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L’incroyable Projet De Kadhafi : Comment La Libye A Construit Des Rivières Sous Le Sahara (vidéos)

par nazairien

Publie le samedi 20 mars 2021 par nazairien - Open-Publishing
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La "Grande rivière artificielle", de Mouammar Kadhafi, qui pour les libyens à l’époque, c’était la "8ème merveilles du monde"

Mouammar Kadhafi lance donc en 1984 le projet « Grande Rivière Artificielle » (« Great-Man-Made-River »). Il prévoit en l’espace de 25 ans et en 5 phases successives de construire environ 4000 km de canalisations en béton de 4 m de diamètre, destinées à transférer 6,5 millions de m3 d’eau chaque jour du Sahara vers les régions peuplées du littoral

Les "assassins" Sarkozy, Obama, Camèron, et "leur ame damnée" BHL, ont empeché l’aboutissement de ce projet .

l’OTAN, le bras armés des agresseurs, avec sa "soldatesque" de terroristes et ses bombardements ont détruit certaines
canalisations déjà construites .


16 févr. 2021
Les deux tiers de notre planète sont recouverts d’eau, mais seuls trois pour cent de la masse d’eau totale est de l’eau douce, et qui plus est, cette eau est très inégalement répartie.
De sorte que de nombreux pays sont confrontés à une pénurie d’eau douce et pour certains d’entre eux, c’est un problème très grave qu’ils essaient de le résoudre de différentes manières. Le projet, connu sous le nom de Grande rivière artificielle, que Mouammar Kadhafi a tenté de réaliser en Libye, était assurément l’un des plus ambitieux. Et c’est de projet que nous allons parler aujourd’hui. Regardez jusqu’à la fin, et laissez-nous vos conclusions et commentaires sous la vidéo.

https://www.youtube.com/watch?v=7Q7qUIumr90
(voir les commentaires)

Une autre vidéo sans publicité et plus récente

L’incroyable Projet De Kadhafi : Comment La Libye A Construit Des Rivières Sous Le Sahara
•4 mars 2021

https://www.youtube.com/watch?v=8z3RKNiCLMg

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  • En complément de "l’article" des infos parues en 2018

    La Grande Rivière Artificielle de la Libye : huitième merveille du monde ou folie d’un dictateur ?

    par Anne-Marie Meyer · Publié 14/05/2018

    https://dei.hypotheses.org/715

    Extraits de l’article

    › Définition : Projet d’adduction d’eau destiné à transférer l’eau de l’aquifère gréseux nubien situé en partie sous le désert libyen vers le littoral à l’aide d’un réseau de canalisations de plus de 3 500 km. Débuté en 1984, il est destiné à répondre principalement aux besoins en eau de la population urbaine et à atteindre l’autosuffisance agricole.

    Pour répondre à ce besoin urgent d’eau potable et rendre le pays autosuffisant en terme de production agricole, Mouammar Kadhafi lance en 1984 le projet d’amener l’eau des aquifères fossiles sahariens vers les villes côtières et développer l’agriculture grâce à l’irrigation.

    › Qu’est qu’un aquifère fossile ?

    La présence de grandes quantités d’eau dans le désert libyen était connue depuis les années 1950 : elles furent découvertes par hasard lors de travaux d’exploration pétrolière dans la région de Koufra. Cette eau fossile appartient au système aquifère gréseux de la Nubie, un ensemble de nappes souterraines de 150 000 km3 d’eau (Thorweihe, Heinl, 1996), voire de 542 180 km3 selon les estimations sans doute optimistes du CEDARE (2001), connectées entre elles et formant un ensemble transfrontalier partagé par la Lybie, l’Égypte, le Tchad et le Soudan s’étendant sur 2 millions de km2.

    Mouammar Kadhafi lance donc en 1984 le projet « Grande Rivière Artificielle » (« Great-Man-Made-River »). Il prévoit en l’espace de 25 ans et en 5 phases successives de construire environ 4000 km de canalisations en béton de 4 m de diamètre, destinées à transférer 6,5 millions de m3 d’eau chaque jour du Sahara vers les régions peuplées du littoral. Le programme, d’un coût de 25 milliards d’euros (financés grâce aux exportations de pétrole, soit 2/3 du budget étatique), nécessite le creusement d’environ 1 300 puits d’une profondeur de 450 à 650 m et la construction de vastes réservoirs d’une capacité 20 millions de m3 d’eau. En 1992, l’eau atteint les villes de Benghazi et de Sirte et en 1996, Tripoli. À terme, 150 000 ha de terres doivent devenir cultivables.

    (voir dans l’article, les réserves et les mise en garde par certains, qui s’appuient sur le fait que cette réserve "aquifère fossile" n’est pas renouvelable, et pourrait assécher "l’immense nappe d’eau en profondeur", dont on ne peut estimer la durée, mais qui sans doute a plusieurs siècles devant elle))