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Abdul Halim Khaddam, un corrompu en disgrâce diffame le régime dont il est issu

Publie le samedi 31 décembre 2005 par Open-Publishing
4 commentaires

Voici ci dessous (en anglais malheureusement) un article qui revele la véritable nature et les véritables motivations de l’homme qui accuse le régime syrien de meurtre :

http://www.meib.org/articles/0002_med.htm

With the Syrian occupation of Beirut in 1990, Khaddam worked assiduously to solidify Syrian control over successive Lebanese governments. In particular, his relationship with former Lebanese Prime Minister Rafiq Hariri was very close. Several years ago Khaddam told Lebanese officials that Hariri was "here to stay until 2010," adding that "we in Syria have had no change (in regime) since 1970. Continuity leads to stability."4

Ironically, Khaddam’s close association with Hariri marked the beginning of his political demise. Bashar Assad, the son and heir apparent of Syrian President Hafez Assad, took control over Syrian policy in Lebanon in 1998, fearing that Khaddam might use Hariri, his money and his Saudi connections to challenge his ascension to the presidency.

Syrian policy in Lebanon under Bashar took advantage of widespread disaffection with Hariri and his failed economic policies to bring the Lahoud-Hoss government to power. Hariri has spent his days since then trying to rub shoulders with Bashar Assad and distancing himself as much as he can from Khaddam and former Syrian army Chief of Staff Hikmat Shihabi, another loser as a result of Bashar’s ascendency. Hariri is no longer offering his private plane, his mansions in Europe or his boat to accommodate and entertain the Khaddam and the Shihabi families.

Perhaps the best indication of Khaddam’s political eclipse was the reaction in Lebanon to the death of his grand-daughter last month. In Lebanon, when the relative of an important Syrian official passes away, it is front page news and Lebanese politicians line up to attend the funeral or issue scores of statements and poems for the occasion. The only coverage given to Khaddam on this occasion was a brief paragraph in Hariri’s newspaper, al-Mustaqbal, and Hariri was virtually the only political figure to pay his condolences to the Syrian Vice-President.

Khaddam’s role within the Syrian regime has become largely ceremonial : paying condolences and carrying messages to the leaders of Sunni regimes in the Arab world. He is unlikely to contest this demotion, knowing that any overt signs of dissatisfaction will encourage the ostensibly reform-minded Bashar to expose details of the well-known indulgences of Khaddam and his sons in corrupt activities inside and outside Syria (e.g. Khaddam and his sons, along with the Shihabi family, used their political influence to involve themselves heavily in the cellular telephone business in Lebanon, which has earned them tens of millions of dollars in the last few years). Although officially Khaddam is still a vice-president, his political wings have been clipped and he will most likely slip graciously into a comfortable retirement.

Messages

    • Au petit plaisantin qui a laissé le message en anglais, je tiens simplement à signaler que la vérité n’a pas de prix et que l’article qu’il a eu l’honneur de lire date de février 2000 et qu’il provient d’un site violemment antisyrien ... Ecrit bien avant le meurtre de Hariri donc, cet article qui souligne le caractére douteux et corrompu de l’homme qui dénonce aujourd’hui la corruption devant les caméras de télévsion et met en valeur sa vieille animosité contre Bachar El Assad, qu’il accuse maintenant (6 mois après sa démission ...) d’avoir menacé Hariri (alors que si Bachar était réellement derrière le meurtre il se serait certainement bien gardé de proférer des menaces à l’encontre d’Hariri en présence de celui qui était devenu depuis des années son adversaire ...) n’est pas une défense rédigée après coup par des partisans du régime syrien mais une somme d’éléments précis et revélateurs concernant Abdul Helim Khaddam qui nous ont été fournis à leur corps défendant par les adversaire les plus acharnés du pouvoir de Damas qui, s’ils étaient cohérents avec eux-mêmes, devraient s’interdir d’utiliser la carte Khaddam contre le régime syrien, carte qu’ils ont eux-mêmes définitivement discréditée ...

    • quand la gauche arrêtera-t-elle de défdendre le ba’athisme syrien ?
      qui n’a de socialiste que le nom ??
      quand cessera cet aveuglement ?????

    • Pathétique...
      "Il n’ya pas plus aveugle que celui qui ne veut pas voir."

      Pour ceux qui connaissent réllement la situation politique libanaise, ce genre de commentaires et d’"analyse" provoque au maximum un léger sourire plein de compassion. Les gens comme vous ont envie de croire ce qui les arrangent, ce qui permet de ne pas ébranler leurs fragiles certitudes qui resistent de moins en moins à l’évidence. De plus ce genre de commentaire est une insulte à l’intélligence des libanais qui ont supporté pendant 30 ans les abus et exces d’une occupation militaire et politiquesyrienne abjecte jalonnées d’assassinats politique. La commission mehlis ça vous dit quelque chose ? "Politisée bien sur".. Khaddam ne dit rien d’autre que ce que la commission avait déja mis en évidence ? "Discréditons le car il est lui même corrompu" Quel est le rapport ?? Le fait que Khaddam a été lui même pro consul du Liban et lui même corrompu discréditerait ses révélations que ,par ailleurs, tous le monde connaissait déjà. Comme argumentation c’est pas terrible... Rustom ghalazé et le détournement de la banque al madina ça vous dit qqchose ?? L’opa syrienne sur le casino du liban etc etc etc...
      De toute évidence vous devez être ce genre de petit euriopéen ignorant les réalités du MO et qui se balade fièrement avec son kefièh autours du cou....Amusant.

      Pathétique...

      Vive le Liban libre, et vive le peuple syrien qui mérite de se libérer de ce régime obscurantiste d’une autre époque.

      Cela ne saurait tarder. Kess ertik Souria !