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GRECE et PCF : Quand un Parti touche le"fond" par TOTAL abandon de"fondamentaux"
par Alain Chancogne, communiste !
Publie le mercredi 29 juillet 2015 par Alain Chancogne, communiste ! - Open-Publishing23 commentaires
Cette note interne est entre les mains des membres du Conseil National
Je la mets en PJ
J’en extrais quelques phrases, je m’autorise du"gras" pour ce qui me semble l’aveu sans vergogne d’un "européisme" délirant, la confirmation que ce PARTI n’a ABSOLUMENT plus rien à voir avec une quelconque visée COMMUNISTE.
Que ce P.G.E (présidé par LAURENT) n’est qu’une sous marque du PSE
Quand dans la lutte des classes, il faut prendre parti, peut on encore, rester dans un Parti qui tire dans le dos des travailleurs grecs et contribue, en France à tout tenter pour empêcher que nos colères trouvent des réponses révolutionnaires ?
Cette question, Je la pose aujourd’hui sans "langue de bois" à ceux de mes camarades que je sais meurtris mais hélas persuadés que"hors du PC" on n’est plus RIEN
SI !
ON peut alors devenir un militant du COMMUNISME...
Alain Chancogne
CEN 17 juillet 2015
GRECE : Document de travail du PCF
Ce texte est une première analyse, encore à chaud, de la situation. Tant sur l’analyse que sur les leçons à tirer, il faudra prendre le temps d’approfondir, avec le recul et en tenant compte des évolutions des semaines à venir. La situation reste très instable. Face à l’urgence, nous posons des questions et ouvrons des pistes pour nos luttes, avec comme ligne de mire la nécessaire élévation de notre bataille en France et en Europe.
***
La Grèce est en première ligne de la lutte des classes en Europe.
.....
Malgré le courage de Tsipras et la maturation politique qu’a permis son combat dans toute l’Europe, de lourdes questions sont posées pour les forces progressistes de nos pays,LE GOUVERNEMENT TSIPRAS : UNE LUTTE PERMANENTE CONTRE LE COUP D’ETAT FINANCIER ET LA DESTABILISATION POLITIQUE.
..
La tentative de coup d’État financier, le référendum
Le mandat donné par le peuple grec « Sortir de l’austérité, rester dans l’euro » a conduit le gouvernement Tsipras a une démarche de négociations depuis son élection. Depuis, ni le mandat, ni la démarche n’ont changé jusqu’ici.2/ LE 13 JUILLET, UN TOURNANT HISTORIQUE
L’Europe est ébranlée par le tournant pris au sein de l’Eurozone ces dernières semaines.Une méthode de « gangsters »
Le Grexit était l’option choisie par Angela Merkel et les droites dures d’Europe (ex : le gouvernement Finlandais de droite/extrême droite) dès le début et jusqu’au dernier moment. Tout au long du week-end ce « bloc des durs », n’a cessé de faire des propositions provocatrices, humiliantes et inacceptables pour le gouvernement Tsipras, cherchant à ce qu’il quitte la table des négociations.Un mauvais accord signé « le couteau sous la gorge »
Les mesures imposées dans ce contexte à Athènes sont socialement inhumaines, économiquement contre-productives et politiquement scandaleuses
Le choix politique d’Alexis Tsipras : signer un mauvais accord pour éviter le désastre, stopper l’asphyxie financière du pays et la mort à petit feu, empêcher le grexit et la mort subite. Il a favorisé la survie financière du pays. Il a pris ses responsabilités de Premier ministre face aux exigences extravagantes des créanciers, à la possibilité d’un effondrement immédiat du système bancaire et la sortie de l’euro et la « sortie ordonnée » de l’euro préconisée par Schaüble, et même par certains à gauche.
Le vote des communistes au Parlement français
C’est principalement le contenu de cet accord qui a conduit nos députés et sénateurs à voter contre au Parlement Français. Il s’est agit également de marquer notre rejet de la brutalité de la méthode Schauble et notre mécontentement que la France ait laissé faire. C’est aussi un vote de combat, un vote en soutien au peuple grec et à Tsipras. Pierre Laurent au Sénat « Notre vote est aujourd’hui un acte de lutte et de solidarité aux côtés du peuple grec, d’Alexis Tsipras et de nos camarades de Syriza. Nous sommes solidaires de leurs choix et assumons leur difficile et courageux combat. Nous sommes à leurs côtés pour dire non à l’expulsion de la Grèce. Mais nous disons d’un même mouvement, au nom de la France, que l’accord scandaleux imposé à Bruxelles n’est pas digne de l’Europe et qu’aucun maintien dans l’euro ne le peut légitimer ».
3/ PERSPECTIVES DE COMBATS, DE REFLEXION, D’INITIATIVES POLITIQUES
Aider les Grecs dans l’immédiat
→ Continuer à contester sur le fond la stratégie du choc et le contenu de l’accord
Refuser l’austérité. Les Grecs, s’ils ont compris le dilemme auquel était confronté le gouvernement Tsipras, restent debouts contre l’austérité. Les gouvernements de la zone euro et la « troïka » n’ont pas réussi à neutraliser les effets du « non » au référendum en Grèce. En France, les sondages d’opinion montrent qu’une large majorité des Français rejettent ces politiques.Argumenter sur l’inefficacité économique.
Des ruptures s’opèrent au sein du consensus libéral, il faut les utiliser.
→ Déverrouiller les financements
Tout faire pour stopper l’asphyxie financière de la Grèce. La décision de l’Eurogroup « post-accord » a conduit la BCE à augmenter de 900 millions d’euros de l’aide d’urgence (ELA) aux banques grecques. Cela est non seulement insuffisant mais ne permet pas à la Grèce de voir venir au-delà d’une semaine. La BCE doit assurer la liquidité des banques grecques en augmentant suffisamment le plafond des liquidités d’urgence et en en diminuant le coût. Les banques grecques doivent pouvoir rouvrir pour les citoyens comme pour les PME.Créer un fonds de développement pour la Grèce, adossé à la BCE, pour que la création monétaire de la BCE soit utilisée pour l’économie grecque et non pour la spéculation financière. Ce fonds pourrait servir de modèle pour la création d’un fonds de même nature destiné à tous les pays européens.
Pousser la réflexion et le débat sur les solutions
Après ce précédent ultra-violent, nous entrons dans un nouveau cycle. Il est maintenant évident que l’Europe ne peut continuer ainsi. Une lutte s’ouvre au grand jour entre les tenants de l’ultralibéralisme, prêts à pousser encore et toujours la mise à genoux des peuples pour servir les intérêts de la bourgeoisie, les forces d’extrême droite qui cherchent à tirer profit de la crise pour rendre crédible leur projet nationaliste et xénophobe, et une troisième option, la nôtre, celle de la refondation de l’Europe pour une coopération régionale, solidaire et démocratique.→ Concernant la sortie de la Grèce de la zone euro :
Cette hypothèse serait à ce stade une option extrêmement dangereuse pour plusieurs raisons :(On lira dans la note jointe que LE PC reprend à la virgule près l’argumentation de tous EURO-IDOLATRES..C’est à pleurer de mépris !
AC)Politiques : l. Mais le grexit serait la meilleure façon de légitimer le discours nationaliste de l’extrême droite (Aube dorée en Grèce, FN en France...), qui se prépare en se frottant les mains au choc des nations, comme elle se nourrit des divisions dans nos pays.
Stratégique : dans notre bataille européenne commune, notre position est plus forte avec un gouvernement qui mène le combat politique au sein de la zone euro.
→ Concernant notre projet européen
La question de la refondation de l’Union européenne se pose plus que jamais
Un débat est ouvert, notamment par la France, sur le modèle d’intégration de la zone euro. François Hollande, dans un entretien accordé au JDD, prone un nouveau saut fédéraliste pour la zone euro qui devrait constituer une « avant garde » :
Après le 13 juillet, nous considérons que la conclusion qu’il tire est l’exact contraire du bon sens. D’abord parce qu’elle créée une Europe à deux vitesses entre la zone euro, intégrée au plus haut niveau, et une périphérie totalement écartée des choix majeurs en matière économique. Mais surtout parce qu’elle constitue une grave fuite en avant, au moment même, où la zone euro, et l’UE entière, devraient se questionner sur leur capacité à intégrer les différences entre ses pays membres et les choix souverains des peuples.
A cette vision centralisatrice, qui nous soumettrait un peu plus à la loi du plus fort, nous opposons notre conceptiond’une Europe à géométrie choisie. Toute initiative non basée sur le consentement est vouée à l’échec. L
.. La zone euro devrai se doter d’un Fonds européen destiné au développement des services publics et de l’emploi dans les pays membres. Ce Fonds, institution financière publique, serait financé par la BCE c
e.
=>La politique européenne de la France pourrait être différente
La bataille contre l’austérité en France est une question clé. Pour créer un nouveau rapport de force en Europe, le rôle et la voix de notre pays sont essentiels. La France peut faire basculer les choses si elle s’engage elle-même dans la contestation de l’austérité.
Tout pays qui veut appliquer une politique de gauche devra élever le niveau du rapport de force européen.
Nous avons collectivement marqué des points dans la crédibilité et la visibilité de la gauche européenne.
Il faut, à gauche, se poser collectivement la question : avons-nous jusqu’ici fait vivre la solidarité politique avec le peuple grec au niveau exigé par l’enjeu stratégique que représente le premier affrontement entre un pays membre de la zone euro et l’implacable coalition des tenants du système en place ? L’honnêteté doit nous conduire à répondre non à cette question et à travailler ensemble à un rehaussement qualitatif de notre engagement - aussi nécessaire pour aider le peuple grec à sortir par le haut de l’impasse actuelle qu’indispensable pour ouvrir une perspective de gauche dans notre propre pays.
Il ne suffit pas qu’un gouvernement isolé décide de "désobéir à Bruxelles" pour ouvrir la voie aux ruptures fondamentales rendant possible les changements attendus.
Refonder l’Europe est un combat de classe de haute intensité. LPar-delà la Grèce, cette leçon concerne chacun de nos pays, y compris la France. Elle interpelle le "peuple de gauche" dans toute sa diversité, ainsi que chaque force politique ou sociale qui s’en réclame.
Quelques pistes
=> Rendre possible une progression des forces anti-austérité, une « contagion » dans=> élargir l’alliance contre l’austérité au niveau européen : Le Forum européen des alternatives que nous avons tenu à Paris les 30 et 31 mai derniers à l’initiative du PGE, a permis le dialogue et un début de construction commune entre forces politiques, mouvements sociaux, intellectuels critiques. La situation rend urgente une deuxième édition. La fête de l’Humanité devra être un temps fort de mise en évidence de la bataille européenne.
Messages
1. GRECE et PCF : Quand un Parti touche le"fond" par TOTAL abandon de"fondamentaux", 29 juillet 2015, 20:56, par jean 1
C’est quoi un parti révolutionnaire ?
2. GRECE et PCF : Quand un Parti touche le"fond" par TOTAL abandon de"fondamentaux", 29 juillet 2015, 22:04, par gb26100
Extrait du texte de A C :
J’en extrais quelques phrases, je m’autorise du"gras" pour ce qui me semble l’aveu sans vergogne d’un "européisme" délirant, la confirmation que ce PARTI n’a ABSOLUMENT plus rien à voir avec une quelconque visée COMMUNISTE.
Que veut dire "l’aveu sans vergogne d’un "européisme" délirant" ?
Cela me parait très confus au regard des réalités de 2015 .
1. GRECE et PCF : Quand un Parti touche le"fond" par TOTAL abandon de"fondamentaux", 29 juillet 2015, 23:14, par Alain Chancogne
Cela veut tout simplement dire que le PCF est passé de positions courageuses lorsque fut signé l’’Acte unique a sa pitoyble conversion à la"construction européenne"
IL a viré sa cuti
La "mutation "social démocrate impliquait (Wurz HUE en furent les artisans) de rejoindre la meute de tous ceux qui de Fabius en passant par Mélenchon (partisan du OUI à Masstricht), se rallient à ce ""mrerdier" " dit "Construction européenne)"
A u lieu d’impulser des solidarités de classe, de proner des coopérations de type nouveau sur ce continent -et au delà-, la dérive conduit à prétendre"refonder une EUROPE", hors de toute référence à l’antagonisme K/ Trvail
Mais jamais, "ils "n’avaient osé aller si loin..
.
Là, avec TSIPRAS dans le coup, cette pseudo "gauche de gauche" et son PGE ont ensemble, en complices que je vomis, poignardé le peuple grec , et Laurent , son Parti soutiennent ceux qu’on étrangle comme la corde soutient le pendu.
J’appelle ça un "européisme délirant" parce que je suis poli..
Bien entendu, les "mutants" ont, avec les Vianneyt et autres Thibault, magouillé pour que ce que la CGT intégre une CES qui, au plan syndical est l"’autre béquille de"gôôche" du CAPITAL.
j’ajoute que tout à un prix
http://www.europarl.europa.eu/contracts-and-grants/fr/20150201PVL00101/Partis-et-fondations-politiques
PGE et "refondation européenne" , tu pige ?
,
Quand je dis" ils touchent le fond" (je pense d’ailleurs qu’ils vont arriver à trouver du pétrole à Fabien) ,
...j’ajoute, au pluriel :Pour ça, ils touchent DES FONDS..
Cordialement
3. GRECE et PCF : Quand un Parti touche le"fond" par TOTAL abandon de"fondamentaux", 30 juillet 2015, 06:43
Verbiage d’été , le dernier petit carré fait semblant pour conserver ses prébendes .
4. GRECE et PCF : Quand un Parti touche le"fond" par TOTAL abandon de"fondamentaux", 30 juillet 2015, 10:50
Voir le blog de Jacques Sapir. C’est du sérieux. Deux articles démontrent que Pierre Laurent et son équipe sont soit des incompétents en matière économique, soit des pleutres en matière politique. Belle arrivée pour le parti crée par Lénine.
1. GRECE et PCF : Quand un Parti touche le"fond" par TOTAL abandon de"fondamentaux", 30 juillet 2015, 16:09, par gb26100
lire MEDIAPART http://blogs.mediapart.fr/blog/elia...
Je mets ce lien sans prendre position. Je me méfie toujours de la médiatisation de personnages isolés. On a eu Etienne CHOUART .
5. GRECE et PCF : Quand un Parti touche le"fond" par TOTAL abandon de"fondamentaux", 30 juillet 2015, 10:58
Au passage, le dirigeant du KKE vient de préciser qu’il n’était pas pour la sortie de l’euro en ce moment...
1. GRECE et PCF : Quand un Parti touche le"fond" par TOTAL abandon de"fondamentaux", 30 juillet 2015, 11:36
Je trouve là une excellente occasion pour réaffirmer 2 propositions qui me paraissent URGENTES, = créer 2 coordinations unitaires :
1/ CUGGPHTBP
2/ CUFINAIP
COORDINATION UNITAIRE pour une GREVE GENERALE PROLONGEE et HARGNEUSE TRES BIEN PREPAREE
COORDINATION UNITAIRE pour une FRANCE INDEPENDANTE et NEUTRE ANTI IMPERIALISTE et PACIFISTE
Un membre du PG m’a dit qu’en 2017 la droite dure reprendra le pouvoir et fera des réformes tellement dures qu’en 2022 Mélenchon sera élu président et Filoche sera élu chef du PS en 2018, ce qui permettra de reconstituer l’union de la gauche modèle 1981 pour faire des super réformes z’écozozialistes... Le tout dans le cadre d’une Gonstruktion européenne en crise qui sera obligée de se remettre en question graace à JLM qui aura convaincu TSIPRAS et IGLESIAS de se déplacer de 5cm vers la gauche... Je caricature, c’est vrai, mais ce type de "tactique processus" tient en haleine certains militants qui acceptent, en attendant, d’avaler des couleuvres, et des boas, et des anacondas !!!
2. GRECE et PCF : Quand un Parti touche le"fond" par TOTAL abandon de"fondamentaux", 30 juillet 2015, 11:36
ceux qui défendent encore la possibilité de modifier cette europe de l’intérieur pour en faire une europe sociale sont totalement contredits par les faits , notamment l’exemple grec , en conséquence persister dans cette voix comme le PCF et la direction de la CGT , c ’est de la trahison car ces deux organisations qui prônent la lutte des classes servent de caution au capitalisme qui a construit l’ europe en a faiy la première puissance économique mondiale au seul profit des plus riches tandis que pour les autres c ’est toujours plus d’austérité .
Comment expliquer l’ entêtement ? premièrement comme le dit ALAIN et d’autres intervenants à cause de la perte progressive de repères de classe , par exemple , ces deux organisations ne " connaissent" pas la crise systémique du capitalisme et la baisse tendentielle des taux de profit qui ne permet plus la redistribution de grain à moudre et implique que pour survivre le capitalisme impose l ’austérité et utilise pour cela successivement toutes les formations politiques de droite comme de "gauche" mais également " radicales " comme SYRIZA aujourd’hui et demain peut-être PODEMOS avec comme dernier recours les partis fascistes .
Deuxièmement , parce que l’on ne coupe pas la main qui vous nourrit : les partis politiques comme les syndicats au travers de la CES perçoivent des "subventions " en échange de leur docilité , ce qui permet quand on est en perte de vitesse et donc d ’élus comme le PCF ou quand on a des dirigeants qui ont des gouts de luxe comme la CGT de boucler confortablement les fins de mois .
IL EST URGENT DE FAIRE LE MENAGE , DE CREER UN VRAI PARTI REVOLUTIONNAIRE AU SERVICE DES MASSES ET DE DEBARASSER LA CGT DE SA DIRECTION REFORMISTE
RICHARD PALAO
3. GRECE et PCF : Quand un Parti touche le"fond" par TOTAL abandon de"fondamentaux", 30 juillet 2015, 12:09
Pour qu’un parti VRAIMENT révolutionnaire naisse et ne soit pas une avant-garde isolée il faut que la classe ouvrière, les masses paupérisées, les intellectuels au chômage et les enseignants-soignants-animateurs-travailleurs sociaux soit mobilisés dans des organisations OUVERTES et COMBATIVES... Les meilleurs combattants formés dans ces luttes réelles créeront le PARTI de CLASSE avec l’aide des "ANCIENS" et des "SAGES"...
4. GRECE et PCF : Quand un Parti touche le"fond" par TOTAL abandon de"fondamentaux", 30 juillet 2015, 12:09, par Alain Chancogne
toi, je "t’adore
:)
j’espère que ta façon de mettre des initiales à tes propositions de processus de révolution sont du comique de second degré !
Alors, salut amical , sans rancune de te voir me concurrencer en plaisanteries plus ou moins fines( je parle des miennes, toi c’est SUPER FIN)
Alain Chancogne
Secrétaire Général du*
PDDDGACNMDM
Parti Des Disciples Du Genial Alain Chancogne Notre Marx Du Millenaire
5. GRECE et PCF : Quand un Parti touche le"fond" par TOTAL abandon de"fondamentaux", 30 juillet 2015, 12:15
De plus j’affirme péremptoirement que les plaisanteries les plus courtes sont toujours les moins longues et ça me fait plaisir d’avoir cette certitude que tous les hommes de bonne foi devront approuver...
Donne-moi les coordonnées de ton PARTI pour que je puisse adhérer...
6. GRECE et PCF : Quand un Parti touche le"fond" par TOTAL abandon de"fondamentaux", 30 juillet 2015, 13:08, par Alain Chancogne
putain non
Tu chercherais à me piquer ma place de"CHEF"
:)
7. GRECE et PCF : Quand un Parti touche le"fond" par TOTAL abandon de"fondamentaux", 30 juillet 2015, 14:50
La principale différence entre un "chef" et un "intellectuel" c’est qu’ils se trompent aussi souvent l’un que l’autre... Mais, dieu merci, en ce qui me concerne je serai plutôt un "intellectuel"...
6. GRECE et PCF : Quand un Parti touche le"fond" par TOTAL abandon de"fondamentaux", 30 juillet 2015, 13:05, par Alain Chancogne
Jaime bien quand j’ouvre mon "courrier" le matin trouver ceci..
Si je reproduis , ce n’est pas pour qu’on sache que j’ai des"amis" anonymes de ce type
Entre le teléphone masqué, y compris la nuit, les "courriels d’insultes, " et les "rumeurs" propagées sur mon soit disant état mental qui m’aurait fait péter un cable, j’ai eu droit à toute la panoplie des saloperies
Cela m’a au moins aidé à mieuxcomprendre ce qu’avait pu être le"stalinisme" quand de pseudos communistes ont eu le "pouvoir" de pendre les "hitlero-titistes" à Prague
!
NON, je donne ceci en simple démonstration de ce que génère la cécité lignarde
Car je suis certain que cet ex compagnon (je penche plutôt pour une "ex"..pas simplement "compagnonne de parti"...
:)...a du être de ceux qui ont les cervicales en piteux état à force d’avoir"branlé du chef" (1)
Quand des mecs comme moi, faisaient un rapport , globalement en phase avec celui de marchais devnt le C.C
Le pli est pris, ils font pareil avec laurent..
C’est vrai que d’autres protestent
Le fait d’avoir avec eux une divergence de FOND(2) ne m’empêche pas de faire connaitre, pour le débat leur position sur cette note de la Direction de leur parti
http://lepcf.fr/Grece-et-U-E-ouvrir-le-debat-entre-communistes-584
(dommage qu’eux ,contrairement à moi, n’aient pas joint la fameuse note..)
A.C
(1) branler du chef n’est pas une expression a connotaion sexuelle
j’avis lu un jour un truc rigolo
certes mais ça peut y faire penser :)
surtout quand les"chefs" sont en perpétuelle "cuisin"e...électorale...
(2)
J’entretiends certains liens avec quelques dirigeants de cett"opposition" à la clique Laurent.
Mais , bien entendu on aura compris que je ne peux pas avoir le moindre accord avec des expressions comme celle ci
http://lepcf.fr/Unir-les-communistes-pour-un-PCF
Que nenni !
La visée communiste est combattue de front("de gôôche" par le PCF !
Les pompiers de Gironde qui luttent depuis plusieurs jours, face aux incendies qui se sont déclechés à 5 km de chez moi, n’on pas besoin .. de pyromanes avec lances projetant de l’essence sur les pins en flammes., pour les aider..!
.
1. GRECE et PCF : Quand un Parti touche le"fond" par TOTAL abandon de"fondamentaux", 30 juillet 2015, 15:58
Les méthodes "d’intimidation" que tu décris sont tellement lamentables que l’on se demande si il n ’est pas préférable d’en rire même si elles sont certainement pénibles pour toi , mais comment Ces abrutis peuvent-ils penser un seul instant qu’ils peuvent te faire renoncer à tes idées , à ton combat pour œuvrer à la création d’un vrai parti communiste ...?
Ces idiots ne se rendent même pas compte que nous n’avons même plus besoinde tirer sur l’ambulance , leurs chefs s’en chargent , et la conduisent tout droit au cimetière , pour ma part , je n’irais pas à l’ enterrement mon deuil tu PCF est fait depuis longtemps et de plus ce sera un non évènement : personne ne s’apercevra que le PCF a disparu ...
RICHARD PALAO ex PCF mais plus que jamais communiste
2. GRECE et PCF : Quand un Parti touche le"fond" par TOTAL abandon de"fondamentaux", 30 juillet 2015, 16:06
Pour te remonter le moral, il vaut mieux écouter ça :
https://youtu.be/ts4d-V6XwX8?t=58s
7. GRECE et PCF : Quand un Parti touche le"fond" par TOTAL abandon de"fondamentaux", 30 juillet 2015, 13:57
y’en aura pour tout le monde
http://dondevamos.canalblog.com/archives/2014/03/01/29336578.html
8. Tsipras s’explique sur les ondes de la radio rouge , 30 juillet 2015, 15:48, par gb26100
Tsipras s’explique sur les ondes de la radio rouge
Rosa Moussaoui Jeudi, 30 Juillet, L’Humanité
Dans une longue interview à Sto Kokkino, la radio de Syriza, le premier ministre grec est revenu hier sur le chantage exercé sur lui par l’UE et sur les dissensions menaçant la cohésion du parti.
Tsipras, un fugitif rattrapé par ses geôliers et jeté au mitard ? Hier, lors d’un entretien sur les ondes de Sto Kokkino, la radio de Syriza, le premier ministre grec a comparé son peuple à « un prisonnier qui, parce qu’il a tenté de s’échapper de la prison de l’austérité, a été placé à l’isolement ». Terrible métaphore pour résumer la violence de l’accord extorqué sous la menace, au petit matin du 13 juillet, par ses homologues de l’UE. « Nous sommes fiers d’avoir livré cette bataille. La loi du plus fort s’est imposée en Europe, mais nous avons montré au monde l’impasse de ces politiques », insiste Tsipras, placé de son propre aveu devant une alternative mortifère, capitulation devant les impossibles exigences des créanciers ou chaos bancaire fatal aux petits épargnants. « Notre plus haute priorité était d’éviter une crise humanitaire. Jamais nous n’avons demandé au peuple, lors du référendum, de voter pour la drachme », justifie-t-il.
Et maintenant ? La feuille de route du gouvernement remanié le 18 juillet tient en trois points : appliquer les mesures dictées par la troïka, en « compenser les effets » sur le peuple grec et « continuer la bataille » en s’attaquant aux privilèges de l’oligarchie, à la corruption, à la fraude et à l’évasion fiscales.
Quitter le pouvoir plutôt que de faire avaler au peuple grec cette nouvelle pilule amère d’austérité ? Pas question, répond Tsipras, si la cohésion de la majorité parlementaire est sauvegardée : « Nous, la gauche, serions-nous mieux dans l’opposition ? Qui aurait encore confiance en nous si nous ne pouvons pas faire face en étant au gouvernement ? » Si les failles apparues dans sa majorité devaient encore se creuser, des élections anticipées seraient toutefois inévitables, admet-il.
Les rudes débats qui font tanguer son parti
À ceux qui voient dans sa capitulation face au coup d’État financier des créanciers la preuve d’une dérive politique, Tsipras rétorque qu’il n’entend pas faire de Syriza un nouveau Pasok. « La social-démocratie est dans une impasse stratégique. Syriza n’a aucun intérêt à rejoindre le camp social-démocrate », assure-t-il. Dans les rudes débats qui font tanguer son parti, le premier ministre grec entend se poser en « garant de l’unité de Syriza », mais il affiche à l’égard des dissidents opposés à la signature du nouveau mémorandum une sèche intransigeance. « Quand il est au gouvernement, un parti ne peut pas fonctionner avec des centres de pouvoir parallèles », a-t-il prévenu à l’attention des tendances de gauche contestant ses choix. La présidente de la Vouli, Zoé Konstantopoulou, opposante déclarée à la signature de l’accord de Bruxelles, n’est pas épargnée : « Nous avons du respect l’un pour l’autre, mais il est surréaliste de me dire “je te dénonce pour te protéger”. »
Tsipras, qui n’a pu faire adopter les mesures d’austérité imposées par l’UE qu’avec le secours de l’opposition, estime, sans fermer la porte au débat, que la solidarité avec le gouvernement doit se traduire, une fois les décisions prises, par une stricte discipline de vote des députés de son camp. « Je veux un processus collectif pour décider. Les dissidents de Syriza ne peuvent pas à la fois rejeter les mesures et soutenir le gouvernement », explique-t-il, confirmant la perspective d’un congrès aux débats houleux qui devrait se tenir à l’automne.
9. GRECE et PCF : Quand un Parti touche le"fond" par TOTAL abandon de"fondamentaux", 30 juillet 2015, 16:14, par gigi_10
Bonjour à vous,
j’ai apprécié ce point de vue.
Pour la Grèce, c’est le choix est simple et facile :
– sortir de l’europe, vous allez souffrir.
– rester dedans, vous allez souffrir
Pour ce qui est des partis électoraux, ils ont choisi oui à l’europe, mais on va la "modifier", la rendre "sociale". Là ils sont pas sortis de l’auberge vu qu’on a déjà bien du mal à mettre la classe ouvrière française d’accord, alors à 28 pays (environ) !!! bonjour l’angoisse. Enfin ils doivent se dire : On leur donne la marche à suivre, donc ils n’ont plus qu’à
Pour le syndicalisme (çà m’intéresse plus), je pense que faire partie d’une internationale (CES en l’occurrence), c’est logique et çà existe depuis longtemps. Le problème, c’est qu’il faut savoir :
– changer l’europe à partir de ce qu’elle est ???? alors voir les partis électoraux
– refaire ailleurs, c’est à dire faire une internationale réellement ouvrière. C’est à dire sans se sentir liés par des traités, directives, règlements capitalistes qui nous enchainent, cela deviendrait peut-être plus intéressant. Bien sur pas facile au sein de la CES, mais on pourrait ouvrir des lignes syndicales pour monter le rapport de force. Car de toute façon c’est bien le rapport de force qui pourra changer quelque chose dans ce carcan qu’est la construction européenne. Le congrès de la CGT est pour bientôt, alors, il faudra pousser sur la marche à suivre
hasta luego
10. GRECE et PCF : Quand un Parti touche le"fond" par TOTAL abandon de"fondamentaux", 31 juillet 2015, 10:36, par Alain Chancogne
Pierre Laurent est au moins utile :
il démontre que le titre de cet article et l’expression" toucher le fond" , semble peu excessif..
Merci aussi à ce lien FDG..de mieux prouver ce qu’est une "connivence " de pseudo anticapitlistes..
http://www.fdgloiretouraine.com/front-de-gauche-le-journal-des-debats/hier-j-etais-a-athenes-avec-alexis-tsipras-pierre-laurent-secretaire-national-du-pcf,a6816512.html
Le lecteur remarquera la légende du dessin"HUMOUR GREC"
Serais un clin d’oeil "sublimal" du metteur en page de ce morceau de "communisme"
..Vu que tout s’est joué à Bruxelles et dit sans xénophobie, le FDG pratique l’humour belge".
C’est surement plus facile que d’aller dialoguer avec des retarités et ouvriers grecs, quand on rencontre Tsipras, ou d’expliquer aux adhérents du PC..ce que nous ommes quelques uns à savoir, de souce sure, quant au aux heures qui ont précédé la capitualation munichoise de Tsipras,
Suivie des hallucinantes déclarations des dirigeans du Pc, de l’Huma saluant la"victoire de Syrisa", avant d’annoncer que le PCF alit voter OUI à un plan que j’ai ici baptisé de Macronerie puissance 12,.
Avant de faire marche arrière et voter NON...pour cause de "convulsions internes au sein du P.C
Et "vous" appelez ça un PARTI COMMUNISTE ?
pfff....
11. GRECE et PCF : Quand un Parti touche le"fond" par TOTAL abandon de"fondamentaux", 1er août 2015, 18:54, par Alain Chancogne
Je pensais ne pas avoir à râler ce soir
Mais ce pauvre LE HYARIC a au beau recevoir X mails ou je lui demande de me"désabonner" à sa "lettre" qui chaque fois me file de l’urticaire , il a décidé que mon courroux irait..CROISSANT..
Il a pondu Hommage à Jean Jaurès déclamé le 31 juillet 2015 au Café du croissant.
http://patrick-le-hyaric.fr/hommage-a-jean-jaures/
Sur ma page face bokk, je chancognise
12. GRECE et PCF : Quand un Parti touche le"fond" par TOTAL abandon de"fondamentaux", 4 août 2015, 09:41, par Alain Chancogne
Mon copain Hoareau me fait savoir que SAPIR , va dans le sens de ce que j’ai voulu noter dans cet article
Autant loger in extenso les réflexions de l’économiste chopée sur son blog
Pierre Laurent, la Grèce et les mensonges
PAR JACQUES SAPIR · 25 JUILLET 2015
Bien entendu ce tesxte utile à la réflexion ne requiert pas mon accord total..
Mais il est à connaitre car il contribue à faire voir que Tsipras s’est couché et que LAURENT le borde..