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LA GUERRE CIVILE EN FRANCE

par Ernest London

Publie le mardi 15 août 2017 par Ernest London - Open-Publishing
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À chaud, Karl Marx raconte les événements qu’il a suivi depuis Londres, les manœuvres affligeantes d’un Thiers isolé, d’une Assemblée contestable et contestée, leurs tractations désespérées et déshonorantes avec Bismark. Il dénonce « la conspiration de la classe dominante pour abattre la révolution par une guerre civile poursuivie sous la patronage de l’envahisseur étranger ».
(...)
Pamphlet et panégyrique à la fois, ce texte contribua à rendre leur honneur aux vaincus, à donner la parole aux perdants face aux ignominies et aux ordures diffusées par les vainqueurs, à répandre l’édification de la Commune au rang de mythe. Regard historique de première importance.

Article complet sur le blog de la Bibliothèque Fahrenheit 451 : https://bibliothequefahrenheit.blogspot.fr/2017/08/la-guerre-civile-en-france.html#more

LA GUERRE CIVILE EN FRANCE
Adresse du conseil général de l’Association Internationale des Travailleurs
Karl Marx
Suivi de MATÉRIAUX SUR L’ÉTAT
Postface de Mathieu Léonard
162 pages – 5 euros.
Éditions Entremondes – Genève-Paris – avril 2012

Portfolio

Messages

  • Je ne sais pas s’il existe un écrit objectif de la vie de Karl Marx ? A savoir, compte tenu de de son origine bourgeoise, si ses recueils du "Capital" sont écrits avant ou après la Commune de Paris ? Nous aurions l’alfa et l’oméga de sa dénonciation du capitalisme pour sa dogmatique de la violence ! Autrement dit Marx analyse ce régime avant la Commune de Paris ou après, lui en donnant ainsi la preuve ? J’avoue avoir lu le "capital" de plusieurs tomes en diagonale pour que m’échappe la bonne version ? Enfin bien sûr sa célèbre préface : Prolétaires de tous les pays unissez-vous ! On voit bien que là, Lénine ne le suivi pas ! Auquel cas la Révolution Bolchévik n’aurait jamais eu lieu ! C’est d’ailleurs, encore de nos jours, ce que semble justifier par leur comportement une partie très minoritaire, il est vrai, du Mouvement Révolutionnaire et progressiste, pour être amené à conclure que l’on ne peut pas faire le Socialisme dans un seul pays ! L’Histoire les fait mentir car en définitive c’est chaque Peuple qui doit décider de son destin sans être obligé d’attendre, aujourd’hui plus qu’hier ! Des Dirigeants se lèvent pour se mettre au service de leurs Peuples de par le Suffrage Universel, il me paraît impossible et pas très honnête à leur jeter la pierre ! Le cri d’espoir est celui lancé par les Latinos-Américains : Un Peuple uni jamais ne sera vaincu !