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Canal + : Caricatures Z’Ecrans !

par Patrig k

Publie le vendredi 21 septembre 2012 par Patrig k - Open-Publishing


Parodie Z écrans par Squapad

Parodie Des Edouards

 La liberté d’expression est un concept fondamental, il n’est pas question ici de le remettre en cause. Est-ce pour autant aussi simple ? De le dire, de l’écrire, d’en dessiner la caricature, d’en rire parfois, tant ce qui apparaitra dans les médias de l’expression de liberté, n’est en réalité que très peu partagée à livrer l’opinion, l’éthique de la visibilité, d’heure d’écoute, d’écran de diffusion, de mètre carré de papier édité. Ce champ réservé par les brouteurs de braguettes, la stricte minorité, les promoteurs de l’égalité juste pour la caste des courtisans, qui se reproduisent d’émissions en éditions, la génération et décades de ceux qui n’ont plus rien à dire depuis si longtemps, juste de cocoricoter !

C’est la règle qui domine dans ce clan. La révérence, ou la déchéance, un seul choix pour le contrat du droit de se faire voir, chez les automates associés, les clonés idolâtres, tous cernés d’égocentrisme classé au centre de la normalité. Normalité du centre, celle qui tourne en rond pour beaucoup de ronds, à griller les ors, de cirer les pompes à couvrir de milles paillettes, jouer les baiseurs de baisers, juste à baisser le dos pour des pouic pouic. Le centre qui penche sans cesse à se glisser au gré des années qui passent, dans les bras de l’aimant de droite. La raison normale de la guinche à milles pieds dorés, noyés dans les biftons, les singeries guignolesques sont juste la pitrerie à rendre sympathique, ces fous du Roy, elles n’y changent plus rien, c’est devenu le train train quotidien, le quignon pain qui sert de confesse à dire d’un air malin dès le lendemain « dit t’as vu le grand journal !  ». Le mur a beau être en face, mais rien n’y fait, ils aiment avoir le cœur à gauche, mais se garde de dire que le porte feuille reste à droite, l’aimant amant se collera dans peu de temps, dans les draps de l’extrême nationale, le seul horizon sans fond, qui repose sur le passé mystifié d’une nation sclérosée, brunie de vieilleries, bavarde de veuleries courtisanes.

La face à peine caricaturale d’un feuilleton mille fois répété et mâchouillé par l’aristocratie des stars TV, le Denisot est du lot, l’Apathie ici, le Calvi ici ou là, le cercle des amis de ce si petit monde médiatique. Les esprits cyniques qui vivent au pays des buveurs d’imbus, persuadés de leur exceptionnelle utilité nationale. L’endroit du droit divin, de nous munir de cette France arrogante, décorée de guirlandes, donner à la veille dame de donneuse de leçons. Ils osent encore et encore, ils pérorent, de façon naturelle à fidéliser l’audimat, les JT à les rendre maniaques, la sinistre habitude qui s’installe, le lavage rituelle des bananes et des ânes.

 Édouard Balladur, étais l’invité du Grand Journal de Canal, la chaine qui creuse l’information jusqu’au bout, qui pratique à merveille la liberté d’expression, Édouard était ravit de promouvoir sur ce canal, son ouvrage littéraire et l’abécédaire de sa politique fiction, la crise est rude, disait-il, et patati et patata, m’aime chez moi en Normandie, l’écrivain de trop, ce don de dire à écrire, dont le titre à lui seul, suffit d’en deviner la qualité spirituelle :

« La liberté a-t-elle un avenir ? ».

C’est dire si nous sommes servis d’un tel bonhomme, Premier Ministre de cohabitation, le parfais exemple à donner la leçon à la planète entière, de notre savoir faire à la mini virgule, répéter à radoter, les précieux idiomes en philosophe grandiloquent. Les perruques et costumes, de l’éloquence des faiseurs de théorèmes, ceux qu’il ne s’applique pas à lui même, sauf pour son intérêt. Le théocrate au dessus de la mêlée, le top modèle de ce gratin perpétuel, tout juste l’avant garde à peine caricaturale du darwinisme social. Celui qui osait écrire que les gueux devaient trimer pour satisfaire l’élite, afin de rétablir une société équilibrée, fournir la denrée pour la diarrhée de tous ces aristos des beaux quartiers et des châteaux ! Z’écrans d’ arrogants courtisans.

Retranscription, de l’entretien qui fait échos au charivari caricatural des jours derniers, une opportunité pour l’orateur précieux de cet ordre de nouveau à citer, juste pour lui rire au nez, à défaut de pouvoir lui tirer les oreilles, et sans même le lire, de foutre sa tirade, direct à la poubelle.

De « Je vous demande de vous arrêtez ! »...à ... « La liberté a-t-elle un avenir ? ».

Canal +, c’est le grand essorage, 14 minutes de blabla, pour 8 secondes consacrées à l’affaire Karachi !

Un Edouard peut en cacher un autre , les séminaristes capitalistes catholiques, tantot collabo, tantot escroc, c’est leur train train quotidien de ces voleurs de notre pain quotidien.... La messe est dite