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Matraquage Policier Au Squatt De Couronnes

Publie le jeudi 17 juillet 2003 par Open-Publishing
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Le concert avait bien commencer au squatt de Couronnes (Paris 20°), Smell Bad (punk HC) puis un groupe Belge de grind core (j’me rappelle plus le nom) et enfin un autre groupe de Punk. Mais celui-ci du s’arreter : les flics etaient devant le squatt et comme ils avaient deja promis aux habitant de les reveiller a coups de Flashball dans la semaine le dernier groupe c’est arreter de jouer.

Vers 1h du mat alors que la majoritée des gens présents attendaient a l’entré les flics ont investient la cour par la porte arriere probablement ouverte par des civils (ont en a vu 1 se prendre 2 coups de matraques avant de sortir son brassart). Alors a commencer le matraquage systematique de la 60aines de gens présent par une 40aines de flics en tenues de combat et une dizaine de civils.

D’abort les coups pour faire alonger tous le monde au milieu de la cour les mains sur la téte : matraques, pieds, points et tonfas sont rentrer en action.

Puis d’autres coups sur les personnes alongées acompagnée d’insultes et de menaces du style "vous allez tous déguster, on se fait plaisir ce soir on vas casser du punk, tu vas crever,...".

Perso me faire traiter de punk me fait plutot rire mais quant ca s’acompagne de 2 grands coups de latte dans le dos j’kiffe vachement moins tout de suite.

Bon je vous passe les enculées et autres fils de pute qui sont de simples politesses dans ce genre de situation mais on est resté une dizaine de minutes comme ça a se prendre des coups des que qqun protestait en voyant les flics se mettre a plusieur sur des gars ou des filles a terre.

Puis ils ont décidé de nous évacuer, donc recoups pour faire lever tous le monde, nous aligner en filles indienne, nous faire sortir dans la rue et nous aligner contre le mur, le tout toujours les mains sur la téte.

La j’ai vue un mec bien chez eux, ca merite d’etre signalé c’etait le seul ! Aprés qu’un gros enculé ai mis 2 coup de tonfas dans la gueule d’une meuf qui se levait pas assez vite a son gout il l’a empéché d’en mettre un troisiemes en lui disant de se calmer. Voila la seule notion d’humanitée présentes ce soir, ca a duré 2 secondes !

Bon aprés fouilles génerales avec coups pour ceux qui faisaient autres chose que de rester bien droit contre le mur, les mains sur la tétes et silencieux. Ceux qui avaient été fouillé devaient dégager en vitesse et en baissant les yeux sous peine de se refaire matraquer.

On s’est rassemblé un peut plus loin pour attendre les potes qui n’étaient pas encore sortis et devant l’impossibilitée d’empécher les flics de tabasser ceux qui réstaient entre leurs mains on c’est mis a chanter.

Mort au vaches, Mort au condés, Vive les enfants de Cayennes, a bas ceux de la suretée

Alors forcement nouvelle charges ou ils ont repris au moin 2 personnes qu’on a vu partir avec les menottes aprés s’etre fait tabasser au sol.

Voila a l’heure actuelle on ne connait pas encore le bilan de l’operation mais on en a tous pris plein la gueule et on est toujours sans nouvelles de plusieurs potes. Alors tous ensembles :

Mort au vaches,
Mort au condés,
Vive les enfants de Cayennes,
a bas ceux de la suretée

Messages

  • Je me souviens encore de ma première femme
    Elle s’appelait Marsu, une vraie putain dans l’âme !
    La reine des morues de la plaine Saint-Denis,
    Elle faisait le tapin dans la rue d’Rivoli !

    Mort aux vaches ! Mort aux condés !
    Viv’ les enfants d’Cayenne ! A bas ceux d’la surté !

    Ell’ aguichait l’client quand mon destin d’bagnard
    Vint frapper à ma porte sous forme d’un richard...
    Il lui cracha dessus, rempli de son dédain,
    Lui mit la main au cul et la traita d’putain.

    Mort aux vaches ! Mort aux condés !
    Viv’ les enfants d’Cayenne ! A bas ceux d’la surté !

    Moi qui était son mec et pas une peau de vache,
    Moi qui dans ma jeunesse pris des principes d’apaches,
    ’sortis mon 6’35, et d’une balle en plein coeur
    Je l’étendis raide mort et fus serré sur l’heure !...

    Mort aux vaches ! Mort aux condés !
    Viv’ les enfants d’Cayenne ! A bas ceux d’la surté !

    Aussitôt arrêté, ’fus mené à Cayenne.
    C’est là que j’ai purgé le forfait de ma peine...
    Jeunesse d’aujourd’hui, ne faites plus les cons,
    Car d’une simpl’ conn’rie, on vous fout en prison !...

    Mort aux vaches ! Mort aux condés !
    Viv’ les enfants d’Cayenne ! A bas ceux d’la surté !

    Si je viens à mourir, je veux que l’on m’enterre
    Dans un tout p’tit cimetière près d’la porte Saint-Martin,
    Quatr’ cent putains à poil viendrons crier très haut :
    "C’est le roi des julots que l’on coll’ au tombeau !"

    Pas de grâce ! Pas de pitié !
    Pour toute cette bande de lâches et ces bandes d’enculés !

    Parabellum.