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Les étudiants britanniques qui manifestent crient "Tous ensemble, tous ensemble, grève générale"
Publie le jeudi 11 novembre 2010 par Open-Publishing9 commentaires
9 commentaires
Messages
1. Les étudiants britanniques qui manifestent crient "Tous ensemble, tous ensemble, grève générale", 11 novembre 2010, 18:16, par Roberto Ferrario
Woau it’s so nice... Yes all together... ;-)
2. Les étudiants britanniques qui manifestent crient "Tous ensemble, tous ensemble, grève générale", 11 novembre 2010, 18:35
J’ai bien entendu "tous ensemble", mais pas grève générale...
1. Les étudiants britanniques qui manifestent crient "Tous ensemble, tous ensemble, grève générale", 11 novembre 2010, 18:51
si si , ils le disent bien, mais en anglais "general strike" ! faut bien tendre l oreille !
2. Les étudiants britanniques qui manifestent crient "Tous ensemble, tous ensemble, grève générale", 12 novembre 2010, 17:53, par Copas
exactement, in english
là, ils vont les roder leurs slogans....
3. Les étudiants britanniques qui manifestent crient "Tous ensemble, tous ensemble, grève générale", 11 novembre 2010, 18:56
C’est sûr qu’à 50.000 ça doit faire de l’effet !... N’y a-t-il pas ici, de ce côté de la Manche, matière à solidarité... situation très similaire : Droits d’inscription en augmentation, coupe dans les budgets de l’Etat... pour preuve : A la rentrée d’Octobre 2010, ici en France, le nombre d’étudiants inscrits en Première année d’études universitaires a baissé de 2,3 % par rapport à la rentrée 2009 !!! Moins 2,3 % !!! Quel désastre !!! Quelle ignoble sélection empêche ces jeunes bacheliers de rentrer à l’Université, malgré l’obtention de leur diplôme ??... Mais ici, les manifs étudiantes se font plutôt à 500 qu’à 50.000... D’où vient cet écart, alors que les problèmes sont identiques ?? La terre d’acceuil de Marx et Freud serait elle plus propice à la révolte estudiantine ? Les futurs Bacheliers de Juin 2011 sont en danger !!! Si vos parents ont des revenus trop faibles, vous risquez d’être écarté à la Rentrée Universitaire 2011 !... Souhaitons un grand mouvement contre ce que le pouvoir actuel appelle " austérité ! RIMB
4. Les étudiants britanniques qui manifestent crient "Tous ensemble, tous ensemble, grève générale", 11 novembre 2010, 19:19, par MonsieurChoc
Des étudiants manipulés par Ségolène Royal, c’est évident...
5. Les étudiants britanniques qui manifestent crient "Tous ensemble, tous ensemble, grève générale", 11 novembre 2010, 21:40
Des voix estudiantines s’élèvent aussi en Italie, en Allemagne, en Autriche...
Frais d’inscription en hausse, privatisation de l’éducation, suppressions de postes, baisses des moyens, salaires des profs misérables, conditions d’étude déplorables, subventions privées au service des grandes entreprises...
Autant de raisons de s’énerver d’un pays à l’autre...
Appel le 17 novembre à une journée mondiale pour une éducation libre pour tous !!
=> http://www.emancipating-education-for-all.org/nov17_2010
Des actions sont déjà prévues en Italie, en Allemagne, au Portugal, en Pologne...
1. Les étudiants britanniques qui manifestent crient "Tous ensemble, tous ensemble, grève générale", 11 novembre 2010, 23:28
tous à paris...merdum !!
6. Les étudiants britanniques qui manifestent crient "Tous ensemble, tous ensemble, grève générale", 12 novembre 2010, 10:02, par Bernard Gensane
Ce n’est pas fréquent d’entendre dans une manif’ anglaise un slogan en français.
Les étudiants français dans les facs anglaises seront bien sûr alignés. Il y a bien longtemps que les étudiants originaires de pays n’appartenant pas à l’UE payaient des frais d’inscription très supérieurs.
Autre bonne nouvelle en provenance de la perfide Albion :
Le gouvernement du Royaume-Uni, avec à sa tête David Cameron, le fils d’un riche agent de change, vient de boucler la boucle.
En contraignant les chômeurs de longue durée à accepter de travailler gratuitement pour percevoir leurs allocations-chômage, Cameron nous ramène au XIXe siècle, à l’époque des workhouses, ces foyers de travail qui accueillaient les chômeurs et, plus généralement, ceux et celles qui ne pouvaient plus subvenir à leurs besoins élémentaires. Le but de cette institution était de supprimer les aides sociales aux miséreux qui s’obstinaient à vouloir résider chez eux.
Dans ces workhouses, les conditions d’existence étaient volontairement ignobles : la classe dirigeante ne voulait pas que les paresseux, les oisifs de naissance (tout ouvrier, donc) viennent se reposer dans le confort et la dignité. Les hommes et les femmes étaient séparés ; les enfants ne voyaient plus leur père.
On trouvait dans ces foyers une majorité de personnes âgées qui n’avaient plus la force de travailler, ainsi que des débiles légers.
Les workhouses avaient été institués en 1834 par un amendement à la Loi sur les Pauvres (Poor Law). Il fallut attendre 1920 pour qu’ils soient abolis.