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Liberté et démocratie, resteront-elles irrémédiablement ennemies ?

par sergio

Publie le jeudi 13 septembre 2012 par sergio - Open-Publishing

*Liberté et **démocratie, resteront-elles irrémédiablement ennemies ?
* individuelle et collective ** représentative

Préambule :

« la démocratie c’est – d’abord - le vote »

(c’est le titre d’un article traitant du prochain congrès du PS, où il serait question d’élire un successeur à la tête de ce parti institutionnel… Suite au départ méchamment négocié d’Aubry et sa "succession" programmée pour un seul favori…, Désir !… Tout à fait "démocratiquement" !?… Parodie de chambard, dites-vous ? Ben oui, et pas qu’un peu !

Tout cela nous rappelle foutrement la vaudeville qui se trame concurremment au sein de l’ump, avec son supplément de bouffonnerie (quand même !) – sans lequel ce parti institutionnel ne serait pas ce qu’il est ! – malgré que les français aient congédié l’ancien locataire de l’Elysée, le "grand" pilleur, (grand par l’influence ? que nenni !…, plutôt par la fébrilité à s’en mettre plein les poches qui le caractérisa tout au long de sa longue, très, très longue carrière politique et son exceptionnelle dévotion au dieu argent), sarkozy, l’un des caciques de ce parti monocéphalique balançait avec un aplomb qui frise l’insuffisance (cérébrale), cette menterie : « avec 48,5%, les Français ne l’ont pas franchement rejeté ! » (il ment effrontément, son mentor n’a obtenu que 48,37% des voix, de plus un peu moins de 12 millions d’électeurs-rices se sont abstenu-es ou ont voté blanc ou nul, il en résulte que par rapport au vote des exprimés, –qui s’élève à 75,69%– un peu moins d’un quart des français (équivalant à un français sur quatre) ne croit plus à ce système "représentatif" (farce électorale) ! qui dit mieux ?)… D’autre part, le système interne à l’ump (là encore, ce malhonnête n’ignore évidemment pas – son nom m’échappe, mais il est membre fondateur de ce groupuscule de fachos honteux, la droite "populaire"…, non, non ne riez pas, ils supposent vraiment l’être !… –) et les piliers sur lesquels repose tout l’édifice du pouvoir absolu – cette absurdité monolithique – ordonné par de Gaulle (sous la Vème république, pour anéantir « la république des partis », particularité de la IVème république), autour et pour LE chef d’état (un chef d’état tout puissant)…, notre guide et notre sauveur suprême, (toute ressemblance avec des personnages historiques ayant existé serait tout à fait fortuit…, etc.), font que le soi-disant duel à la tête de cette machinerie politicienne n’est pas du tout crédible puisqu’il (sarkozy) c’est autodésigné !

C’est un peu comme notre système économique, (néolibéral ou ultralibéral, c’est du pareil au même !), comme ils ne veulent absolument pas en créer d’autres…, leur devise : « c’est ça ou rien ! » (afin de conserver le contrôle absolu sur le peuple souverain (ils en ont une peur bleue du peuple et de sa souveraineté (réelle ou supposée) !) l’élite et leurs porte-voix médiatiques ont pour seul et unique mission de nous le vendre tel quel, point ! Vous aurez compris qu’il en va de leur propre survie… c’est eux ou nous ! )

En insistant aussi lourdement avec leur sauveur suprême (du reste, totalement surévaluer !), (sarkozy), « les encartés umpistes » risquent une sacrée déconvenue. Même si les « socialos » se plantent (c’est très probablement ce qu’ils vont faire, il suffit de constater ce qui c’est passé chez nos voisins européens qui avaient fait appel aux « sociaux-démocrates » , baptisés par connivence « socialistes » , – notamment en Grèce, en Espagne, etc. –, et leurs cinglants échecs à répétition, car on ne peut pas appliquer les mêmes recettes économiques (grosso-modo, * l’orthodoxie économique où domine les paradigmes ultra-libéraux) sans obtenir quasiment les mêmes résultats que de supposés "adversaires" (si tellement collègues !) politiques… Donc, plutôt que d’opposer deux nullités, Fillon et le clone cumulard de sarkozy ––, Clopé – pour rire !…, et comment, on se fend la pêche de voir ces deux bouffis d’importance se crêper le chignon, imitant même la rosière outragée, c’est à mourir de rire ! –, aussi pour ne pas prolonger ces déchirantes pitreries, ne devraient-ils pas procéder de la manière suivante, –– scénario que les élites étasuniennes avaient laborieusement élaborée, le candidat démocrate (Al Gore) arrivait en tête lors d’une précédente élection présidentielle aux Etats-Unis (en 2000), et après plusieurs décomptes des voix, ce fut son adversaire Bush junior qui fut élu et proclamé nouveau président des Etats-Unis !? ( le fils, Georges W. Bush, entre à la maison blanche avec cette croyance chevillée aux neurones, « il est l’élu de Dieu ! » , et dorénavant il en serait le bras armé !… Leurs présidences (le père fut élu à la présidence en 1989) furent marquées par trois fondamentaux, « le pétrole, la guerre de tous contre tous (un budget colossal en faveur du complexe militaro-industriel étasunien – budget en constante augmentation, c’est encore le cas aujourd’hui – qui fut voté sans discontinuité par le congrès et adoubé par le sénat, ), et le corruption » ), et donc, en nommant le fils à la place du père à la tête de l’état français, les hiérarques umpistes collerait à l’histoire du monde, tout en satisfaisant l’admiration sans borne de leur mentor (sarkozy père) pour cette noble et grande nation qu’est l’"Amérique", qui agit pour le bien – les nations occidentales et leurs alliés – et donc contre le mal – le reste du monde, c-à-d les deux tiers de l’humanité – ; un gros tiers de l’humanité contre le reste du monde en somme ?… oui, car les seules nations élues de Dieu –les nations occidentales et leurs alliés, cela va de soi – seront à ses côtés !, la sphère d’influence occidentale favorise la paix (en novlangue, la guerre), la prospérité (en novlangue, la misère) dans le monde ; et pour en finir avec l’homme providentiel des hiérarques umpistes, il s’agirait pour eux de mettre en pratique ce qu’ils ont toujours fait au sein de leur formation, imposer aux encartés umpistes le candidat autodésigné de leur "choix", et en affectant d’élire démocratiquement le fils du mentor, le "prince" Jean (qui paraît-il, a de réelles dispositions pour la fonction de chef d’état)… ils en sortiraient renforcé, car cette simple opération de com’politique augmenterait assurément leur popularité auprès du peuple souverain français et leur image de champion de l’illusion démocratique !

* on relèvera ce ** principe qui à lui seul résume la doctrine de solidarité de classe issue de l’idéologie ultralibérale : « tout ce qui est mien m’appartient, et tout ce qui est tien pourrait m’appartenir un jour prochain… »  ; vous remarquerez qu’il est l’exact opposé de l’axiome des « partageux », c-à-d, « De chacun selon ses capacité à chacun selon ses besoins » .

Tout ça à l’air simpliste, mais il n’en est rien car la complexification d’axiome (au départ simple) peuvent s’obscurcirent à l’infini (exemple : des produits financiers sophistiqués (une hypothèse mathématique) – tels les subprimes-mortgage –, créés spécialement pour blouser les « pigeons », mais à condition de ne pas éveiller leur méfiance et en les embrouillant méthodiquement (les banquiers et les courtiers ne comprenaient rien au produit qu’ils refourguaient aux "clients" (et parfois les banquiers entre eux), c’est vous dire !… –, de quelle manière ? Des petits génies de la finance (de brillants universitaires reconvertis en requins de la finance) inventèrent un produit d’une complexité telle, qu’elle échappa à l’entendement du banquier ou du courtier de base chargés de les placer, et pour couronner le tout, cette tromperie ultra-sophistiquée (bien qu’au départ le principe de base restait une simple arnaque) fut soigneusement noyée dans un "paquet" de produits sains, pour mieux la dissimuler (au point que plus personne ne savait précisément où elle se trouvait) « les papiers pourris », circulant (à la vitesse computer) par des circuits financiers de plus en plus opaques, d’ailleurs les banquiers et leurs courtiers furent mis à contribution pour alimenter ces circuits …, cette opération fut bien utile, car plus personne ne savait par quel circuit avaient transité les papiers pourris, contaminant au passage tout le paquet (les produits "sains"), si bien qu’au final l’opacité s’ajoutant à l’opacité, l’objectif recherché fut atteint, mais au delà de toutes espérances, car la suspicion se généralisa et s’installa rapidement, au point de gripper tout le système (je vous rappelle que ce système repose essentiellement sur la confiance, c’est son talon d’Achille ! Si des individus mal intentionné semaient la panique au sein de cette belle organisation, ce serait une belle catastrophe planétaire et la célébrité assurée pour ces méchants fauteurs de troubles, non ?) Tout le monde avait perdu la trace des papiers pourris, mais tout le système était très ébranlé, à deux doigts de l’effondrement !… On passait d’une simple arnaque à une crise financière d’envergure mondiale, puis à la crise systémique la plus grave de histoire !

** ( hormis les principes intangibles tels : « la liberté d’entreprendre (en supprimant le maximum de barrières et de contraintes – tel les lois et autres réglementations encombrantes ainsi que tout ce qui pourrait entraver cette sacro-sainte "liberté d’entreprendre"), la sacralisation de la propriété et de son pendant, l’argent, aucune limite à l’enrichissement personnel !… »

Plus ils sont idiots et obéissants, plus les dominants encaissent…
Tout le monde sait parfaitement qu’ils (les dirigeants du personnel politique) ne prendront jamais aucune décision importante sans en référer aux vrais décideurs (pour ce faire, ils seront secondés par une multitudes de sous-fifres aux ordres – animateurs, journalistes, (eux-même supervisés par des spécialistes, des experts, etc.) stations de radio ou chaînes de télé et autres supports… –, feignant d’informer le public des ordres qui leur sont transmis !…) mieux encore…, * ils ont été sélectionné parce qu’ils présentaient d’évidentes dispositions à collaborer à l’ordre établi, en plus d’une remarquable aptitude à la soumission, tout comme cette indéfectible servilité envers leurs maîtres (les très riches) et à leur cause :
* cette sélection a toujours lieu avant la "compétition" électorale proprement dite – il s’agit évidemment de la principale, l’élection présidentielle, mais les deux chambres, députés et sénat, les intéressent tout autant –, (cette "compétition" vous la connaissez fort bien puisqu’elle vous octroient "le droit de choisir" !?…) – pas vraiment puisqu’en amont les donneurs d’ordres désignerons en exclusivité les candidat-es de leur choix, lors de réunions privées tenues secrètes, (dans des endroits discrets, souvent ultra-chicos, comme les hôtels particuliers, un quartier résidentiel, un palace, un cabinet particulier, etc.) ou le populo est exclu…, loin des regards et des oreilles indiscrets ; celles ou ceux qui auront été choisi en exclusivité, auront de réelles chances de l’emporter, et bénéficieront donc d’un appui total…, soutiens financier, médiatique et autres…) tous les quatre ou sept ans, selon le genre de compétition électorale, entre les différentes formations politiques, d’un côté les "petits" partis et de l’autre les institutionnels.

Contribution à leur cause, dites-vous ? essentiellement, oui !…
– l’idéologie dominante, que les plus convaincus et les moins abrutis d’entre eux soutiennent sincèrement, les autres, pourris jusqu’à la moelle, feignent… sans que cela ne les perturbe le moins du monde, lorsqu’ils encaissent leurs dividendes !…,
– une adhésion inconditionnelle à la doctrine ultralibérale…, pour que chacun y trouve son compte et s’investisse à part entière pour que triomphe « leur camp, c-à-d celui des plus riches » !… C’est l’intérêt de classe (une cause commune…, la seule qui vaille à leurs yeux… s’en mettre le plus possible dans les poches !) et une sorte d’autoprotection pour cette association de malfaisants ; mais pas que… car les plus corrompus d’entre eux peuvent très bien développer des dispositions exceptionnelles pour la concussion à leur seul profit !…, ceux-la sont d’insatiables cupides et d’indéfectible soutien à leur propre cause, et bien malgré eux sans doute…, ils appliqueront mécaniquement les ordres de la caste dominante. Dans ce milieu les loups solitaires n’ont aucune chance de survie, seule la meute (avec ses propres codes) est apte à résister aux dangers !… d’ou cet entre-soi forcené.

Revenons à nos « toujours satisfaits de leur condition » et à la collusion patente entre eux et les dirigeants du personnel politique
Remarquez que le quotient intellectuel (QI) de ces messieurs-dames (sauf évidemment les plus endoctrinés et les plus déterminés d’entre eux qui connaissent bien leur ennemis, observant avec soin tous les tenants et les aboutissants de cette affaire, prenant même le temps de les analyser) plaide en leur faveur, car que leur demande-t-on ? Prêter allégeance aux vrais décideurs sans que cela ne se remarque trop (dans divers articles j’avais développé les différentes méthodes qu’utilisent ces messieurs-dames (qui se partage notre monde) pour imposer leur pouvoir ; cela va des plus grossières au plus sophistiquées, profitant à fond de leur fonction (avec ou sans mandat électif) pour œuvrer (parfois ouvertement, tout dépend du lieu dans lequel ils président et-ou de leur tempérament) dans l’intérêt de la classe dominante, ce qui ne les empêchent absolument pas d’en tirer de nombreux avantages personnels (ainsi que pour les membres de leur entourage) et de se remplir les poches, pendant ou après puisque les redevables (à la tête de grosses structures industrielles ou financières) les recaseront automatiquement des dans l’une de leurs nombreuses sinécures (le cas Schröder est tout à fait exemplaire), et seront très largement rémunérés pour leurs bons et loyaux services à la bonne cause… et quelques uns d’entre eux – celles et ceux qui auront parfaitement obéi aux ordres – grossirons les rangs des « toujours satisfaits de leur condition » .

Tout cela est bel et bien, mais a-t-on encore quelques espoirs ?
Argumenté c’est parfois s’appuyer sur des textes récents ou *passés, et lorsque Jacques Julliard dans son dernier bouquin (voir les références dans l’article écrit par Edwy Pleynel sur son site, et intitulé : « sarkozy-hollande l’anormale continuité », donc le citoyen Julliard écrit ceci : « …en interdisant au peuple de s’exprimer autrement que par la voix de ses représentants… » , ainsi que : « …Pour la gauche institutionnelle c’est aujourd’hui le premier et le principal défi à relever. Contrairement à ce qu’elle imagine, ce n’est pas, ou pas seulement, sur son programme qu’elle est attendue, mais sur sa capacité à accueillir, à animer, parfois à canaliser, souvent à exalter les nouvelles formes de la politisation civique... »

J’extrait ces deux phrases citées par Pleynel mais écrites par Julliard, parce qu’elles me paraissent emblématiques du mal qui ronge la gauche française en général et la direction des "petits" partis de gauche traditionnelle, qui, parce qu’ils ne sont pas institutionnels refusent les stratégies d’union et-ou la conquête du pouvoir (du moins tel qu’il est conçu dans le système actuelle).
* je préfère de beaucoup les textes de mes frères anarchistes, comme par exemple ceux de Kropotkine ou bien de Victor Serge, etc., les écrits des "responsables" de l’élite politique actuelle ou passée n’ont pas grand intérêt… (bien trop souvent c’est de la bouillie pour décervelé !… ou sinon d’un point de vue historique, et encore…, car il vous faudra « allez au charbon », lire, écouter ou regarder des documents et des archives de l’époque –si ceux-ci sont mis à la disposition du public (ce qui est rarement le cas dans les grandes structures comme la bibliothèque nationale) – pour vous en faire une idée précise et essayer d’en tirer une analyse correcte.

La gauche dite institutionnelle, PS et EELV
Pour ce qui est de la gauche institutionnelle, elle a une stratégie et des objectifs qui sont conformes * aux intérêts du parti (bien que ceux-ci peuvent être confondus (voir les affaires et autres malversations qui sortent continuellement) avec des intérêts propres ou particuliers), mais quand on analyse le résultat des transactions (souvent agrémentés de conciliabules croisés) entre les apparatchiks du PS et ceux d’EELV (le prototype de gadget électoral !) on est tout simplement époustouflé.

* la realpolitik a bon dos, il y a belle lurette, – les sociaux-démocrates ont déjà accéder aux affaires (et pas seulement en France, en Europe et sur d’autres continents !…) le résultat est plus que décevant –, et plus personne n’imagine un seul instant que le PS puisse innover, quand au programme des candidats… tout le monde ou presque s’en fout, car comme ses prédécesseurs ils naviguent à vue ; lorsque Julliard et Pleynel écrivent et pensent que le PS permettra au peuple souverain de s’exprimer autrement par la voix de ses soi-disant représentants, c’est une plaisanterie. Le système (le pouvoir absolu) est conçu, et n’a pas d’autre fonction que de museler et contrôler le peuple (dixit Coluche : « cause toujours ! ».

Tu sais, et tu le subodores sans doute très fort Edwy qu’il faut revoir tout le système, (réformer ? c’est un euphémisme !…), tout remettre à plat…, et ce n’est ni le PS et encore moins son allié opportuniste EELV, qui changerons quoi que ce soit… Au contraire !, ils sont tranquillement installés aux manettes pour les cinq ans à venir, alors…

Aujourd’hui, demain, après-demain, pour beaucoup c’est du pareil au même (et pour paraphraser mes amis situ, « demain c’est aujourd’hui », le défi principal c’est pas un défi mirage, c’est changer nos vies pour espérer changer le monde ! , l’inventer et inventer nos vies !, voilà le changement, le vrai…

On ne veut pas que le PS et son allié anémique EELV nous accueillent, nous animent, nous canalisent et encore moins nous exaltent, on n’en veut plus, tout simplement... Quand aux soi-disant nouvelles formes de politisation civique, c’est pas comique, c’est désespérant à en mourir…, ils nous ennuient déjà avec leurs mièvreries de boy-scout… on s’en tape, définitivement… nous ce qu’on veut c’est de l’espace, les cimes (ou leurs pauvres poumons ne résisteraient pas), pas les arrières cours ou le caniveau. On veut décider de tout, sans passer par des représentants délabrés, en décomposition… On n’en peut plus de ce système étouffant (l’alternance, la belle affaire !), de l’air ! On veut respirer l’air pur des sommets. Vite, vite, une insurrection, bordel !

EELV, quésaco ?
L’institutionnalisation express d’un groupuscule (qui ne représente qu’environ 3% des votants, comme lors de la dernière présidentielle en mai 2012) ainsi que la rapidité de notabilité de quelques membres de la direction (certains de ses membres savent admirablement se vendre, les Cohn-Bendit, Placé, Voinet, Duflot et autres apparatchiks, ont parfaitement su négocier leur place au soleil ! aucun soucis à ce faire pour l’avenir de tels filous !…), car il y peu, ce groupuscule qui ne représentait pas grand monde sur l’échiquier politicard de la France, a su convaincre son "partenaire politique" (le PS) d’une supposée incontournable influence vis-à-vis du peuple français (cette influence ce limite en réalité aux rédac chefs de quelques médias importants) et le cas échéant de sa grande nuisance envers eux, ce qui lui a permis d’obtenir de la part du PS, la création (du sur mesure !) d’un groupe de pression (un lobby) au Sénat (cette « anomalie historique » ). Tout cela en arguant de quelques bobards…, de vrais roublards ces écolos !…

Qu’est-ce que la gauche ?
(ou on posant la question autrement : « le clivage gauche-droite a-t-il encore un sens quand il s’agit de partis institutionnels comme l’ump et ses satellites, ou le ps et son allié eelv ? » ; d’ailleurs, peut-on sérieusement parler de gauche à leur sujet ? La sociale démocratie peut-elle encore se située à gauche de l’échiquier politique ? That is the question !...

Portez vous bien…, à bientôt sans doute ? Salut et fraternité… sergio

PS : Mary, je te prie de bien vouloir me pardonner la confusion concernant le nom du peintre cité dans le texte faisant suite à ta réponse (nom qui a subi bien malgré moi un sérieux télescopage) entre d’un côté « da Caravaggio » (Michelangelo Merisi) et de l’autre un concurrent, (pas tellement puisqu’il peignait dans un style très conventionnel alors que « Merisi » avait inventé son propre concept), « Annibal Carrache », ce qui a donné « Caravachio »… vous avez dit bizarre…, comme c’est étrange !

re-PS : j’ai lu le compte rendu (paru sur ce site), fort bien écrit au demeurant, sur *le dernier livre du couple de chercheurs Pinçot-Charlot, intitulé : « L’argent sans foi ni loi » , ou l’auteur de ces lignes souligne l’importance immense pris par « l’argent roi » , anéantissant ou se jouant des barrières sociaux-culturelles (morale et religieuse) jusqu’à l’asphyxie de la vie proprement dite (nous sommes un certains nombres à dénoncer ces pratiques économico-financières désastreuses et criminelles, dues en grande partie à un groupe d’individus (ultra minoritaire), auto-proclamé élite – tous pays confondus, puisqu’elles sévissent sur toute la planète ! – qui nous mènent non-seulement à la ruine mais aussi au suicide collectif et par voie de conséquence à une mort atroce (dés à présent des millions d’être humains meurent de soif et de faim ou faute de soins). L’auteur constate que la guerre des classes (qui selon Warren Buffet serait la sienne, les "riches") a été gagné (par tous les moyens, y compris les plus abjects) par les "riches", et comme tous vainqueurs, ils pillent et humilient sans vergogne les vaincus.
Mais tous cela aura un prix, non ?
Piller la planète aura des conséquences, non ?…
Piller et humilier l’humanité (à l’exception de ce groupe de prédateurs) aura également des répercussions, non ?
Ces gens là, ne sont pas installés ad aeternam là où ils sont, paradant sans vergogne et apparemment à l’abri de toutes conséquences fâcheuses contre eux et leurs ayants droits !?… (mais nous n’oublions jamais rien…, Vengeance ! ) Quand à la monnaie, il suffit d’inventer d’autres moyens de transaction ou d’en modifier l’usage (des expériences eurent lieu par le passé et ont lieu actuellement, et semblent terriblement efficaces…, comme par exemple dans cette ville écossaise où les habitants décrétèrent « battre monnaie » , la circonscrivant à l’enceinte de leur ville pour mieux en contrôler le flux, ce n’est pas une douce utopie, c’est la réalité !
* je ne l’ai pas encore lu et espère l’acquérir un jour prochain ?