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Après Guy Môquet, le 1er Mai ?

par SVPat

Publie le lundi 23 avril 2012 par SVPat - Open-Publishing
3 commentaires

Nicolas Sarkozy a annoncé son intention d’organiser le 1er mai un « grand rassemblement » -sans doute à Paris, selon son entourage.
« Nous allons organiser (…) la fête du vrai travail, de ceux qui travaillent dur, qui sont exposés, qui souffrent et qui ne veulent plus que quand on ne travaille pas on puisse gagner plus que quand on travaille », a-t-il expliqué.
Une façon de défier les syndicats, qui organisent traditionnellement ce jour-là de grandes manifestations et qu’il n’a de cesse de critiquer.
Mais peut-être aussi un clin d’œil au Front National, qui défile également tous les ans le 1er mai dans la capitale.

Nous ne laisserons pas toucher à cette Journée internationale des Travailleurs entachée à jamais des morts de Fourmies( Le 1er mai 1891) et de Chicago (1886)

D’autres, et en d’autres époques, s’y sont essayé.
L’histoire les a rejeter là où ils sont le mieux : dans les Poubelles de l’Histoire

Plus que jamais, soyez nombreux et nombreuses
dans les Manif’s syndicales du 1er Mai

http://retraites.cgtposte13.over-blog.com/article-apres-guy-moquet-le-1er-mai-103937861.html

Messages

  • Les activités professionnelles de Sarkosy se résument à moins de deux années passées en qualité d’avocat stagiaire dans un cabinet parisien de 1981 à 1983(il y apprend à titre principal le montage de dossiers permettant de délocaliser les dossiers fiscaux en Suisse) ;ensuite Maire de Neuilly (en torpillant Pasqua) député, etc c’est à dire une vie sans travail réel rémunéré sur les fonds publics.

    Celles de Fillon sont également édifiantes. Après des études en droits achevées en 1976, il est assistant parlementaire de Le Theule alors maire de Sablé(72) ; à la mort de ce dernier en 1980, il lui succède à la Mairie, devient conseiller général en 1981 puis député la même année, etc, c’est à dire une vie sans travail réel rémunéré sur les fonds publics.
    Ces deux malfaisants n’ont jamais vraiment travaillé au sens commun et se prétendent défenseurs des vrais (?) travailleurs.

    Dehors.