eu un effet plutôt négatif sur l’opinion. L’exposition du bonheur privé du Président a créé un redoutable contraste avec son aveu d’impuissance à améliorer le pouvoir d’achat des Français. Et cela alors même que lors de la campagne électorale de l’an dernier, Nicolas Sarkozy avait placé le sujet en tête de ses priorités. Lors de sa conférence de presse du 8 janvier dernier, deux de ses phrases s’étaient entrechoquées. Après avoir glissé dans un sourire « Carla et moi, c’est du sérieux », il avait ajouté, quelques minutes plus tard : « Qu’attendez-vous de moi ? Que je vide des caisses déjà vides ? » Selon les politologues, les photos des vacances du couple en Égypte et en Jordanie auraient joué comme un « facteur aggravant » dans la disgrâce présidentielle. En deux mois, le chef de l’État a vu sa cote chuter de vingt points.

Le mariage ayant été célébré, la base de l’UMP espère désormais que le sujet de la vie privée du Président cessera de parasiter la campagne municipale. Le premier tour de l’élection est programmé dans cinq semaines et la crainte d’un vote sanction hante les esprits de la majorité.

 http://www.lesoir.be/actualite/fran...

Messages

  • libre belgique encore (...) :
    Caractère imprévisible

    Reste que la personnalité affirmée de Carla Bruni, son exposition médiatique, sa carrière de chanteuse, et jusqu’à la liberté revendiquée dans sa vie amoureuse, laissent ouverte la question de la place qu’elle va prendre au Palais de l’Elysée. "C’est du sérieux", avait dû insister M.Sarkozy en janvier, alors que la presse a souvent dressé un portrait sans concession de sa compagne, faisant la liste de ses conquêtes masculines et la présentant en "prédatrice".

    "Avec un caractère aussi imprévisible que Carla Bruni, Nicolas Sarkozy court un risque", relève lui aussi le politologue Philippe Braud. Pour autant, si l’ex-mannequin trouve sa place à l’Elysée, "son élégance, sa culture, sa popularité d’artiste et son sens des relations publiques pourraient jouer un rôle vital dans l’image d’un président moderne",

    • Une jeune femme qui a plus d’une corde à son luth
      J.-C.M libre belgique

      Mis en ligne le 04/02/2008

      La nouvelle première dame de France a connu plusieurs vies. C’est au Président qu’elle réserve désormais ses berceuses.
      Madame Sarkozy, de son nom de jeune fille Carla Bruni Tedeschi et de son nom d’artiste Carla Bruni tout court, a, en quarante années d’existence, connu plusieurs vies, qui en disent long sur ses étonnantes facultés d’adaptation au monde moderne et à une société en mutation permanente.

      Celle qui a toujours affirmé qu’elle ne voterait jamais qu’à gauche, car il s’agit d’une tradition familiale à laquelle elle n’entend, semble-t-il, pas déroger, et qui a d’ailleurs apporté son soutien sinon sa voix à Ségolène Royal, la rivale socialiste de son Nicolas de mari, aux élections présidentielles française de 2007, n’a pas peur de cultiver un certain sens du paradoxe même s’il n’est pas rare de voir des couples très assortis nourrir des convictions politiques divergentes.

      Ce sens du paradoxe, la féline Carla le manie aussi dans d’autres domaines. La voici qui accepte de passer l’anneau à son doigt de fée alors qu’elle prônait naguère la polygamie et qu’elle a longtemps pratiqué l’amour comme un sport de compétition, en passant des bras d’une star de la musique rock dans ceux d’un acteur de cinéma en vue et du lit d’un ténor du barreau dans celui d’un philosophe, au demeurant fils d’une ancienne conquête et papa du fils de Carla, garçonnet auquel on souhaite, maintenant que les choses s’officialisent, de ne plus jamais être victime ni des paparazzi, ni de la tentation de sa maman et de son nouveau beau-père de faire parler d’eux.

      Mannequin, Carla Bruni a su, une décennie durant, faire parler son corps svelte et souple. Auteur, compositeur, interprète, elle a réussi, par la suite, installer autour d’elle une atmosphère, qui a séduit de nombreux auditeurs, francophones et anglophones, et même des chanteurs reconnus, qui ont porté certains de ses textes et mélodies sur les scènes. Sa voix suave envoûte ou endort, c’est une question de goût mais, à moins d’être mal intentionné, on ne peut dénier à la désormais première dame de France un authentique talent, qui lui a d’ailleurs valu de remporter, en 2003, la Victoire de la musique de l’artiste féminine de l’année.

      C’est désormais à un mari qui goûte assez volontiers à la variété grand public que la fille du compositeur d’opéra et industriel Alberto Bruni Tedeschi et de l’actrice et pianiste concertiste Marysa Borini (elle a de qui tenir, on le constate) et la soeur de l’actrice, scénariste et réalisatrice Valeria Bruni-Tedeschi réservera désormais ses berceuses, même si rien ne dit qu’elle ne continuera pas sa carrière.

      L’Elysée toutefois n’est ni un studio d’enregistrement, ni une discothèque branchée, ni une maison de couture. Et être femme de président de la République, fût-il celui de la rupture, impose une réserve et un comportement peu compatibles avec la vie d’artiste qu’on assimile assez aisément à la bohème.

      Cela dit, les nouveaux mariés risquent de céder à des habitudes assez différentes de celles des couples qui les précédèrent en ce palais glorieux. Et si tel n’était pas le cas, Mme Sarkozy se souviendra avec fruit de ses passages dans les meilleurs internats privés suisses et français, endroits où l’on assure aux pensionnaires une éducation en or massif.

      Top model ou pas, guitariste ou non, l’amie de Julien Clerc et l’ancienne amante d’Eric Clapton, Mick Jagger, Vincent Perez, Charles Berling ou Arno Klarsfeld, pour ne citer que les plus "pipoles", s’est, en tout état de cause, offert un nouveau "challenge" comme on dit si bien dans les milieux qu’elle fréquente. Il lui reste désormais à se faire aimer des Français, dont elle avança un jour qu’elle les trouvait de "mauvaise humeur" et "constamment négatifs".

    • le temps (suisse :

      La politique s’invite au mariage

      FRANCE. Nicolas Sarkozy et Carla Bruni sont unis depuis samedi.

      Arlette-Elsa Emch
      Lundi 4 février 2008

      Le mariage surprise de Nicolas Sarkozy aura-t-il des conséquences politiques sur la suite de son mandat ? Le président de la République a en effet uni son destin avec celui de Carla Bruni-Tedeschi samedi matin au palais de l’Elysée. La cérémonie s’est déroulée à l’écart des médias en présence d’une trentaine de proches, dont la mère et les enfants du président.

      Cette discrétion rompt avec la médiatisation qui, jusqu’alors, avait placé sous les projecteurs le début de son mandat. Une sobriété qui traduit sans doute la volonté de régulariser une situation qui brouillait l’image du président auprès des Français. La mise en scène de sa vie privée est souvent citée comme l’une des raisons de son importante baisse de popularité. Selon un dernier sondage, seuls 41% des Français font désormais confiance à Nicolas Sarkozy. Le président français a perdu 15 points chez les catholiques pratiquants entre décembre et janvier. L’enjeu est d’autant plus important que les élections municipales françaises auront lieu dans cinq semaines. A Chartres, la droite a de grandes chances de perdre les élections législatives partielles qui ont eu lieu ce week-end.

      D’autre part, comme le cas s’est présenté lors d’une récente visite officielle en Inde, le mariage permet d’aplanir les difficultés protocolaires des voyages présidentiels. Le Sunday Times le soulignait par exemple hier : l’officialisation de la liaison épargnera « l’embarras » de la reine Elisabeth II, qui recevra le président à Windsor fin mars, mais ne savait pas jusqu’ici s’il fallait offrir ou non des chambres séparées au couple.

      Place de la première dame

      Le Parisien notait pour sa part dimanche que « le camp sarkozyste escompte que son héros pourra se remettre pleinement au travail, le montrer et le faire savoir », rappelant que les huit premiers mois du mandat de Nicolas Sarkozy « ont été largement occupés par « la séquence people ».

      Reste que des interrogations demeurent autour de la forte personnalité de Carla Bruni, son propre goût de l’exposition médiatique, sa carrière professionnelle, sans compter la liberté revendiquée dans sa vie amoureuse. Autant de traits qui laissent ouverte la question de la place que la première dame prendra au Palais de l’Elysée.

      « Peu importe Carla Bruni, les Français ont élu un président et non pas un couple, remarque le chroniqueur Bernard Guetta. En régularisant sa situation même discrètement, Sarkozy n’en remet pas moins ses sentiments sur la place publique. Et les Français sont irrités par ce président qui donne trop de temps à sa vie privée et désormais de jeune marié. Il nous agace, alors même que les Français ont besoin de sérieux. Le président a encore quatre ans devant lui. S’il est contesté, il ne faudrait pas qu’il en vienne à être décrédibilisé. Sa majorité, par essence conservatrice, est d’ailleurs plus irritée par cette situation que la gauche. Sa base craint l’avancée de l’opposition aux élections municipales. Nous sommes ici dans des chimies non maîtrisables. Toute nation même dans les temps modernes souhaite que son président garde une part de réserve de bon aloi et de respect des conventions. »

    • 24H (suisse) :

      RSS
      Première dame et star du show-biz, l’équation difficile de Carla Bruni
      PEOPLE | 20h23 Mariée samedi au président de la République, l’ex top-model et chanteuse Carla Bruni sera confrontée à une difficile équation si elle entend rester une star du show-biz tout en assumant son rôle de Première dame.

      Une affiche pour une marque automobile italienne avec Carla Bruni, le 25 janvier 2008 à Luxembourg
      | 03 Février 2008 | 20h23

      Une publicité à la télévision illustre la problématique : depuis plusieurs mois, Carla Bruni est l’égérie de la firme automobile Lancia, pour un spot télévisé qui la montre vêtue d’une robe du soir lors d’une cérémonie mondaine.

      La jeune femme snobe tous les "people" qui arrivent dans de longues limousines, elle qui descend d’une toute petite voiture de ville de la marque italienne. On la voit une guitare à la main, on entend sa voix, comme si elle jouait son propre rôle. Apparaît alors l’inscription : "Cinq ans de garantie".

      La publicité, diffusée dans plusieurs pays d’Europe, était encore visible dimanche sur plusieurs chaînes de télévision françaises, notamment France 2 et Paris Première.

      Interrogé par l’AFP sur l’opportunité de faire cesser la diffusion de cette publicité, Franck Louvrier, responsable de la communication à l’Elysée, a répondu : "Voyez avec son agent".

      "On est là dans un domaine complètement inédit", explique Philippe Braud, professeur à Sciences po et auteur du "Petit traité des émotions, sentiments et passions politiques" (Armand Colin).

      "Une activité professionnelle, ce serait nouveau, cela peut même être positif, mais à condition que cela ne renforce pas l’image bling-bling du couple", ajoute-t-il.

      La nouvelle Première dame, 40 ans, prépare par ailleurs le troisième album d’une carrière de chanteuse déjà bien établie : un "album studio" regroupant une douzaine de chansons inédites, dont la sortie est prévue au printemps.

      En 2002, elle avait publié "Quelqu’un m’a dit", qui a connu un succès considérable (1,2 million d’exemplaires en France, 800.000 à l’étranger).

      Son deuxième album, "No promises", paru début 2007, n’a pas fait les mêmes ventes.

      La mère de Carla a prévenu récemment dans une interview qu’il faudrait aménager à sa fille un endroit à l’Elysée pour qu’elle puisse travailler sa musique et sa voix.

      L’officialisation de son union permettra au président Sarkozy, 53 ans, d’éviter bien des embarras diplomatiques lorsqu’il voyagera à l’étranger, notamment dans les pays les plus conservateurs.

      Sa compagne n’avait pu l’accompagner en visite officielle en Inde, pour des raison de protocole. Et un député égyptien indépendant, Gamal Zahran, a protesté fin décembre contre sa visite privée en Egypte en compagnie de Carla, estimant que "le pays qui abrite al-Azhar", la plus haute instance de l’islam sunnite, aurait dû refuser des comportements "libertins".

      En France, la cote du chef de l’Etat est nettement à la baisse dans les sondages, en partie à cause de sa vie privée. 76% des sondés désapprouvent cet "affichage", selon un sondage LH2 Libération à paraître lundi.

      Pour le président du Conseil constitutionnel, Jean-Louis Debré, "à partir du moment où vous avez reçu une mission du peuple, quelle que soit cette mission, il y a une certaine tenue à avoir".

      "Il faut faire attention à ne pas désacraliser les fonctions officielles", a-t-il ajouté dimanche sur Radio J.

      "En amour, quand on fait de la politique, il faut être sur ses gardes", explique Philippe Braud, rappelant que l’avertissement a été lancé par Richelieu, Mazarin, Napoléon et même de Gaulle.

      Le nouveau couple devra "éviter les péripéties bruyantes et les orages répétés". "Mais il y a un risque, car le passé du président, divorcé deux fois, et celui de Bruni, fait qu’on retient son souffle", a-t-il ajouté.

    • (...) dernière heure
      Nicolas Sarkozy n’aura donc pas traîné : son mariage - le 3e - est intervenu 3 mois et demi à peine après son divorce. Mais bon, la nature a horreur du vide...

      Il est vrai que Nicolas Sarkozy n’avait fait mystère ni de son idylle ni de sa passion pour sa nouvelle compagne. "C’est du sérieux", avait-il encore assuré début janvier.

      Mais cela n’empêchait pas les Français de se lasser de ce feuilleton fréquemment relancé à coups de rumeurs, de déplacements hautement médiatisés ou de l’une ou l’autre photo coquine de la nouvelle élue du coeur de Nicolas Sarkozy. Sa cote de popularité en souffrait même : 41 % de satisfaits, selon un sondage à paraître ce lundi dans Libération. Plus inquiétant, la mauvaise passe du président de la République semble également nuire à la droite tout entière, qui risque de perdre bien plus de plumes que prévu lors des élections municipales de mars prochain.

      L’officialisation du mariage devrait donc mettre un point final à la saga. "Tout rentre dans l’ordre à cinq semaines des élections municipales tant redoutées par la droite qui craint le vote-sanction d’un électorat troublé par l’image trop clinquante du chef de l’État", estime à cet égard le J ournal du Dimanche.

      Reste à voir si les Français apprécieront le régime de faveur réservé au président de la République, qui a pu se marier à l’Élysée et faire l’impasse sur la publication des bans grâce à une dérogation spéciale du procureur de la République.

      (...)

  • On s’en fout. Quant à sa chute de popularité, sachez une chose, sa majesté vous emmerde et vu qu’ un grand nombre de nos concitoyens(nnes) affiche de magnifiques dispositions pour le rôle de veaux et de génisses, ça risque de durer. Il n’y a qu’à voir ce qui va se passer aujourd’hui avec la bénédiction d’un bon nombre de salopards de gôôôche. lul

  • Merci de votez pour moi ... car visiblement la gauche de la gauche n’est pas présente sur ce site !
    Je n’ai pas pu m’empêcher d’y participer sous l’angle humoristique et comme je ne suis pas un trader de roses comme certains qui les récoltent par milliers, je viens chercher ici de bonnes âmes !
    ah ce qu’il ne faut pas faire pour calmer ses nerfs devant le deni démocratique qu’on nous inflige aujourd’hui !! Moi pour qui la saint valentin ne dit rien, je pète un cable ou quoi ? ...
    Merci ... à moins que ce soit trop naze ?
    http://www.liberationsaintvalentin.fr/article.php?id=MTkwOA==