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Gilets jaunes : les interdictions de manifestation, l’autre face de la répression

Publie le mercredi 27 novembre 2019 par Open-Publishing
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Derrière les violences policières, les interdictions de manifestion. Du 17 Novembre 2018 au 16 Novembre 2019, nous avons comptabilisé 531 lieux interdits à la manifestation visant le mouvement des Gilets Jaunes. Notre enquête révèle l’autre face de la répression du mouvement, celle, moins visible, des expulsions de ronds-points, des parcours défendus dans les centres-villes, des recours au tribunal administratif. Si les interdictions de manifester sont moins bruyantes que les tirs de LBD, rien n’indique qu’elles soient moins efficaces.

Lire l’enquête : https://rapportsdeforce.fr/pouvoir-et-contre-pouvoir/gilets-jaunes-les-interdictions-de-manifestation-lautre-face-de-la-repression-11274972

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Messages

  • A propos des ronds-points il est plus juste de considéré que les morts ne sont pas des accidents ! En effet le travail de la police à moduler la circulation pour présence piétonne n’a pas été fait sauf pour l’envoyer détruire les cabanes des occupants des ronds-points . A chaque lieu de rassemblement c’est le travail de la police d’assurer la protection des citoyens de par la loi ! Il faut donc bien considérer que ces décès ont eu lieu facilités d’aucune présence policière ! En tout cas sinon tous certains auraient pu être évités ne serait-ce que par la peur du gendarme de l’automobiliste ! Par conséquent pour moi ce ne sont pas des accidents mais sans doute des faits à risques prémédités pour absences calculées volontairement des autorités d’un minimum de surveillance même sporadiques !