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Des dirigeants politiques peu rassembleurs

Publie le samedi 3 juillet 2010 par Open-Publishing
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Ce qui est présentement remarquable si l’on examine la politique internationale, c’est de constater le manque flagrant de dirigeants politiques rassembleurs.

En effet, on a plutôt affaire à des dirigeants qui divisent leurs citoyens et même je dirais que de toute ma vie, c’est la première fois que j’ai connaissance qu’il y ait en Occident tant de chefs d’État qui divisent leurs propres citoyens.

Au Canada, Stephen Harper est contesté par ses politiques qui n’ont jamais été autant pro-business et ses positions en faveur de la présence canadienne dans la guerre en Afghanistan.

En même temps, monsieur Harper prône des mesures d’austérité, c’est à dire évidemment une réduction du niveau de vie des classes sous-moyennes et défavorisées.

Les autres dirigeants occidentaux, que ce soit Obama, Sarkozy, Merkel, Cameron, Gillard, suivent un peu la même logique.

Ces choix politiques sont toujours faits en fonction d’avantager les classes riches et moyennes supérieures au détriment des classes moyennes inférieures et des classes défavorisées.

Ainsi on exacerbe la division entre citoyens et entre classes socio-économiques. Les classes ainsi désavantagées constamment par les choix politiques des dirigeants développent lentement de l’animosité envers leurs concitoyens des classes socio-éonomiques que l’on avantage.

Il serait temps d’élire des gens qui ont à coeur une société harmonieuse avant que l’acrimonie devienne rampante dans la société.

Au Québec, le parti Québec solidaire possède un programme politique qui permettrait à la société québécoise de vivre harmonieusement.

Messages

  • L’humanité produit aujourd’hui des dirigeants politiques et syndicaux médiocres et sans envergure que ce soit à droite , à gauche et même dans le mouvement révolutionnaire .

    les nouvelles générations , peut-être , seront capables dans un avenir le plus proche possible de produire des dirigeants de talent proche du peuple ... C’est comme ça l’histoire a des trous , des absences de vision pendant un certain temps et puis ça repart ... Après des moments d’euphorie révolutionnaire les peuples stationnent sur leurs acquis et la bête bourgeoise en profite pour se remplumer alors qu’il ne faut jamais s’arrêter dans un processus de changement qualitatif . Mais l’être humain a besoin de dormir après l’effort , c’est naturel mais il ne doit pas oublier de reprendre le travail le lendemain pour poursuivre cet effort de changement car son adversaire le plus important c’est le conservatisme qui dort toujours en lui .

    Le Serpenseur