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RÉUNION ET REPAS DE SOLIDARITÉ ORGANISÉS PAR LA CAMPAGNE UNITAIRE POUR LA LIBERATION DE GEORGES ABDALLAH - SAMEDI 12 SEP

par Jean Clément

Publie le vendredi 4 septembre 2020 par Jean Clément - Open-Publishing

EXIGEONS LA SIGNATURE DE L’ARRETE D’EXPUSION CONDITIONNANT LA LIBERATION DE GEORGES ABDALLAH !

« Il faut qu’il signe ! ». Telle est la dernière injonction de l’Etat français, lancée à la volée par le Président français, le 6 août 2020 à Beyrouth, en réponse aux cris de tous ceux qui sur son passage scandaient, une fois de plus, l’exigence légitime de la libération de Georges Abdallah.

Faut-il le rappeler ici encore ? S’il est bien une signature impérative dans ce dossier, c’est bien celle du ministre de l’Intérieur. Malgré deux libérations accordées en 2003 et en 2013 par le tribunal d’application des peines et l’affirmation écrite d’un accueil favorable au Liban, la libération de Georges Abdallah reste conditionnée à la signature d’un arrêté d’expulsion du territoire français : en janvier 2013, Emmanuel Valls, ministre de l’Intérieur, refuse de le signer ; le 5 novembre 2014, une nouvelle demande de libération est déclarée "irrecevable" au motif qu’elle n’avait pas fait préalablement l’objet d’un arrêté d’expulsion. Alors oui, aujourd’hui, s’il est une injonction à faire, c’est bien celle du Président de la République ordonnant à son ministre de l’Intérieur de parapher ce document pour qu’enfin justice soit rendue et que Georges Abdallah soit libéré : « il faut qu’il signe ! »

Temps est désormais venu d’assigner l’Etat français ! Désormais appel est lancé, en parallèle des démarches entreprises par l’avocat de Georges Abdallah, pour que soit rappelé à chaque instant et à chaque déplacement de représentants de l’Etat français et notamment du Ministre de l’Intérieur actuel cet impératif du « il faut qu’il signe ! ».

Campagne.unitaire.gabdallah Lko gmail.com

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