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projection du film Une fille comme moi jeudi 14 janvier 2011 à 20h

Publie le mardi 4 janvier 2011 par Open-Publishing
6 commentaires

Projection jeudi 13 janvier 2011 à 20h au cinéma Le Nouveau Latina
20, rue du temple 75004 Paris Métro Hôtel de ville
du film "Une fille comme moi"réalisé par Sandrine Goldschmidt et les résidentes du CHRS Les Univers’Elles, France, 2010, Association « FIT une femme, un toit », coul. 42 min

En présence de Sandrine Goldschmidt, journaliste, réalisatrice
organisatrice du festival Femmes en résistance.
résumé du film :
Les résidentes d’un centre d’hébergement et de réinsertion sont souvent féministes
sans le savoir, parce qu’elles ont posé des actes forts de refus de la société patriarcale.
Elles partent à la découverte du rôle des associations féministes et d’un mouvement
multiforme… un chemin qui pourrait bien changer à jamais leur vision de la société.

Séance organisé par le Centre audiovisuel Simone de Beauvoir
28 place Saint Georges 75009 Paris
http://www.centre-simone-de-beauvoir.com
http://www.genrimages.org

Messages

  • 85% des suicides liés au travail sont des hommes.

    presque tous les SDF sont des hommes.

    Observez les files d’attentes des soupes populaires...

    presque tous les morts dans la rue sont des hommes.

    97% des détenus sont des hommes.

    • Dommage que cela se passe à PARIS, les filles ont aussi leur histoire, il y aurait beaucoup à dire sur ces centres qui ne datent pas d’aujourd’hui , et beaucoup d’acteurs sont encore vivants.
      Quand on parle feminisme, il y a toujours un ennervé qui fait diversion.

      On s’en fout, on avance

    • Les statistiques, si elles sont critiquables (sources, méthodes, diffusion,...) éclairent une question.
      Il est important de ne pas les réfuter par principe.

      J’appelle ma pierre à l’édifice :

      Je suis enseignante ET femme, aucun des deux caractère ne m’interdit d’être lucide.

      Intéressons nous à l’Education...
      Après avoir longtemps été tenues à l’écart du système éducatif, ce sont désormais les filles qui en tirent le meilleur profit. L’échec scolaire est massivement masculin (lire Auduc/ Sauvez les garçons), les diplomé(e)s du supérieur sont majoritairement féminin(e)s.

      Il subsiste certes des situations d’inégalités en défaveur des femmes, notamment au travail : elles s’expliquent dans une large mesure par le faible engagement syndical des salariées, et certainement pas par le faible taux de dirigeantes parmi les directions d’entreprise ! S’ il suffisait que le personnage le plus puissant du pays (l(a)e président(e) du MEDEF) soit une femme pour réduire de telles inégalités, cela se saurait déjà, non ?

    • Je me demande d’ailleurs si les lutes féministes ne passent pas désormais à côté de l’essentiel :

       Dénoncer l’influence des religions dans l’explication naturalisante du sort fait aux femmes, y compris en prenant ses distances avec le postmodernisme multiculturaliste.

       Donner la priorité aux discriminations provoquées, dans l’espace public, par la logique capitaliste de division de la force de travail, sur les lieux de travail (salaires, carrières, conditions de travail,...), ) plutôt que de tenter d’arbitrer les conflits conjugaux de l’espace privé.

    • Donc on dit la même chose, la solidarité féminine n’est pas encore au point, ce n’est pas normal que les activités d’interêt public soit en majorité l’affaire des femmes Dans les entreprises non exclusivement tertiaires le pouvoir est masculin et la solidarité entre eux est très très forte pour empêcher la reconnaissance des salariées femmes .
      Dénier l’influence de la culture familiale dans le mental des petites filles est un recul époustouflant !!!
      Dans ce contexte, celles qui passent les fourches caudines du pouvoir existant , sont souvent de sacrées anti feministes qui louvoient.

  • Ces statistiques sont-elles à ce point génantes pour tenter de les compenser par des statistiques fausses ?
    Il est faux de dire que 99% des dirigeants sont des hommes.
    En ce qui concerne les statistiques sur les "violences" au sein du couple, il faut définir :
     ce qu’est un "couple" (marié, pacsé, libre, ...)
     ce qu’est la "violence" (physique, verbale, symbolique).
     si une telle statistique provient de source policière, d’une enquete de victimation...

    Pourquoi certain(e)s, qui dénoncent "l’oppression sexiste de la société patriarcale" se livrent-ils (elles) parfois à un déni qui est bel et bien marqué par un aveuglement sexiste ?