Accueil > ADIEUX AU CAPITALISME Autonomie, société du bien être et multiplicité des mondes
ADIEUX AU CAPITALISME Autonomie, société du bien être et multiplicité des mondes
par Ernest London
Publie le dimanche 18 août 2019 par Ernest London - Open-Publishing1 commentaire
« Il n’y a pas d’alternative : telle est la conviction que les formes de domination actuelles sont parvenues à disséminer dans le corps social. » S’inscrivant dans le nouveau cycle de la critique sociale, amorcé à partir du milieu des années 1990, après les décennies du triomphe néolibéral, Jérôme Baschet propose de partir d’une critique émancipatrice du capitalisme et de son engrenage productiviste-destructif, pour affirmer un projet alternatif, enracinant sa réflexion dans le sol des expériences concrètes, « utopies réelles » mises en oeuvres actuellement à travers le monde. Il s’agit de « penser une organisation sociale capable de soumettre les nécessités productives au principe du « bien vivre » pour tous et aux décisions collectivement assumées qui en découlent ». Une digne colère gronde : la lutte contre le capitalisme est la lutte pour l’humanité.
Article complet sur le blog de la Bibliothèque Fahrenheit 451 : https://bibliothequefahrenheit.blogspot.com/2019/08/adieux-au-capitalisme-autonomie-societe.html#more
ADIEUX AU CAPITALISME
Autonomie, société du bien être et multiplicité des mondes
Jérôme Baschet
210 pages – 15 euros
Éditions La Découverte – Collection « L’Horizon des possibles » – Paris – Janvier 2014
208 pages – 8,50 euros
Éditions La Découverte – Collection « Poche sciences » – Paris – Novembre 2016
Messages
1. ADIEUX AU CAPITALISME Autonomie, société du bien être et multiplicité des mondes , 20 août 2019, 18:30, par Stirner
Buvons bien, buvons les amie(s), trinquons, buvons, vidons nos verres , buvons bien, buvons les amie(s), trinquons, buvons , vidons nos verrres ; en mangeant d’un gras jambon à ce bon vin faisons la guerre, en mangeant d’un gras jambon, à ce bon vin faisons un sort etc...
Ils sont mal les pourceaus de capitalistes... On va s’occuper d’eux...