Accueil > Soutien à la Palestine : NON à la venue de Netanyahou en France !

Soutien à la Palestine : NON à la venue de Netanyahou en France !

par JO

Publie le dimanche 3 juin 2018 par JO - Open-Publishing

Non à la venue de Netanyahou en France ! : Rassemblements dans plusieurs villes

LE SAVIEZ-VOUS ?

Alors qu’Israël a assassiné ces dernières semaines plus de 115 Palestiniens et en a blessé plus de 13 000 à Gaza lors de la récente marche pour le retour, que le régime israélien vient d’approuver 2000 logements de colons en Palestine occupée et qu’un ministre israélien vient d’appeler à "détruire Gaza une fois pour toutes", notre gouvernement s’apprête à dérouler le tapis rouge à Netanyahou pour ouvrir avec lui le 5 juin prochain au grand palais à Paris la très contestée "Saison France-Israël" dont près de 15 000 personnes demandent l’annulation dans cette pétition :

PETITION : Nous demandons l’annulation de la saison France-Israël

Des rassemblements contre la venue de ce criminel de guerre sont prévus dans plusieurs villes de France, voir la liste de ceux-ci sur le site de l’Agence :

Non à la venue de Netanyahou ! Rassemblements dans plusieurs villes de France

Envoyez nous vos rassemblements prévus à : agencemediapalestine Sg2 gmail.com

70 ans de Nakba : De là où ils sont, quelle voie pour les Palestiniens ?

"Les Palestiniens n’ont peut-être jamais eu autant besoin d’une vision à long terme afin de donner forme à leur lutte. Face au 70ème anniversaire de la Nakba, ou la catastrophe et la création de l’État d’Israël, le 15 mai, ils sont aussi face à une multitude de circonstances et d’actions qui menacent de faire dérailler la quête de leurs droits.(...)

Dans ce contexte, nous avons demandé aux analystes de Al-Shabaka de proposer une vision qui puisse trouver un écho auprès du plus grand nombre de Palestiniens – des partisans d’un État ou de deux, des réfugiés, des exilés, des citoyens d’Israël, ou ceux qui sont sous occupation et assiégés – et d’esquisser quelques voies pour aller d’ici à là.

Lire la suite de cette analyse d’Amal Ahmad, Irene Calis, Haidar Eid et Razi Nabulse du réseau d’analyses palestiniennes "Al-Shabaka" sur le site de l’Agence.

A lire également sur le site de l’Agence :

Contrôle et répression à distance : Israël teste ses armes les plus récentes sur la Grande Marche du Retour

TRIBUNE collective : Gaza : « Palestinian Lives Matter » (Les vies Palestiniennes comptent)
"Nous nous étonnons et nous inquiétons de la façon très particulière dont de nombreux chroniqueurs ont présenté cet épisode supplémentaire de violence exercée contre le peuple palestinien.

Les mots « occupation », « colonisation » ne sont plus présents dans les discours de nombreux éditorialistes, ni ceux de « réfugiés », de « droit au retour », la bande de Gaza n’est pas assiégée depuis dix ans, certains osent même dire qu’elle est « libérée » depuis 2005.

D’autres ajoutent qu’il n’y a plus un seul Israélien sur le territoire de Gaza, comme si le gardien de la prison avait besoin de se trouver à l’intérieur du territoire qu’il surveille. On fait de l’obéissance aux ordres de la direction du Hamas la cause du déclenchement de la révolte populaire, comme s’il avait le pouvoir d’enrégimenter des milliers d’hommes, femmes et enfants, désespérés par leur condition, qui marchent vers la barrière pour qu’elle tombe. En d’autres temps, ne célébrait-on pas ces images de liberté et de lutte contre l’oppresseur ?"

Lire cette puissante tribune signée par plusieurs personnalités et publiée le 28 mai dernier dans Libération.fr

Les vies Palestiniennes comptent, c’est aussi le message que des militant-e-s des droits humains ont voulu faire passer le 28 mai dernier à Bruxelles avec cette impressionnante action :
4500 paires de chaussures à Bruxelles le 28 mai 2018 pour les victimes de Gaza

Soixante-dix ans de chansons pour la Palestine
"Si la chanson est reconnue depuis longtemps comme un écho des opinions populaires, voire comme un instrument de ralliement derrière une cause, dans le cas de la Palestine elle joue un rôle supplémentaire. Ce n’est pas un mystère : l’entreprise de colonisation du territoire palestinien s’est très tôt accompagnée d’une colonisation culturelle qui a entravé, menacé de disparition, voire totalement nié la culture palestinienne.

Dans un tel contexte, les chansons palestiniennes, ou même celles qui « parlent de Palestine », en plus de participer à la lutte proprement dite, constituent en elles-mêmes des actes de résistance, des « preuves de vie », des preuves de créativité d’une population qui ne se laisse pas détruire. C’est cette histoire que nous allons explorer ici."

Lire la suite de cet article d’Emmanuel Dror publié hier sur le site de Contretemps.eu