Accueil > Les Québécois n’ont pas de conscience sociale disait Michel Chartrand...

Les Québécois n’ont pas de conscience sociale disait Michel Chartrand...

Publie le jeudi 26 mai 2011 par Open-Publishing
2 commentaires

Malheureusement,à voir les disparités croissantes entre riches et pauvres au Québec, il faut croire que Michel Chartrand avait raison de dire qu’il n’y avait pas de conscience sociale au Québec.

Ça fait combien de temps que les Québécois savent qu’il y a des gens qui ne vivent pas gros au Québec et que malgré tout, il n’y a rien qui change.

Michel Chartrand faisait la promotion d’un revenu universel. Et lorsque ce sujet est abordé, il y a levée de bouclier immédiat dans la population québécoise

Ce qui donne raison malheureusement aux propos de monsieur Chartrand au sujet des Québécois. Pas surprenant que le Québec soit une terre fertile pour ceux qui prônent le chacun pour soi genre François Legault et Réseau Liberté Québec.

Il faudrait que certains connaissent personnellement les conditions de vie de ceux qui vivent avec moins de 600$ par mois à l’aide sociale pour savoir ce que c’est que l’insécurité constante et l’inquiétude du lendemain ainsi que le rejet et la stigmatisation.

http://www.youtube.com/watch?v=tF3M2eFCBMs

Messages

  • Tous ces propos peuvent aisément être transposables à la France.

    Qui aujourd’hui, à part une petite minorité, a une conscience sociale en France ?

    • Michel Chartrand est de l’ordre des grand patriote presque saint au Québec. Saint j’entends par là ma définition personnelle de la sainteté humaine. Précher par l’exemple concrètement au jour le jour et à la sueur de ses idéaux, visions et engagements personnelle, encollectivité.

      Un vrai sain et saint gars qui a toutes les raisons du monde d’être fier de lui de l’autre côté, s’il existe. Que le paradis existe ou pas pour lui, c,est quand même la pureté de sa conscience qu’il démontrait par ses actions, franches, honnêtes et dignement, il a mérité ses épaulettes amplement.

      Bénis sois-tu Michel, Homme de vertue irréprochable, je ne t’arrive pas la cheville, par et de mes incapacités à ne pas pouvoir poursuivre, fidèlement tes enseignements et engagements sociaux, mais surtout, au juste mérite de la poursuite plus que pressante, de ta grande oeuvre humaine patriotique exceptionnelle et exemplaire.

      Vas en paix tu le mérites plus qu’amplement, mon grand amis et frère dans l’éternité. Heureux d’avoir pu te connaître de mon vivant, quel grand héritage tu laisses à l’humanité et aux Québecois.