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Le pipeau technique aujourd’hui du prétendu esprit critique (zaz)

Publie le samedi 1er janvier 2011 par Open-Publishing
18 commentaires

Avertissement

Comme le lecteur le sait déjà, la mention "zaz" accompagnant nos textes indique une manière de faire délibérément décalée, qui ambitionne par un éclairage oblique à plus de perspicacité dans le traitement des questions politiques.

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1. Etat first, nous semble-t-il, très cafouilleux des lieux

Si l’on devait faire aujourd’hui un état avancé, méthodique, de la critique en France (ou ailleurs, où vous voulez, dans toute l’OCDE !), il y aurait peut-être de quoi se sentir vaguement mal à l’aise. Interrogez les gens pour commencer, qu’est-ce que l’esprit critique ? Déjà, ça part très malaisé : sur la définition mais aussi sur les cas de désignation qui les font voir avec l’index ! : lui-là ! cette institution-là, etc.

On sera d’accord que l’esprit critique ne doit probablement pas être l’esprit "de" critique, autrement dit de contradiction pure (contradiction spontanée, cutanée, si possible pas réfléchie, ad hominem, etc., etc.) : sinon, bien sûr, tous on serait superchampions de la critique.

Où est donc l’esprit critique ? Il est passé par ici, il est repassé par là ? (à supposer que l’on sache dire ce qu’il est.) Où sont les critiques donc, les organes de la critique (poumons, cerveaux qui l’exercent, le font vivre, le manifestent nettement un tant soit peu ? Le critique-incarneur-in-se-de-la-critique, le mateur-en-scène de la critique , doit être présumément multiforme, un peu caméléon quoi, on présuppose ça : pour faire urgent on pourrait citer, peut-être, parmi les organistes de la chose : les humoristes-de la télé bien placés, ces "impertinents" qu’on nous désigne garantis origine-qualité, ô misère et putes de faction ! On citerait encore bien sûr la presse tout en premier, puis aussi les nombreuses hautes associations de résistance démocratique quasiment sacrées que sont pour n’en citer que quelques-unes la Ligue des Droits de l’homme, Greenpeace, RSF, etcé, etcé.

On citerait les Partis encore par habitude, c’est la moindre des choses, puisqu’on est là d’abord pour rigoler. On citerait enfin le web citoyen (nous, vous, tous les copains), ce web qui a quand même dans le détail abondance de choses à raconter.

Bon ! mais basta ! remontons donc au cas de la presse.

2. Fonction radicale supposée, en outre très émouvante, de la presse en France

Tous les journaux-journalistes te le diront, la presse en France est essentielle à la démocratie, elle est labellisée dans la fonction critique dont nous parlions. Mais ça devait être très vrai au 18e siècle, quand se démarquer signifiait se démarquer du pouvoir.

Le péquin journaliste d’aujourd’hui se démarque-t-il du pouvoir ? Oui, il peut critiquer Sarkozy, certes ce n’est pas un problème, il ne s’en prive pas : ce qu’il ne peut, parce qu’il ne trouve pas même quoi dire sur la question, c’est critiquer le système.

Ca ne lui est pas interdit, du tout, note ! ça lui est matériellement impossible de facto, c’est pas prévu, y a là-dessus comme un nada du cogito. Car le système tel qu’il est constitue fondamentalement le socle de pensée du journaleux intello, son support, son credo. Nul ne peut s’en prendre à ses propres fondements sans s’écrouler sur les genoux ou les roustons, c’est aussi simple que ça, tu vois si c’est tout bêtement neuneu.

Le journaliste est donc un homme sympa très ordinaire comme vous et nous, bien incapable de se passer par-dessus les épaules et de passer par-dessus son temps. Le journaliste est d’abord légaliste, pas sociologue avant-gardiste. C’est très emmerdant, surtout qu’il a fait systématiquement Sciences-Po ! il ne sera donc jamais anarcho, ni babouviste, ni marxiste-léniniste (D’ailleurs qui est encore babouviste ou marxiste-léniniste ? Pour ceux qui espéraient voir Babeuf un jour au Panthéon c’est râpé. Richard Descoings y arrivera plus vite en compote d’un kilo, bio.)

On va pas pour montrer l’étrange pesanteur cérébrale du journaliste parler à haut niveau de la question économique et politique, on a tant ri déjà du Monde balladuriste dans le temps, et du Figaro progessiste irlandais, ce ne serait pas fair-play. Les deux pièces quotidiennes les plus nullardes de la presse sont en vérité communément la culture et l’éducation.

Que veux-tu que les journalistes spécialisés dans ces questions pensent de la culture et de l’éducation ! La presse pense, c’est à dire non-pense sur la culture et l’éducation ce qui en général est dominant, ce que tout le monde pense aussi. C’est joie pour la presse de vous donner chaque année le classement des grandes écoles et chaque saison le mouvement attendu des grandes expositions.

2.1 L’excellence éducative

Depuis 20 ou trente ans, les penseurs de la presse éducative ont adhéré à "l’excellence". Chose très forte ! Il faut de l’excellence ! Comment faire de l’excellence ? Vous prenez mille personnes, vous en sélectionnez les mille meilleurs, si ca ne suffit pas vous réduisez au cent meilleurs, et même encore aux dix meilleurs. Vous les mettez en engraissage intense avec énormément d’argent. Savez-vous ce que vous obtenez ? Les dix meilleurs : ça marche au rugby, en physique nucléaire, en hautes mathématiques.

2.2 Le sublime culturel

Vous emmerdez massivement la France avec la beauté sublime incontestable de Picasso, de Monet, de qui vous voulez, vous mettez sur le coup, les meilleurs services débiles de comm, l’Agence France Tronche, 500 journalistes à qui vous offrez un Montblanc, un train spécial (et même des putes, s’il faut vraiment.) Eh bien la conclusion est que La France aime massivement Picasso, Monet,

Dernièrement la culture, le Louvre, nous a fait le coup avec les Trois Grâces de Cranach, c’est la plus belle réussite onaniste de ce siècle. On va bientôt trouver en post aimanté le cul des trois grâces concernées sur tous les frigidaires.

3. Le web

Devant l’inutilité critique de la presse, il a bien fallu penser au web, à nous, pour essayer de combler le déficit. C’était la solution, la seule qu’on eut pour le moment. Admiration du spontanéisme-web ! Limitation du spontanéisme-web, le web est premièrement moral. La morale c’est beau, spontané, ça demande peu d’effort, ca permet de vite voir. Tiens, on en a foutu plein la gueule aux Chinois pour commencer, qui sont dictatoriaux salauds comme chacun sait : le dalaï, les JO, le prix Nobel de la paix, les droits de l’homme ?. Rien à dire c’est du costaud là contre les Chinois.

Problème ! ce qui marche contre les Chinois ne marche pas contre les Français ! No gros problème pour Sarko. Contre toute attente Sarko s’en sort. Plus qu’il ne devrait selon notre goût personnel !

4. En conclusion désespérée

Commencer 2011 dans ces conditions, nous, les mecs, on trouve ça très mal barré. Trop ! On va prochainement vous faire des propositions pour la technique critique. Va falloir améliorer la méthode.

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Alain Serge Clary et les Inoxydables philosophes de l’Ocséna vous saluent bien. Avec la participation active des Nosotros Incontrolados.

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Ocséna, Organisation contre le système-ENA et pour la démocratie avancée

 http://ocsena.ouvaton.org

Messages

  • Par rapport au silence pesant qui accable communément à notre avis la presse,

    nous venons d’avoir deux dérogations à la culpabilité habituelle, ça nous semble plutôt sympa pour commencer d’un bon pied l’année nouvelle.

    1° Nous avons eu pas mal d’articles pour nous donner l’état du financement public des partis politiques.

     "Opacité et micropartis au cœur du financement politique" (Le MONDE.FR | 30.12.10 |)

    Traduction : on nourrit quand même beaucoup tous ces enfants de salauds !

    2° Nous avons eu également un inattendu travail sur les effets négatifs que nous présagions sur l’omniactivisme médiatique et politique.

    Entre Ribéry, Hortefeux, Arthur, Johnny Hallyday ou encore Carla Bruni... quelles sont les stars qui ont le plus agacé les Français cette année ? Attention, il ne fait pas bon être dans ce classement. (Staragora.com)

    Grâce au sondage annuel de l’institut Harris, le magazine VSD publie en effet son grand classement des personnalités françaises qui, chacune dans leur domaine, nous ont le plus énervés en 2010

    Sans surprise, ce sont les politiques, avec 52% des suffrages, qui nous ont donné le plus d’urticaire, devançant ainsi largement les sportifs, les stars de la télé, les artistes puis les couples médiatiques dont le bonheur et l’argent nous ont énervés autant qu’ils nous ont rendus jaloux...

    Voici le classement des stars mal-aimées en 2010, réparties en cinq grandes catégories :

    1 - Dans le domaine politique, c’est Ségolène Royal qui devient enfin présidente avec 73% des voix, réussissant l’exploit de battre le chasseur de Roms Brice Hortefeux (70%), Marine Le Pen (64%) et Nicolas Sarkozy, seulement 4ème avec 63% d’opinion défavorable, devant Martine Aubry sa rivale socialiste. Bravo à Eric Besson, absent du classement !

    2 - Dans le monde du sport, ce sont surtout les footballeurs qui en prennent pour leur grade, bien aidés en cela par la sulfureuse affaire Zahia et la honteuse débâcle à la Coupe du Monde qui a suivi. Avec 68% des voix, Franck Ribéry et Raymond Domenech se partagent logiquement le bonnet d’âne, devant le bleu par qui le scandale est arrivé : Nicolas Anelka. Plus surprenant, l’ancien "dieu" Zinédine Zidane arrive en 5ème position devant Tony Parker, sanctionné pour avoir trompé Eva Longoria par texto. Le nouveau Robin des Bois Eric Cantona sauve sa peau.

    3 - Dans l’univers de la culture et du spectacle, ce n’est autre que la Première Dame de France qui rafle la couronne si peu convoitée avec 52% des voix. La nouvelle "actrice" Carla Bruni bat Alain Delon, Gérard Depardieu et l’écrivain Michel Houellebecq. Absent, Frédéric Mitterrand est soulagé.

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  •  Dans les semaines qui viennent nous aimerions enfin avoir de la presse le montant exact des revenus d’un député.

     Nous aimerions avoir aussi l’état des subventions publiques et le compte d’exploitation de Sciences Po.

    • RSA ET BELLES DENTURES

      Après un calcul sommaire, mais ardu et déroutant souvent, nous comprenons que les plus pauvres n’ayant plus de quoi se nourrir il serait vain et superfétatoire de vouloir à toute force maintenir des sanistettes Decaux dans les quartiers populaires où il aura été observé que les pauvres, privés d’aliments, étaient également et proportionnellement plus que partout ailleurs privés aussi d’envie de pisser ou même de chier.

      Les sites d’exception restent naturellement subventionnés aux abords des grands Musées tels Beaubourg, le 104, le musée de la Narine, des Arts et des sciences de la vieillotte et enfin le Louvre devenus propriétaires souvent d’œuvres insignifiantes ou prestigieuses comme ci-devant les fesses des "Trois grâces" de Cranach et sont de ce fait sont abondamment visités sur incitation des tour opérators divers et variés ou de télé-rama. Les stations de métro, les arrêts de bus à proximité y sont régulièrement entretenus. Les Kepon sur place et autres zonards tolérés sont "bien élevés, sobre et sages" et parfois même des intermittents du spectacle menacés de paumer leurs alloc’s....
      Le touriste lambda aime aussi à frémir dans le sécurisé zoo urbain.

      Les visiteurs égarés dans les sanisettes, faute de PQ peuvent toujours se torcher avec le dépliant "programme & itinéraires de la visite" réalisés prestigieusement sur papier-glacé-à-lécher, bouche-trou-au-dégout à leur intention.

      Tout comme du temps du Ministère des finances qui s’y trouvait naguère abrité ainsi terriblement et presque plus que jamais toujours le Louvre-kodak pue...

      S
      http://nosotros.incontrolados.over-blog.com

  • "Pénurie de sel pour les voies rapides" (Le Parisien - ‎30 déc. 2010)‎

    "Il reste moins de 2 000 t de sel pour traiter les voies rapides d’Ile-de-France"

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     Trop de sel dans les assiettes et pas assez sur les routes

    Sarkozy se pose des questions sur les raisons objectives de l’incompétence et de l’énorme bordel polyvalent français.

    Parce que quand même y a aussi les avions et les trains qui déjà ne volent pas.

    bref, en France, l’esprit critique cale carrément dans le posage des bonnes questions.

    • Nous aussi nous déplorons - à tous points de vue : écologiques, économiques, santé publique - l’usage éhonté du sel, dans les assiettes comme sur les routes, en quantité moindre, itou.

      Pour ce qui est des routes, par exemple, nous déplorons une redoutable absence de poivre moulu, de pollen qui fait rire, ou de schnouff aux effets remarqués à l’occasion d’efforts aussi inutiles que soutenus...
      L’assistance médicale apportée aux "naufragés de la route" était au millième dessous :
      Qui aurait songé à apporter des cataplasmes au sinapisme - plus connus sous le nom de "rigolos" - aux routiers engloutis plutôt que des prévisions météo ?

      Nous déplorons également l’absence remarquée de stripteaseuses, de trapézistes, de clowns comme il y en eut tant lors de la croupe immonde du "Trou-de-ball" sous un climat plus clément, -22° à l’ombre des courges ballonnées- donc injustifiées, d’un point de vue populaire/sécuritaire....

      Même se poivrer la tronche semble faire chier tout le monde...On se demande même où les flics ont trouvé tant de gens à arrêter la nuit du réveillon...

      Des figurants ? encore un coup ?Des passants ? Ah, oui ça se tient encore...
      Vous avez aimé 2010 ? Vous adorerez 2011 et même...2012 ZZZZZZZZZZE !!!

      Bon faut pas faire long, là....

  • "Robert Ménard ne veut pas de mosquées dans tous les villages de France" (AgoravoxTv - 15 déc. 2010)

     Vu ! mais alors qu’est-ce qu’on décide si tous les minarets tubulaires, comme on s’y attend, peuvent devenir incessamment producteurs non négligeables d’électricité ?

  • "Wikileaks : UMP et PS nient tout financement par Omar Bongo" (Le Parisien - ‎30 déc. 2010‎)

    "Le porte-parole de l’UMP Dominique Paillé a jugé jeudi « totalement fantaisiste » une information révélée par WikiLeaks faisant état d’un possible financement de partis politiques français, notamment à droite, par l’ex-président gabonais Omar Bongo. ..."

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     C’est le problème d’un esprit critique popu, non contrôlé ! comme d’hab une simple déclaration de Paillé déclenche une énorme hilarité ! Ah, ce que c’est vache d’être de l’UMP !

  • "Légion d’honneur pour Jeannie Longo" (Le Figaro - ‎Il y a 8 heures)

     Et toujours rien pour Arlette Laguiller

  • "Sarkozy, esprit très critique, sonne de l’olifant"

     "Neige : Sarkozy ne veut plus aucune pagaille" (Le Parisien)

    "On peut comprendre que le service soit perturbé par les aléas climatiques, mais pas que les usagers aient le sentiment d’être abandonnés, sentiment qu’ils ont pu éprouver à plusieurs reprises ces dernières semaines", a affirmé le président de la République."

    "Nous on eût préféré comme solution critique qu’il sonnât les éléphants."

    Vider une douzaine de personnes de l’aéroport de Roissy, du RER B, de l’équipement, des voieries diverses, des chefs bagagistes, de la police, des nettoyeurs de surfaces de chiottes, etc, nous aurait paru un minimum.
    Mais bon la perfection et l’art sont difficile.

  • Ah ! encore du Manuel Valls, on en était privé

     Manuel Valls veut « déverrouiller les 35 heures » (Libération)

    Manuel Valls, candidat aux primaires PS pour la présidentielle, s’en est pris hier à un symbole des années Jospin. Sur Europe 1, puis dans un communiqué, il a estimé que, si elle revient au pouvoir en 2012, la gauche devra « déverrouiller les 35 heures » pour permettre aux Français de...

     L’UMP "prête à accueillir" Manuel Valls (lefigaro.fr
    02/01/2011)

    Le porte-parole de l’UMP, Dominique Paillé, s’est « interrogé » aujourd’hui pour savoir ce que le député Manuel Valls, fait encore au Parti socialiste.

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    ¤ C’est bien connu, pour ce qui nous concerne, nous ne demandons rien de la part du PS pour ou contre Valls.

    Valls ! A Solferino, nous n’en demandons strictement que la défenestration, mais du 3e étage, côté cour, sur le dallage.

  • Valls et les 35 heures (suite)

    Benoît Hamon déclarait sur France Info ce lundi matin qu’il s’agissait d’"une mauvaise intuition politique." ’J’invite Manuel Valls à revenir dans le droit chemin. C’est mieux pour un socialiste de penser comme un socialiste." Il a jugé la proposition de Manuel Valls "approximative sur le plan économique" et critiqué sa "méconnaissance de l’organisation du travail".

     ¤ Nous, Valls, ca fait un fichu bail qu’on dit avoir envie de lui couper les douilles, les lui bien dégager sur les oreilles et le maillot). C’était l’ancien usage en 45 pour tous les collabos. Mais il paraît que ça ne se fait plus. Dommage !

    On aura noté que Valls pense qu’il fait de la "critique". Il n’est pas tout à fait le seul au PS dans cet état esprit, malheureusement. La critique est facilement un truc commode d’enfants gatés .

  • "Lyon : ivre au volant, il écrase une femme allongée sur la chaussée, elle-même bourrée" (Le Progrès)

    Symboliquement (on dit bien symboliquement), tu te croirais à Evry, Manuel est au volant et la partie socialiste ronde comme un pelle est allongée sur la chaussée.

    Nous n’avons jamais vu un premier de l’an militant qui commence aussi mal que cette année !

  • Sur la fonction et l’efficacité de l’esprit critique tournant finement en rond par définition, nous avons trouvé ce matin deux textes fins hautement apparentés dans leur subtilité :

    1. Le premier concerne la mer et les vagues centenaires (on suppose que vous l’avez vu)

    2. le deuxième le cerveau et la technologie de nos ancêtres de Neandertal et Cromagnon.

    3. Le troisième évidemment très raffiné concerne les relations actuelles de l’apensée de Valls avec l’inpensé PS.

    Notre first préconclusion : nous ne maîtrisons pas techniquement toute les potentialités de l’esprit critique.

    On vous laisse le soin de chercher sur le web les trois textes concernés. On va sans doute en venir à des propositions.

    Notre seconde préconclusion : les neandertal rustiques étaient finalement de gros baiseurs qui avaient une "influence" sexuelle forte sur les petites cromagnonnes.

    Pour Valls et le PS, nous on abandonne.

  • Valls : "Le député de l’Essonne a déclaré dimanche que la gauche devrait, si elle revenait au pouvoir en 2012, "déverrouiller les 35 heures", une intervention jugée malvenue par plusieurs cadres du PS." (Le Monde)

    Déjà, sans même être encore revenu au pouvoir, le PS devrait prioritairement "dérouiller" Valls pendant de nombreuses heures. Ce serait super-bon pour le moral collectif.

    Le bon côté tout de même, c’est qu’avec Valls, question crêpe, c’est déjà la chandeleur.

    • Peut-être pourrions-suggérer d’avancer la date du traditionnel bizutage annuel de la rue Solférino et concentrer celui-ci sur le seul sieur Valls Hongrophile * pour l’occasion et lui faire subir soyeusement le dernier outrage des yeux....
      A la tatane !

      * La Hongrie, présidant l’U.E pendant six mois n’a pas fait mystère de ses voeux de liquider radicalement toute durée légale du travail. Sarkozy,le prince hongroris horribilis quant à lui , en "modéré" semblait ne s’en prendre qu’à la surface de Mai 68, à quelques autres pécadilles désormais d’arrière-garde.... aussi....hummm ?

      Nosotros.incontrorlados

  • Manuel Valls enfonce le clou sur les 35 heures (Le Figaro)

    Ce qui est émouvant avec Valls c’est qu’il se crucifie par lui-même. Et ce qui est littéralement extraordinaire c’est qu’il arrive à faire les pieds