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Tache d’huile

Publie le vendredi 21 janvier 2011 par Open-Publishing
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Tache d’huile

Préambule : Les Tunisien(ne)s, dans l’ensemble sont fiers et follement heureux de ce qu’il leur arrive. Mais, beaucoup déclarent qu’ils n’ont que faire des conseils des uns et des autres, ils savent ce qu’ils ont à faire, et c’est tant mieux, car les conseilleurs ne sont pas toujours les payeurs, c’est bien connu, et les "conseils" de certaines personnes ou de groupes d’individu sont souvent très intéressés et néfastes pour le peuple.

Les médias officiels, pour la majorité (sans parler des médias propagandistes, qui ont l’"excuse" de véhiculer exclusivement les ordres du chef) depuis le début de la "crise" tunisienne, se sont lamentablement tus ; dorénavant ils osent enfin l’ouvrir, mais pour mentir de manière éhontée (il n’est que d’écouter les commentaires des émissions "spéciales" sur le sujet).
Silence radio sur la révolte algérienne, sur les manifs de soutien au peuple tunisien, et la peur que suscitent aux gouvernants, une possible contagion d’un embrasement généralisé au Maghreb, puis au reste du monde (c’est vous dire qu’ils ont la conscience tranquille).
*La seule possibilité qui nous fut offerte de suivre le cours des évènements en Tunisie, , fut sur les chaînes arabes, notamment «  Al Jazeera », dont ils faut souligner le professionnalisme, des sites Internet (quasiment toujours les mêmes, que je ne veux citer nommément ici, mais vous les connaissez par cœur), les réseaux sociaux (idem-ibidem) quelques télés satellitaires, et quelques journalistes professionnels ou amateurs. Pour les autres, tous les autres : « Silence, on tue ! »

*sans la censure habituelle, c’est-à-dire le silence gêné des uns (les socialistes), les consignes de « silence dans les rangs » du chef de clan, sarkozy ; ou bien encore, de commentaires partisans en images neutres (parfois fixes) pour commenter la bonne vieille propagande des actualités à la française (consensus des oligarques oblige).

Si Alliot-Marie a proposer aux régimes tunisiens et algériens, l’envoi de matériels et de forces de l’ordre français, dont le savoir faire répressif ne serait plus à démontrer, n’est pas dû qu’à l’inconscience zélée d’une subalterne du clan sarkozy, ni au hasard. Voici ce que son chef de clan sarkozy (le président des riches), déclarait il y a peu encore (déclarations qu’il fit en petit comité, le 17 janvier 2011) : « Je sais, a-t-il affirmé en petit comité, ce que l’on dit : la France n’a rien compris à ce qui se passait. On va me reprocher de ne pas avoir vu les choses venir et d’avoir soutenu Ben Ali jusqu’au bout. Mais, si nous avons soutenu Ben Ali depuis vingt trois ans, c’est parce qu’il était un rempart contre le terrorisme et contre l’islamisme ! » Et il lançait cette avertissement : « Le pire pour la Tunisie serait qu’un régime laïque imparfait cède la place à un régime islamique parfait. Voyez l’Iran. ».

De plus, voici une autre déclaration, faite le même jour et toujours en comité restreint, mais cette fois il s’agit de l’Algérie, (pour en comprendre tout le sens, il faut rappeler que le « FIS », (Front Islamique du Salut) avait remporté haut la main les élections de 1991, mais que cette victoire leur fut confisquée, et les résultats purement et simplement annulés par le gouvernement algérien) « Heureusement que le gouvernement algérien l’a fait ! s’est-il écrié. Imaginez dans quel état on serait aujourd’hui si ces élections n’avaient pas été annulées. »

Samedi 16 janvier 2011, des milliers de manifestants ont scandé : « Ben Ali assassin, Sarkozy complice » . Allié principal de sarkozy au Maghreb, Ben Ali bénéficia du soutien sans faille de l’ump et de l’Elysée.

Quand sarkozy est pris la main dans le sac, il a la fâcheuse manie, pour (croit-il), minimiser ses fautes, d’incriminer ses ennemis politiques (de droite comme de gauche). Et quand il déclara que : « … si depuis vingt trois ans nous avons soutenu Ben Ali, etc. … » là encore, ce n’est pas tout à fait par hasard. Ses deux prédécesseurs, Mitterrand et Chirac, ainsi que Jospin, lorsqu’il occupait le poste de 1er ministre (du second gouvernement de cohabitation) avaient couvert les crimes du dictateur Ben Ali.

Il (sarkozy) recourt systématiquement à la méthode, quand très récemment, il balança sur son pire ennemi, DSK, patron du FMI, qui selon certaines agences d’opinion serait son adversaire le plus dangereux pour la course à l’Elysée ? (l’échéance électorale prévue en 2012) Comme c’est la règle ordinairement chez sarkozy, il procède d’abord par une charge allusive et quasi méprisante (dans l’espoir d’atténuer, voire de gommer ses propres turpitudes) pour confesser que DSK (Dominique Strauss-Kahn) a vanté le régime du président Ben Ali, modèle économique au Maghreb. D’ailleurs, le PS se fait discret sur les déclarations du directeur du FMI, Strauss-Kahn, (tête de gondole du PS à la prochaine présidentielle), et bien d’autres (écouter les déclarations de Delanoë et consorts) car, sauf à de rares exceptions (comme par exemple le secrétaire aux droits de l’homme) les caciques du PS, taisaient piteusement les agissements criminels de Ben Ali (adhérent de l’Internationale socialiste).

Une déflagration dans tout le monde arabe, les opinions arabes observent fascinées la révolution tunisienne grâce à la chaîne de télévision katarie « Al Jazeera » et les réseaux sociaux.

Autre fait troublant, mais qui n’étonnera personne, puisqu’il (sarkozy) ne cache pas un fort penchant pour le gouvernement du premier ministre Netanyhou et des positions très tranchées en faveur d’Israël ("Rempart" du Moyen-Orient contre le terrorisme et l’islamisme, etc. ).

Voici ce qu’a déclaré Shalom, issu d’une famille d’immigrants Tunisiens, dans un entretien qu’il accorda vendredi (14 janvier 2011) soir, à la radio israélienne : « Je crains que nous nous trouvions maintenant devant une nouvelle phase très critique dans le monde arabe. En cas d’effondrement du régime tunisien actuel, la sécurité nationale d’Israël ne sera pas affectée de manière significative dans l’immédiat, » a-t-il dit. « Mais nous pouvons cependant supposer que ces développements constituent un précédent qui pourrait se répéter dans d’autres pays, pouvant affecter directement la stabilité de notre système. » Shalom a ajouté que si les régimes voisins de l’Etat d’Israël devaient être remplacés par des systèmes démocratiques, la sécurité nationale israélienne pourrait être menacée de manière significative. « Les nouveaux régimes défendraient ou adopteraient des lignes politiques intrinsèquement opposées à la sécurité nationale d’Israël », a-t-il dit. Le vice-Premier ministre a indiqué qu’Israël et la plupart des régimes arabes ont un intérêt commun à lutter contre ce qu’il a appelé le « fondamentalisme islamique » et ses organisations « radicales » qui menacent Israël. La menace, a-t-il ajouté, est ce qui motive en grande partie la coordination directe et indirecte en matière de renseignements entre Israël et les régimes arabes. Shalom a souligné qu’un monde arabe démocratique ferait cesser cette actuelle allégeance, parce qu’un système démocratique serait gouverné par une population en général opposée à Israël.

Shalom a le mérite d’être clair, contrairement à sarkozy, qui fait allusion à une menace diffuse et demande à ses interlocuteurs d’imaginez dans quel état on serait aujourd’hui si, … sans que l’on sache, qui ce « on » désigne ; est-ce la France ? est-ce Israël ? est-ce l’Europe ? est-ce l’ensemble des pays occidentaux ? est-ce le monde entier ? (sauf le milliard deux cent millions de musulmans, évidemment)

Il entretient volontairement la confusion, pour que l’on ne comprenne pas clairement la teneur du discours, ni ceux qu’il désigne à la vindicte populaire (le terrorisme et l’islamisme, deux notions assez floues pour y caser n’importe quoi). Par contre il est étincelant, voire aveuglant, quand il s’agit d’utiliser ses amis dictateurs, comme paravents au terrorisme et à la dictature islamiste (en échange de quoi ? Allez, hop ! de nouveau les ténèbres…).

Les choix de politique étrangère, sont quand à eux éblouissant (en particulier lorsqu’il décide sans en référer à quiconque, et sans consulter la si peu « représentation nationale », alors *qu’au sein même du haut commandement militaire français, *des voix se sont élevés, des avis contraires se sont manifestés, dénonçant l’engagement des troupes françaises dans un conflit à l’issue plus qu’incertaine sans aucun dialogue ni concertation, (le commandement français n’est même pas consulté sur la stratégie et la tactique suivit par le haut commandement étasunien), l’entrée de forces françaises dans les troupes de l’OTAN, son engagement aux côtés des troupes alliées d’occupation (principalement étasuniennes) en Afghanistan. Toutes ces décisions qui engagent la France, sont décidées unilatéralement, sans concertation (dans de nombreux pays européens, cette posture est inimaginable voire anticonstitutionnelle) et par un homme seul, sarkozy.
* Le réseau « Surcouf ». des généraux, des amiraux et des colonels en activité ou à la retraite, tous contraints à l’anonymat, rédigent ensemble un texte qu’ils signent « Surcouf ». Le général Desportes déclarait dans une interview à l’« Express » : « Si on ne donne pas sa chance à la pensée critique constructive (dans les armées), on est condamné à voir se multiplier les "Surcouf". On est loin, en France, de la liberté d’expression des sociétés anglo-saxonnes (…). Une armée dans laquelle la pensée critique est bannie s’affaiblit. ». « Et il affirme qu’aucun débat « ouvert, franc » sur la guerre d’Afghanistan « n’aura lieu tant que la majorité et l’opposition ne se seront pas saisies du sujet ». Depuis, silence radio, l’armée françaises a subit de lourdes pertes (53 morts et plus de 250 mutilés dont personne ne parle)

C’est encore lui, qui décide de la stratégie pour les otages français, en déclarant : « Payer des rançons et accepter de libérer des prisonniers en échange de malheureux innocents […] ne peut pas être une stratégie. » n’empêche que la plupart des pays de la Communauté européenne préfèrent (c’est notamment le cas de l’Espagne) payer une rançon en échange de la vie des otages. C’est la troisième prise d’otages qui se termine dans le sang, et la mort des otages, suite aux interventions militaires décidée par sarkozy. (Sur le Tanit, un voilier français pris en otage par des pirates somaliens en 2009, deux otages dont un enfant, succombèrent sous les balles de militaires donnant l’assaut, puis en août 2010, Michel Germaneau fut assassiné par ses ravisseurs à la suite d’une intervention décidée par le même stratège et avec les mêmes conséquences.
A cette occasion, sarkozy avait évoqué un « tournant majeur » dans la stratégie de la France. C’est un euphémisme, car certains otages sont plus stratégique que d’autres. Dorénavant, il y aura des otages "sacrifiables" et les autres (les otages "stratégiques"). « Nous ne céderons pas au diktat des terroristes. », déclarait encore sarkozy, alors qu’il avait mis tout en œuvre pour sauver Ingrid Betancourt (son comité de soutient était très visible, car de nombreuses mairies, dont la ville de Paris, avaient accroché des portraits géants de cette otage sur leur parvis) de même que les cinq otages français, enlevés en septembre 2010, et travaillant pour l’honnête entreprise nucléaire Areva, qui exploite l’uranium de la Françafrique, comme les deux envoyés spéciaux, journalistes à « France 3 », Hervé Ghesquière et Stéphane Taponnier, que sarkozy, après leur culpabilisation et la condamnation d’une soit-disant imprudence coupable (alors qu’ils ne faisaient que leur métier) a fini par se mobiliser, grâce à la pression du comité de soutient très actif. Quant à Michel Germaneau, retraité œuvrant pour améliorer le sort des enfants nigérien dans une association humanitaire, a lui été sacrifié au nom d’un « tournant majeur » dans la stratégie de sarkozy. La mort de deux jeunes otages français (les derniers en date), Antoine de Léocour et Vincent Delory, fut l’occasion pour sarkozy de déclarer :
« Nous ne céderons pas au diktat des terroristes. », vous connaissez la suite...

« avec se qui se passe en Tunisie, on se rend compte qu’on peut faire la révolution partout, même chez-nous ! »

Nous constatons que les événement de Tunisie, mobilisent des cellules de crise pour empêcher la contagion tunisienne ; qu’en Tunisie, la vigilance du peuple tunisien c’est accrue, et déclare, à Tunis même : « Ils veulent nous confisquer notre révolution » ainsi que : « Ben Ali est parti, mais son système est encore là ». Une note d’optimisme tout de même, dans un pays riverain ou du Proche-orient, un manifestant déclarait : « Avec ce qui se passe en Tunisie, on se rend compte qu’on peut faire la révolution partout, même chez-nous ! »

Après que le directeur général du FMI, DSK, l’Europe (les pays occidentaux en général) aient soutenue le modèle économique du clan Ben Ali, les anciens partisans du régime benaliste s’active, (pour rassurer à la fois les pays occidentaux et les Israéliens) les partis interdits sous Ben Ali, notamment l’organisation de Moncef Marzouki, les communistes du PCOT et les islamistes d’Ennahdha, ne feront pas partie de la nouvelle équipe annoncée ce lundi (17 janvier 2011) par les nouveaux maîtres de la Tunisie, et le peuple devra se montrer très raisonnable…

Messages

  • Hamma Hammami : « Les sbires du président déchu veulent confisquer la révolution »

    le 18.01.11 | 03h00

    L’opposant Hamma Hammami met en garde contre toute tentative de « récupération de la révolution du peuple. Les hommes de Ben Ali tentent de reprendre les choses en main ». « Ce n’est pas encore la victoire », estime-t-il, tant que les caciques et les institutions de l’ancien régime sont encore en place.

    Comme beaucoup d’autres forces politiques radicales, des syndicats et organisations de la société civile, Hammami revendique « l’élection d’une Assemblée constituante, la mise en place de nouvelles institutions et une élection présidentielle la plus démocratique qu’elle soit »....

    http://www.elwatan.com/evenement/hamma-hammami-les-sbires-du-president-dechu-veulent-confisquer-la-revolution-18-01-2011-107682_115.php

    dans le flot d’info :

    Les forces Israeliennes ont entrainé la Garde presidentielle de Ben Ali

    Les soldats qui securisent les quartiers sont nourris et fleuris par la population..et la hierarchie laisse faire la fraternisation.

    Israel a son propre systeme d’ecoute type “echelon” qui surveille toutes les communications en Tunisie comme dans tout le Proche orient.

    Il faut s’attendre a tout de sa part...

  • Il n’y a pas de propriété privée des idées ; elles appartiennent toutes à l’humanité entière ; donc chacun est concernè par tout ce qui se passe dans le monde... où que ce soit... même en Tunisie. Il n’y a donc aucun risque d’ingérence par les idées et les opinions puisqu’il n’existe aucune frontières entre idées et opinions. Les seules ingérences possibles sont des manoeuvres politiciennes de domination, d’exploitation, d’enrichissement frauduleux, de manipulations de toutes sortes ; ce qui n’a rien à voir avec l’exercice de la Raison du Jugement et de l’Opinion, qui s’exercent librement à travers le monde. RIMBE

  • 82.***.235.** écrit : « … Il n’y a pas de propriété privée des idées ; elles appartiennent toutes à l’humanité entière ; donc chacun est concerné par tout ce qui se passe dans le monde... où que ce soit... etc. … »

    Je préfère les convictions aux idées ! (aussi belles soient-elles)
    Il n’y a pas de propriété privée des (cinq) sens ; ils appartiennent à toutes l’humanité entière ; donc chacun est concerné par ce qui passe dans sa tête... où que ce soit... même en Utopia. Il n’y a donc aucun risque d’ingérence par les (cinq) sens et la perception puisqu’il n’existe aucune frontières entre les (cinq) sens et la perception. Les seules ingérences possibles sont des utilisations inappropriées, des malformations, une mauvaise hygiène, des manipulations inadéquates ; ce qui n’a rien à voir avec l’exercice de la vue de l’ouie de l’odorat du goût et du toucher, qui s’exercent librement à travers le corps. sergio

    ERRATA.

    lignes 13-14, il faut lire : (c’est vous dire s’ils ont la conscience tranquille).
    *La seule possibilité qui nous fut offerte de suivre intégralement le cours des évènements
    au lieu de : (c’est vous dire qu’ils ont la conscience tranquille).
    *La seule possibilité qui nous fut offerte de suivre le cours des évènements

    ligne 24, il faut lire : Si Alliot-Marie a proposé aux régimes tunisiens et algériens,
    au lieu de : Si Alliot-Marie a proposer aux régimes tunisiens et algériens,

    ligne 35, il faut lire : il s’agit de l’Algérie, (pour en comprendre tout le sens, il faut se rappeler que le
    au lieu de : il s’agit de l’Algérie, (pour en comprendre tout le sens, il faut rappeler que le

    ligne 91, il faut lire : notions assez vagues pour y caser ce qu’on veut).
    Au lieu de : notions assez floues pour y caser n’importe quoi).

    ligne 94, il faut lire : Les choix de politique étrangère, sont quand à eux éblouissants
    au lieu de : Les choix de politique étrangère, sont quand à eux éblouissant

    lignes 96-97, il faut lire : *des voix se sont élevées, des avis contraires se sont manifestés,
    au lieu de : *des voix se sont élevés, des avis contraires se sont manifestés,

    lignes 113-114, il faut lire : l’armée françaises a subit de lourdes pertes (53 morts et plus de 250 grands mutilés dont personne ne parle)
    Au lieu de : l’armée françaises a subit de lourdes pertes (53 morts et plus de 250 mutilés dont personne ne parle)

    lignes 120-121-122, il faut lire : (Sur le Tanit, un voilier français où les passagers furent pris en otage par des pirates somaliens en 2009, deux otages dont un enfant, succombèrent sous les balles des militaires qui donnaient l’assaut,
    au lieu de : (Sur le Tanit, un voilier français pris en otage par des pirates somaliens en 2009, deux otages dont un enfant, succombèrent sous les balles de militaires donnant l’assaut,

    lignes 141-142, il faut lire : « avec ce qui se passe en Tunisie, on se rend compte qu’on peut faire la révolution partout, même chez-nous ! »
    au lieu de : « avec se qui se passe en Tunisie, on se rend compte qu’on peut faire la révolution partout, même chez-nous ! »

    lignes 149-150, il faut lire : aient soutenu le modèle économique du clan Ben Ali,
    au lieu de : il faut lire : aient soutenue le modèle économique du clan Ben Ali,

    • petit détail israel, quoique vous ayez écris en gras, craint plus la démocratie que l’islamisme , car l’islamisme au contraire justifie ses exactions sous prétexte de choc des civilisations !!!!!!
      pour israel l’islamisme ou ;i la démocratie surtout pas !!

  • 82.***.43.*** écrit : « …petit détail israel, quoique vous ayez écris en gras, craint plus la démocratie que l’islamisme, car l’islamisme au contraire justifie ses exactions sous prétexte de choc des civilisations !!!!!! pour israel l’islamisme ou ;i la démocratie surtout pas !! … »

    C’est le sens général de l’intervention, mais c’est pas si simple que ça…
    Le vice premier ministre, Shalom, fait une déclaration à la radio nationale israélienne (on suppose que chaque mot de l’intervention, a été discuté et mûrement réfléchi,) dans un pays en guerre (c’est le cas d’Israël), il ne s’agit pas d’une banale info (y compris uniquement "sectaire", si j’ose dire), c’est plus du registre de la « propagande d’Etat », dont le contenu (des "missiles" à étages multiples) est destiné à divers récepteurs-auditeurs, et pas seulement aux israélien(ne)s. Comment dans ce genre de déclaration (alambiquée et codée au possible), faire la part entre, le symbole ou le mot qui primera sur l’autre ? Contrairement aux déclarations, trop souvent sujettes à interprétations, les actes parlent d’eux-mêmes. sergio