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Rêve et évolution

par iena rabbioso

Publie le dimanche 10 septembre 2017 par iena rabbioso - Open-Publishing

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Darwin Jeune.

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Vous avez remarqué ?

Même le Washington-Post se pose des questions sur Macron.

Un comble ! Dans le monde Yankee, on se demande qui est vraiment Macron.

Les médias US ont déjà compris qui est Trump.

En France, les Médias continuent à dire : regardons et voyons.

Voyons quoi ?

Le symbole versaillais ?

L’éternel confrontation entre les pauvres courageux et les fainéants ?

La triste comparaison entre l’état et une entreprise ?

Que voyons-nous ?

Des médias possédés par des grands groupes financiers.

Il n’y a plus d’exceptions, sauf des journaux comme l’humanité qui ne sont pas en général présents dans les bars-tabac-presse de nos villes.

Il y a des journaux rebelles, des hebdos, des mensuels, mais ils font un travail de caricature.

Il n’y a pas de quotidien indépendant en France.

Et c’est la raison pour laquelle la question de l’ordonnance n’est pas traitée par les journalistes dépendants.

Extrait de Wiki-Pédia (qui dit des choses fausses parfois, mais qui ne néglige aucun sujet)

Dans le cadre actuel de la Cinquième République, le gouvernement ne peut prendre des ordonnances que s’il y a été habilité par le Parlement, conformément à l’article 38 de la Constitution, ou autorisé par la Constitution s’agissant de certaines dispositions relatives à l’outre-mer (article 74-1). Assimilées à des règlements, les ordonnances entrent en vigueur dès leur publication. Elles ne prennent toutefois valeur législative qu’après avoir été ratifiées par le Parlement dans un délai fixé.

Au moment de la Restauration, le terme d’« ordonnance » est rétabli pour mieux marquer la rupture avec la Révolution et l’Empire, et rappeler inversement l’Ancien Régime. Toutefois, sur le plan juridique, rien ou presque ne distingue ces ordonnances des décrets impériaux ou des décrets qui existeront dans les régimes suivants :
les ordonnances sont soit autonomes, soit prises pour l’exécution des lois,
la pratique du contreseing ministériel est de plus en plus fréquente,
il existe aussi des ordonnances individuelles.

Un grand nombre d’ordonnances sont aussi consacrées à l’application du droit métropolitain en outre-mer

Depuis la loi constitutionnelle du 23 juillet 2008, les ordonnances ne peuvent être ratifiées que de manière expresse. Cette nouvelle disposition constitutionnelle exclut donc les ratifications implicites autrefois admises par la jurisprudence constitutionnelle et administrative.

En principe, en droit, le présent a valeur d’impératif, mais la constitution de 1958 fait du président un arbitre, gardien des institutions.
La question s’est posée notamment en 1986 quand le président Mitterrand refusa de signer trois ordonnances du gouvernement Chirac : relatives à la privatisation de 65 groupes industriels, à la délimitation des circonscriptions électorales et à la flexibilité du temps de travail. Jacques Chirac, ayant une vision gaulliste de la fonction, reconnut le droit pour le Président de ne pas signer, mais mit en avant la légitimité plus récente dont bénéficiait son gouvernement par rapport à François Mitterrand, élu cinq ans auparavant. Le gouvernement fut forcé de s’incliner devant le refus du président, et dut faire voter le contenu de ses ordonnances selon la procédure législative normale.

Bref, écoutez bien, l’ordonnance est du domaine de l’exécutif (premier ministre) et non pas du président !

Voilà, tout cela est bien beau.
Mais nous somme en état d’urgence.

Il y avait un rêve dans la constitution de la 1ere République.
Maintenant, les 3 mots Liberté, Égalité, Fraternité semblent vraiment ironique sur le mur des Mairies.

Et puis il y a eu une évolution dans le domaine de la propagande politique, qui s ’appelle désormais communication ou soft-power.

Il y a une définition de la dictature énoncée par un Anglais :
Dans une dictature, tout ce qui n’est pas interdit est obligatoire.

Vaccinez vous vite !

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