L’IMPERIALISME en mal d’autres complots au VENEZUELA ?

Les mois, les années passant, la guerre économique est en effet vouée à l’échec ! Les terres nécessaires à l’alimentation de la population ont été socialisées , le sabotage par la carence alimentaire voulu par l’opposition intérieure et l’intervention extérieure des Etats-Unis est sans résultat ! L’impérialisme poursuit donc d’autres essais de subversions contre la Révolution Bolivarienne furieux du Suffrage Universel qui reconduit depuis 15 ans son Gouvernement Progressiste au pouvoir ! Nul doute que le Peuple redoublera de vigilance ! (NDLTrasm. )

Venezuela : Maduro DENONCE UNE CAMPAGNE PSYCHOLOGIQUE POUR JUSTIFIER UN COUP D’ETAT

Caracas, 30 janvier AVN - Le président de la République, Nicolas Maduro, a dénoncé vendredi une campagne nationale et internationale dans le domaine de la guerre psychologique pour justifier un coup d’Etat au Venezuela.

Il a ajouté que le plan, principalement soutenu par les Etats-Unis, prétend le faire sortir du pouvoir et en finir avec la Révolution Bolivarienne.

"Je dénonce une campagne dans le domaine de la guerre psychologique pour justifier un coup d’Etat sanglant contre le Venezuela, soutenu par des agents du pouvoir impérial des Etats-Unis. La droite internationale n’a pas fait par hasard ce qu’elle a fait contre le Venezuela ces dernières semaines", a dit le président vénézuélien.

De plus, le Président Maduro a soutenu que des agents internationaux veulent en finir avec la morale et l’union des principales autorités du Gouvernement National qui sont les supports de la Révolution Bolivarienne.

Parmi celles-ci, il a mentionné le président de l’Assemblée Nationale, Diosdado Cabello, les ministres des Communes et du Mouvement Social, Elías Jaua, et de la Défense, Vladimir Padrino López, ainsi que le gouverneur de l’état d’Aragua, Tareck El Aissami.

Cependant, il a souligné que "nous sommes faits d’une morale de fer face aux attaques et aux mensonges parce que nous avons une vie morale, transparente, consacrée à l’amour et au service du peuple vénézuélien, consacrée à faire la révolution de Bolivar au XXI° siècle", a-t-il dit depuis le Palais de Miraflores, à Caracas, où il présentait un bilan de sa participation au III° Sommet Présidentiel des Etats Latino-américains et Caribéens (CELAC) qui a eu lieu mercredi et jeudi derniers au Costa Rica.

Le chef de l’Etat a précisé qu’il existe un discours contradictoire du président nord-américain, Barack Obama, car devant les médias, il envoie un message de paix et ensuite, il entreprend des actions qui vont à l’encontre de ses déclarations.

"Le Président Obama, son gouvernement complet conspire pour renverser le gouvernement légitime du Venezuela, j’en appelle à vous et à votre conscience. Vous savez que toutes les agences de gouvernement sont impliquées dans un plan pour amener la violence au Venezuela, pour justifier un coup d’Etat et promouvoir, à partir d’une escalade de violence, une intervention au Venezuela. Vous le savez ?" a-t-il demandé.

Il a ajouté qu’à un moment donné, il ne pourra pas avoir une relation diplomatique avec le gouvernement nord-américain "parce que ce que font ses fonctionnaires est contraire au message que vous envoyez et au message par lequel je réponds, d’avoir de bonnes relations."

Il a dénoncé une réunion qu’a eue le vice-président des Etats-Unis, Joe Biden, le 26 janvier dernier, à Washington, avec les présidents des pays des Caraïbes. Biden a dit aux présidents que le Gouvernement Bolivarien allait tomber et que Petrocaribe disparaitrait, c’est pourquoi il a confié que c’était le moment de laisser le Venezuela seul.

Face à cela, le Président s’est demandé : "Est-ce que c’est ceux qui disent que c’est une nouvelle époque avec l’Amérique Latine, conspirer même avec des gouvernements frères des Caraïbes ? mais je peux dire au Venezuela tout entier : les Caraïbes restent fermes dans leur solidarité et dans notre défense", a-t-il déclaré.

"Aujourd’hui, nous sommes plus forts que jamais".

Pendant son intervention, le Président a souligné le force du peuple vénézuélien, prêt à vaincre toute attaque de déstabilisation planifiée par des secteurs de la droite nationale ou internationale contre le Venezuela.

" Aujourd’hui, nous sommes plus forts que jamais. L’histoire nous a amenés à un point de force de l’union civique et militaire et de force spirituelle, humaine, politique, idéologique. Nous sommes prêts à vaincre préventivement ce coup d’Etat comme nous le faisons (...) S’il pass à la vitesse supérieure, nous serions prêts aussi à obtenir la victoire de la démocratie, de la Constitution et de la Révolution sur quelque terrain que ce soit, dans n’importe quel scénario", a-t-il déclaré.

Il a alerté le peuple vénézuélien sur le fait qu’il doit continuer la lutte pour mettre fin à la guerre économique et au plan violent que prétend lancer contre le pays le gouvernement des Etats-Unis avec des secteurs radicaux de la droite.

"Nous sommes à un moment historique, tout le monde est en alerte, en suspens, tout le monde lutte avec sa foi en la Patrie", a-t-il souligné.

Pendant son allocution, le président Maduro a également condamné la campagne de déstabilisation du journal étasunien The New York Times, un groupe d’entreprises qui s’est chargé de lancer une campagne contre le pays, à travers ses éditoriaux.

"Pourquoi The New York Times consacre-t-il un éditorial complet au Venezuela ? Parce qu’il pousse, il donne la bonne vision pour un plan de destruction au Venezuela. un coup d’Etat sanglant", a-t-il prévenu.

De la même façon, il a condamné la campagne de discrédit que des médias comme le journal espagnol ABC maintiennent contre le président de l’Assemblée Nationale (AN), Diosdado Cabello.

Face à cela, le Président a montré les premières pages de ce média à certains moments de l’histoire, sur lesquelles on peut constater le soutein au fascisme de la part de la direction d’ABC.

Il a évoqué la première page publiée par ABC en 1939, sur laquelle est exaltée la figure d’ Adolph Hitler , leader du régime nazi, ainsi qu’une couverture du journal sur laquelle est proclamée l’admiration envers le dictateur espagnol Franco sur qui pèse aussi la mort de millions de personnes sous son régime.

"Notre peuple doit être informé, alors, plus d’information, alors, ayons plus de culture politique, développons plus d’anticorps contre le fascisme, contre la méchanceté, face aux campagnes de guerres psychologiques", a-t-il déclaré en exhortant le peuple vénézuélien à "gagner cette guerre psychologique par la stabilité du peuple, par la foi dans le Venezuela, par la confiance dans le projet de Bolivar et de Chavez. Nous sommes en train de la gagner et nous allons la gagner largement."

(source Assoc. CUBA SI )