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NuK : Pour la peau d’Anne d’Areva ! Namibie c’est fini !

par Patrig K

Publie le mercredi 19 octobre 2011 par Patrig K - Open-Publishing

Acte 1 …2010 Lyrisme aquatique et boutade goûteuse et décalée !

Le 10 7 2010 Suite à un reportage présenté sur l’A2 Les mines d’uranium en Namibie

Nucléaire : Pour l’Eau d’Anne d’Areva.

Il n’y a pas si longtemps, on nous vantait de l’intérêt des centrales nucléaire pour dé-salé l’eau de mer !

Ce que l’on ne nous avait pas dit, c’est qu’avant de fournir d’uranium ces réacteurs atomiques (pour éventuellement rendre potable cette eau de mer), il faut au préalable dé-saler l’eau de mer et par la suite d’en arroser abondamment les extractions de matériaux de plus en plus volumineux, pour en extraire le minerai selon la méthode dite "Fournier" ou du procédé de traitement par lixiviation alcaline en tas ! (Voir ci dessous)

En effet, les réserves d’uranium, ne sont plus aussi facilement accessibles et le temps du « yellow easy pain cake » est révolu, désormais, les atomistes nous promettent monts et merveilles, tout simplement à retourner dans tous les sens la Terre entière, et juste pour de la lumière....lire la suite sur les commentaires ….(ci-dessous )

Auto Note du monteur : un peu brouillon qu’en mm ... bah ! Rien à coté de ces frasques atomiques lamentables, et le Quatari qui sera bientot actionnaire de cette tole, pour un secteur stratégique de ce niveau ...faut les arrèter ...!

Acte 2 janvier 2011 …l’excellence et la performance , sans oublier l’arrogance !

LE PROJET TREKKOPJE FRANCHIT UNE NOUVELLE ÉTAPE MAJEURE EN NAMIBIE

http://areva.com/ajax/popins/Share....

ACTIVITÉS / BG MINES

17 janvier 2011

Le 10 janvier 2010, les équipes d’AREVA ont obtenu le premier concentré d’uranium sur le site minier de Trekkopje en Namibie, en phase de mise en exploitation.

« C’est une grande performance et un excellent résultat obtenu par les équipes d’AREVA mobilisées sur le projet  » a déclaré Paul Day, responsable de la mine de Trekkopje. « Nos efforts portent à présent sur l’optimisation du circuit de production ».

L’exploitation du gisement de Trekkopje constitue une première mondiale et un défi technique du fait de la très faible teneur du minerai et du procédé de traitement par lixiviation alcaline en tas* qui lui sera appliqué*. Ainsi, pour produire à terme 3 200 tonnes d’uranium par an, 100 000 tonnes de minerai seront traitées chaque jour.

Lixiviation en tas : cette technologie consiste à extraire sélectivement l’uranium à l’aide de solutions chimiques acides ou alcalines qui s’écoulent naturellement au travers du minerai mis en tas sur une aire imperméable et arrosée. La solution recueillie est ensuite transférée vers l’usine de production où l’uranium est extrait, purifié, puis concentré et conditionné.

Acte 3 octobre 2011 …De l’excellence et la restructuration !

L’Expansion : Charles Haquet - publié le 18/10/2011 à 18:01

http://t.neolane.ger-services.net/...

Extrait …

[…//.. 2- Gisement d’uranium namibien : tout est stoppé

Au siège du groupe nucléaire, on s’interroge beaucoup sur l’avenir de l’activité minière, récemment filialisée. Dans l’idéal, il faudrait investir plus de 2 milliards d’euros dans cette activité très capitalistique. Hors de question dans le contexte actuel, où l’on cherche à réduire les investissements. Certaines mesures auraient déjà été prises. Le démarrage de l’exploitation du gisement d’uranium d’Imouraren, au Niger, serait reporté après 2013. Plus grave, il est fortement question d’annuler le projet namibien de Trekkopje. " Nous devons nous adapter à l’évolution de la demande mondiale ", dit-on, en haut lieu, à Areva.

…//..

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Suite pour la peau et les os d’eau d’Anne d’Areva enfin libérée .. ! (2010 juillet)

Car, quand il est connu que cette technologie serait promise à une renaissance, alors qu’à ce jour le nucléaire participe à hauteur de 2.5% de l’énergie totale et consommée sur la planète. Un petit 2.5 %, marginal, mais néanmoins dangereux et pourtant, les ressources commencent seulement et déjà à quasi disparaître…Pendant ce temps, les tricolores atomistes savourent sans détours, de cette eau dé-salé en plein milieu d’un désert aussi rude que le Sahara. Faudra-t-il, dans ce cas, envisager de faire construire par Anne d’Eau d’Areva, un « aqueduc d’eau minière » de 3500 km, pour nettoyer les mines du champion national atomique, qui sont situées dans le Sahara au Niger ? Il n’est pas certain, que la prétendue rentabilité de cette filière puisse l’y autoriser.

La cocotte nucléaire qui dé-sale et qui lave le minerai qui en ressort de l’uranium qui nourrit la cocotte nucléaire qui dé-sale et qui lave le minerai qui en ressort de l’uranium qui nourrit la cocotte nucléaire qui dé-sale et qui lave le minerai qui en ressort de l’uranium qui nourrit la cocotte nucléaire…ad vitam aeternam !

 Dans le micro reportage de l’A2 (dont sont issues les images), et qui a été diffusé en soirée du dimanche 27 juin 2010 (sauf erreur), Anne d’Areva nous indiquait, et mm si cette eau dé-salée est délicieuse, que le goût n’a pas d’importance primordiale pour le traitement de l’uranium.

 Pourtant, sur le site d’Areva, les services marketing de cette usine, n’ont pas manqués, eux de préciser, que près d’un tiers de la production de cette usine de filtration d’eau de mer, et comment faire autrement pour la bonne mesure, serait elle destinée aux populations locales...Npk oct 2011 : Alors comment vont-ils faire les Namibiens et désormais ?

Votre bon goût, Madame Anne d’Areva , n’est pas de très bon goût !

PS sonore  : L’accompagnement musical, un piratage téléphoné du prochain CD de DJMAL - à l’époque juillet 2010, 101 visites heu - pas très loyal cela dit la critique de ces pratiques est justement partagé par l’artiste, et il ne nous en voudra pas que de cette manière, nous participions à notre niveau à ses motivations et convictions. (D’ailleurs la qualité du son n’est pas faite pour être recopier à l’infini… merci.)