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Nouvelle affiche scandaleuse de Info’ Com...

par Mickael Wamen

Publie le mercredi 24 juin 2020 par Mickael Wamen - Open-Publishing
13 commentaires

De pire en pire le bad buzz continue...

Se réjouir des licenciements à BFM c’est scandaleux !!

Cette restructuration est totalement injustifiée comme toutes les autres et qu’elle touche des salarié/es de BFM ne donne pas droit de s’en réjouir ...

Les salariés de BFM ne sont pas des chiens comme indiqué par Info’ Com ...

En plus ce sont les « petits » qui vont morfler !

Comment Info’ Com peut il être à ce point une fois de plus totalement à la rue sur un sujet aussi important !

Tous les salarié/es concernés ont besoin de soutien et pas d’une énième affiche totalement débile...

La CGT défend TOUS les salarié/es, combat toutes les restructurations, faire l’inverse c’est plutôt le job de la CFDT !!!

Nous sommes de tout cœur avec les victimes de ce plan de restructuration financier comme partout ailleurs ...!!!!

Wamen Mickael
Ex Goodyear

Messages

  • La direction de Info’ Com n’est pas a coté de la plaque mais cohérent avec leur philosophie sectaire, corporative et dramatiquement myope. Tout se que sort de leur contrôle ne peux être bon (Info’ Com syndicalement n’est pas present dans BFM). La direction de info’com (seulement 4 personnes, voir une seule personne) prendre de position publique sans avoir une analyse de classe, La mème direction de Info’ Com mélange les éventuelles pseudo journaliste à la botte du capitale et bien protégé avec les salarié et les précaires. Le plan de licenciement pourrait toucher un tiers des salariés (entre 330 et 380 CDI sur 1280) et la moitié des pigistes et intermittents (près de 200 personnes). C’est une position hallucinant de traiter les salaires que risque de perdre leur emploi des chiens... Une foix dit ca on peux en on le fait de dénoncer la désinformation et le rôle de "voix du patron" de BFM... Mais rient autorise un syndicat et en particulier que prétend d’être de la CGT de ne pas défendre les salaries dans la communication et information et que risque d’être licencié...

  • Je ne défendrai jamais, dans la système tel qu’il est, des ouvriers menacés de licenciement dans une usine d’armement.
    Qu’ils assument leur choix.
    Je ne défendrai jamais, dans le système tel qu’il est, des flics menacés de sanction en particulier pour des violences.
    Qu’ils assument leur choix.
    Par contre je serai toujours à côté de ceux, dans le système tel qu’il est, qui auraient l’idée de foutre sur la gueule de ceux qui les traitent comme des chiens en exerçant un pouvoir à détruire...

    • ceux qui vont subir les licenciements n’ont rien à voir avec la ligne de cette chaîne de merde... Sont les petits qui vont morfler et le traité de "chiens" par un "syndicat" que se pretend de la CGT est scandaleux...

    • Pas d’accord. En tant que communistes, que syndicalistes de classe, nous devons défendre les ouvriers et les prolétaires contre les patrons, quelque soit le secteur d’activité concernée. L’ouvrier, le prolétaire est subordonné et, de ce fait, il n’a pas le contrôle de la production même s’il en a conscience. Et c’est là-dessus qu’il faut s’appuyer pour qu’à l’occasion d’une lutte (ou d’autre chose), mettre le doigt avec lui sur ce paradoxe.
      Reste que l’ouvrier ou le prolétaire mène une lutte pour son gagne-pain, pour sa survie quand il refuse le licenciement.
      Nous ne sommes pas dupes, certes, mais nous sommes solidaires dans notre classe.

  • Difficile d’être solidaire avec les propagandistes de BFM, des professionnels de la déformation des faits pour motif politique.
    Leur licenciement prouve que lécher les bottes de leur patron ne sauvegarde pas.

    A Lille, ils forment les étudiants et les étudiantes de l’ESJ, l’Ecole Supérieure de Journalisme.
    BFM Lille partage ses locaux avec cette école, sur le campus de l’université de lille 1, 9 Rue Archimède, 59650 Villeneuve-d’Ascq.

    Moins de journalistes à gages, moins d’ennemis de classe, ne peut être qu’une bonne nouvelle.

    • André, pourquoi tu à besoin de inventer des choses pour avoir raison ????

      Du tu sort tes information ??? La manipulation des realité ne change pas la situation...

      La très grande majorité des futur "candidats" au licenciement sont des précaires, stagiaires, pigistes, intermittents du spectacle et enfin des salaries technicien avec pour la majorité de salaires de 1200 euros...

      Le fameux "journalistes à gage" que tu parle ne sont pratiquement pas touché.

      Donc encore une fois du tu sort tes infos.... ?????????

    • Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/BFM_Grand_Lille

      " Initialement installée Tourcoing, Grand Lille TV a fait le choix d’implanter son nouveau siège à Villeneuve-d’Ascq au sein d’un pole image privé abritant : Melody ,My Zen TV, Museum, Digital Street, la régie publicitaire Are Media, l’école de journalisme ESJ PARIS GRANDLILLE, la radio Metropolys et l’agence de presse gérant les pages régionales du journal gratuit quotidien CNEWS Lille (anciennement DIRECT MATIN Lille), proche du nouveau quartier autour du stade Pierre Mauroy à 4 Cantons. "
      Grand Lille TV est devenu BFM-Lille
       - - - - - - - -
      On entend parfois les décérébrés de l’ESJ sur une radio libre régionale.
      Ils sont consternants !
      Ils sont aussi repoussant quand ils imitent BFM en bavant sur le social, les salariés licenciés, les syndicats . . . .
      Je n’écoute plus cette radio le matin, depuis qu’ils y font des apparitions.

      Roberto, les renseignements demandés te vont ils ?

    • Bonjour André,
      Vous faites erreur l’ESJ Lille est situé 50 rue Gauthier de Châtillon à Lille c’est une asso loi 1901 à but non lucratif gérée par ses anciens élèves et elle ne partage pas ses locaux avec BFM.
      Bonne journée,

  • C’est un commentaire de Benjamin Amar

    Je lis des choses très étonnantes sur la grève chez BFM-RMC de la part de camarades.

    Figurez vous qu’ il y a des pigistes, des intérimaires, des assistants d’émission payés au lance pierre qui, au coeur des médias du Capital, se battent pour leur emploi à travers cette grève.

    Merci de ne pas les confondre avec la ligne éditoriale des élites médiatiques et de pas tout mélanger. Il y a des syndiqués et des salariés en lutte chez Thalès le marchand d’armes, chez TF1, chez Total, et dans tous les infâmes grands groupes de l’économie mondiale.

    Les salariés ne se confondent pas avec leur patron. Chez Bfm, comme ailleurs, les salariés bossent pour bouffer. Pas par admiration pour leur taulier.

    Merci de ne pas écrire n’importe quoi.

  • A moins que les employés de BFM se fasse passer pour des camarades en appelant à la solidarité envers eux.

    Qui sont les salariés de BFM ?
    Des CSP++ qui pensent être les phares d’une humanité supérieure, bien pensante, qui ont passé leur temps à nous insulter, à mentir à toutes et à tous, à pratiquer la lutte des classes au profit d’une catégorie sociale à laquelle ils rêvent d’appartenir.

    Mais ces types vous insulteraient comme du poisson pourrit si vous leur disiez que vous ne voulez pas qu’on diminue le SMIC ou le RSA.

    Reprenez vous, non d’un chien !
    Même si vous les aidez, ils/elles, continueront à vous cracher dessus.

    La ligne éditoriale de leur patron, elles/ils la partagent sincèrement, c’est ce qui leur permet d’imaginer qu’ils appartiennent à l’élite.
    Ce ne sont pas des salariés comme les autres, ils/elles vous sont supérieures.

    Avez vous oublié ce qu’est la toute petite bourgeoisie ?

    La Lutte des classes, eux, ils/elles la pratiquent, c’est ce qui leur permet d’exister, en leur cachant ce qu’ils sont vraiment.
    Elles/ils seraient malades en se regardant dans un miroir, tels qu’elles/ils sont.

    Vous avez vu comment ils ont fait disparaitre la violence policière derrière le racisme américain !

    BFM licencie, tant mieux !

    • D’accord André, mais il faut élargir cette remarque à l’ensemble du corps des journalistes installés (quelque soit le média), aux chroniqueurs patentés, aux experts (universitaires ou non), bref à tout cet ensemble chargé de nous faire avaler le politiquement correct.
      A côté de cela il existe des sous-fifres, des précaires qui sont dans ces métiers, qui assurent la logistiques sans être des vecteurs directs du discours dominant.
      Pas facile de faire des choix (comme pour l’industrie de l’armement) mais il faut raisonner en terme de classe et donc en terme de position dans la hiérarchie de l’appareil de production ; là, la production d’un discours dominant.

    • Il y a des perdants professionnels, pour qui la défaite passe avant toute chose.

      Très bien l’attaque de la CGT par Mickael Wamen, malheureusement, BFM n’embauche pas pour l’instant.

  • ennemis de classe méchant infocom.
    Arrêtez de lire avec une doctrine ce qui à mon avis vous perd.
    ce que je comprends de l’affiche : c’est que même BFM qui est l’organe de propagande de Macron, du capital, et du Medef licencie alors que nous pourrions supposer que ses employés soient à l’abri.
    c’est pourquoi même les employés de BFM sont traités comme des chiens.
    bref chacun comprend ce qu’il veut, en attendant comparer infocom à la CFDT ! n’oubliez pas qu’au niveau Européen monsieur Martinez
    fricote allègrement avec Berger dans les instances syndicales européennes.(source front syndical de classe)
    relisez la charte d’Amiens.Bon sang

    CGT Libertaire