Projet coopératif eau et vergne énergie

Projet coopératif eau et vergne énergie

Et si les particuliers s’autogéraient pour la campagne

Voici un second article pour attirer l’attention populaire sur des opportunités réellement soutenables...

Les énergies renouvelables seront locales ! Alors la compétivité laissera place à la complémentarité, mais l’investissement comment le feront nous. Où sont nos bas de laine ? Et qu’elle est la force de travail ?

Le bois comme point de départ : exploitation sylvicole, première tranformation (sciage), seconde transformation ( menuiserie et autres...) les acteurs ont été éloignés au profit de la concurence... le bois est un puis de carbon mais sa valeur marchande n’a pas suivit l’inflation. Comment gérer proprement la forêt ?

Dans une problématique très impliquée d’affaire d’avenir, L’association 2 bien fêteur essaie de mener à bien des projets collectifs et durables.

Bois Energie Vergne une Société Coopérative d’Intêret collectif régionale permettant à une fillière locale de voir réellement le jour !

Qu’elle est la différence entre la sylviculture et l’agriculture ? La cure de désintoxication au subutex de la politique agricole commune ! ! !

Voici maintenant presque 2 ans que je travaille en free lance sur une coopération autour de la valorisation des sous produits de scierie. En électron-libre malgrès la connaissannce des acteurs et ma spécialisation dans les énergies renouvelables et l’habitat écologique, il est très difficile de fédérer le milieu.

En effet le pays d’Arlanc en Livradois forez a depuis quelques années un grand intérêt pour les granulés de bois , qui sont tout d’abord un carburant compétitif avec le pétrole pour le chauffage individuel ; ensuite la sciure est une matière première abondante. Je me suis donc ,par soucis d’efficassité, lancé dans une recherche sur les débouchés éventuels des sous produits. Pas de financement pas de reconnaissance ! Mais de la mobilité, des rencontres et de l’espris d’innovation...

Du béton léger de bois, voila selon moi, un vrai bon usage : en effet c’est une isolation en matériaux locaux avec un bas cout énergétique et un pouvoir à contenir du CO² important ( l’ex association deffibois à saint jean solleymieux dans le 42 est experte). Le développement d’une maison à ossature bois saine représenterait une avancée sérieuse vers un mode de vie durable (cf maison SPL à lille) . La mise en oeuvre de matériaux locaux permetterait l’établissement durable d’une fillière quasi indépendante des transports et il offrirait le moyen à des artisants de développer un savoir faire ( empileur de parpain et manutentionnaire ne sont plus des idéaux !)

Le béton léger de chanvre sera aussi le bien venu lorsque les prohibitions auront cessé sur cette plante qui a tant tissé de lien en auvergne. Mais pour l’instant le bois fera l’affaire, avec un cout hors paire, et surtout l’isolation représente une économie de combustible de chauffage. Le bois énergie est bien entendu le domaine en vue, avec l’oppression militaire qui règne maintenant autour du vol du pétrole. Il sera vite très juteux mais d’ici là il y a l’équipement et la fillière approvisionnement à mettre en place. (ne pourrait elles pas collaborer pour être vendeur de chaleur, et en gaule être un concurent des grands fournisseurs d’énergies ?)

Un temps j’étais inquiet, quand à cette mise en place tardive, et puis maintenant j’ai compris que divisé pour mieux règner est une stratégie complètement dicté depuis l’enfance. L’école capitaliste a su nous persuader, que la réussite pouvait être individuelle. La conséquence est que le gros mange le petit, et que les gros perpétuent la règle de la concurence, maintenant que nous sommes des autistes assistés de la communication, seul les gros ont de l’avenir... Et pour le bois ils sauront nous faire couper à blanc les plantations des parents pour trois francs 6 choux. les multi-nationales n’auront pas de soucis pour répondre aux besoins en énergie, il ont déjà la puissance débridée de l’hyperconsommation...

Il est vrai que nous pourrions aussi nous organiser collectivement pour vivre harmonieusement avec notre environnement, et valoriser nos ressources naturelles, développer nos savoir faire pour garantir des activités créatives indépendantes de la rentabilité de la £ivre $terling... La Banque croute pèse sur la france, les acquis sociaux sont menacés, le faschisme latent monte à travers les médias comme un étendard d’espoire... Ce ne sera pas une petite réforme qui changera quoique ce soit, il serait peut être temps de rendre leur humanité au travailleur, car les productions sont déjà très éloignées. Souvenons nous de la grève des routiers dans les années 90, les super-mare-chiers se sont vidés et puis...

La dépendance technologique est elle un progrès ? La dépendance alimentaire est elle plus dangeureuse, que le péril de la male bouffe empoisonnée d’intensifs hors sol ?

EAu-le-Nat, et la succrerie de Bourdon possède un outil de granulation (dont le séchoire est électrique : utilisation irrationnelle de l’énergie) cette atelier serait capable de transformer un grosse parti des sciures auvergnate, le séchage peut faire l’objet d’une cogénération à écorse, fournir de la chaleur à la ville et un peu d’électricité pour fabriquer les premiers granulés verts du marché. Mais les quotas européens de sucre permettent à cette coopérative de ne plus fabriquer d’alcool... Mais le brésil il ne roule pas avec de l’éthanol ?

Pour nous servir Sylvain lemoine

http://association-2-bien-feteur.over-blog.com/

http://www.itebe.org/portail/forum/...

Je ne suis qu’un clown médiateur, mes compétences ne seront qu’au service du bien commun. Les industriels et politiques impliqués ont été informés l’affaire piétinne... Saurons nous organiser ensembles la valorisation de nos richesses ?