Un petit débat / C’est l’heure de l’mettre

D’un côté des Gilets Jaunes, jaloux de leur mouvement spontané et populaire, et qui se tiennent à bonne distance « des syndicats », vus comme un tout participant à la grande mascarade contre quelques avantages ou, au mieux, vus comme ceux qui ne gagnent pas.

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De l’autre des syndicalistes, rouges ceux-là, qui voient le mouvement populaire comme potentiellement fasciste, au pire (et comme Macron veut qu’on le voie d’ailleurs), et au mieux, comme une expression incomplète et brouillonne de la lutte de classe.

Au milieu des revendications venues d’en bas, celles de meilleurs salaires, d’une vie moins chère, de plus de justice sociale et fiscale, de plus de démocratie… Exactement ce qu’il faut pour briser les préjugés et les idées fausses. A condition de le vouloir. Vraiment.

Pour arbitrer ce débat, ce que l’éthique et la probité ont produit de meilleur : un animateur de radio campus.

C’est l’heure de l’mettre !

L’heure de l’mettre