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L’impôt, les dépenses publiques et la lettre de l’Elysée

par Allain Graux

Publie le mercredi 23 janvier 2019 par Allain Graux - Open-Publishing

L’impôt, les dépenses publiques et la lettre de l’Elysée

L’impôt est au cœur de notre solidarité nationale, écrit M. Macron comme premier sujet du Grand débat national qu’il a organisé, avec pour objectif de « calmer la colère » des Gilets jaunes qui manifestent chaque samedi depuis deux mois et débattent dans la froidure hivernale sur les Ronds-points. Car c’est lui, l’impôt qui finance nos services publics, qui rémunère les professeurs,, pompiers, policiers, militaires, magistrats infirmières et tous les fonctionnaires qui œuvrent à votre service. Ça commence plutôt bien, poursuivons : Il permet de verser aux plus fragiles, des prestations sociales. Là, ce n’est plus tout-à-fait juste, il a tendance à confondre impôt et cotisations sociales le Président. Pas étonnant si on se rappelle qu’il ne cesse – comme ses prédécesseurs - de piquer nos cotisations, c’est-à-dire une partie de nos salaires, différés pour assurer une redistribution sociale afin de nous soigner (santé), élever nos enfants sans discrimination (allocations familiales), vivre convenablement en retraites, continuer à survivre en cas de perte d’emploi (cotisation chômage), pour en faire cadeau aux patrons afin de leur permettre de ne pas augmenter les salaires. Par contre, les gros actionnaires, les riches, eux touchent plus de bénéfices de dividendes qui sont de moins en moins imposés. Ils n’investissent pas pour autant, le ruissèlement va surtout à la spéculation, ou se faire bronzer dans les paradis fiscaux.

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