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Sea, sex and love au Fou de Bassan

Publie le vendredi 9 février 2007 par Open-Publishing
509 commentaires

de Esteban

Tout commence un matin
Un jour pas commun
D’un été pas commun.
On marche nonchalant
Le long du rivage
Où s’ébrouent quelques baigneurs.

On regarde sans voir
On entend sans écouter
Pourtant il suffit d’un instant
Pour sortir de l’absence.

La " mer " m’a ébloui !

Calme et scintillante
Bleue et brillante
Transparente…

Seulement quelques petites vaguelettes
Pour capter mon attention.
Je détourne mes yeux
Et toujours ces vaguelettes.

Mon regard est rapide
Mon esprit est troublé
Mes entrailles serrées.

Je passerai ce soir pour retrouver ma " mer "
Sera-t-elle encore là ?

Je reviens au crépuscule
De cette journée si chaude
Le feu est tombé
Plus de baigneur
Plus de bruit.

Ma " mer ", elle, est revenue
Comme moi.

Ce soir elle est plus calme
Les vaguelettes roulent
Et leur écume a changé.

Il n’y a qu’elle et moi.

L’appel est langoureux, je le ressens !
Je me dénude lentement
Mais pas entièrement
Chasteté ? Peur ? Timidité ?
Quelque chose me dit : " pas trop vite "

Je m’approche d’elle
Les vaguelettes viennent frôler mes pieds nus
J’avance encore…
Au niveau de mes cuisses
La surface ondoyante
Me caresse en douceur

J’ai senti ce désir
Je m’enfonce dans l’onde
Je baigne dans le bonheur
J’ôte ce qui me reste
Les tabous ont sauté
Les peurs envolées.

Les courants chauds et froids
Que des mains qui m’enlacent
C’est si doux, le sexe réagit

C’est au tour de mes mains
De frôler la surface
D’étreindre de mes bras
De dessiner des formes
Au gré de ma passion

La « mer » n’est pas farouche
Elle se laisse embrasser
Le plaisir est immense
Je m’enfonce au profond
J’ondule dans le corps malléable

Je vrille, je ne sais plus où je suis
Mes tripes sont brûlantes, et le sexe tendu
Non, non
Je ressens ces caresses
Qui me disent : " pas maintenant "

Les vaguelettes sont encore lentes
Je dois maîtriser, c’est facile aujourd’hui
La " mer " est en moi
Je suis dans la " mer "
Nous sommes qu’un

Le désir est trop fort
La jouissance monte
Les vaguelettes accélèrent maintenant
La houle m’emporte
Je suis presque au bord
Dans cette mousse blanche

Toutes les bulles explosent
Et je frissonne
Le moment est venu
Pour la " mer " et pour moi

Ce soir
J’ai fait l’amour avec la " mer ".
Ai-je été brutal ? Ai-je été préssé ? Ai-je pensé qu’à moi ?
Femmes dites-moi
Sinon je meurs démon.

Esteban

******************************
À Thom l’onaniste !
À Juju qui ne connaîtra pas la suite...
À Anna qui connaît peut-être la suite...
À JMH qui aime les hommes...
À Tzigane...trop malin pour que j’aille plus loin...
À Nose qui sait comprend l’homme...et la femme...
À Roberto qui boit trop de vinasse...
À Cloclo qui pratique la saillie en deux minutes...

À vous tous Chers ami(e)s, nous sommes entre-nous (27578390 visiteurs), je sais que j’en oublie, je m’excuse auprès d’eux, mais "ma mer" m’attend...vous comprenez ? je vais revenir...
Léa je ne t’oublie pas...

Mer, Sexe et amour Yeeaaahhh !

Messages

  • oh ! quel frisson ! esteban....je ne sais plus quoi dire..... anna

  • Enfin ! Le pendant ou presque de l’article d’Osemy "La femme qui fait l’amour est politique"
    (dimanche 4 février 2007).

    Esteban ne nous lance pas de défi de ce genre, on n’est pas sûr d’y arriver, tu fais trop fort !

    Juju émue.

  • Bonjour,

    Oui, bien, belle performance, mais dans le genre sentimentale neuneu (sic).

    A peine une sensation tout juste une illusion …

    Amicalement, Dom.P

  • Wouahhhhhhh ,

    c’est qu’il est beau le bougre , et pendant qu’on s’inquietait de son absence , voilà ce qu’il faisait !
    c’est bien notre pirate de la mer , toujours sabre au clair .
    content de te revoir ami ,
    deux minutes les jours de grande forme !

    claude de Toulouse .

  • Très beau ton petit coup, Esteban. Mais qu’on ne se méprenne pas : je préfère les femmes...

    JMH

  • Y A DEJA LES POISSONS...

    ... qui baisent dedans ! Mes amis quel bouillon çà va faire à la nuit tombée !
    Ils avaient raison de me regarder passer d’un drôle d’air les hérons blancs et gris cendrés au bord des champs sur la route du Der-Chantecoq m’en allant à la leçon d’éducation canine de Lulu ce matin.
    Elles avaient raison aussi les grues cendrées de se garer en me voyant passer, tandis que les bourgeons bourgeonnaient dans la forêt du Der au bout de leurs branches plantées dans un ciel bleu délavé presque blanc.
    C’est pas que je sois zoophile, mais je ne suis pas zoophobe... comprenne qui pourra !
    Il se prépare quelque chose de grandiose pour l’éclosion des étoiles en cette presque fin d’hiver : un hymne à la vie qui explose... alors que j’écoute les Maloyas de Firmin Viry, rythmés au tambourin, que Claude m’a envoyé.
    Bravo Estéban pour ce tonitruant et audacieux retour au Fou, après une absence qui nous laissait tout de même un peu plus inquiets chaque jour...
    Et quelle belle prise de pouvoir au Fou !

    Fraternellement,

    NOSE DE CHAMPAGNE

    • NOSE mon cher frère,

      J’étais plongé dans "La Rose Détachée" de Pablo Néruda, façon de préparer ma nuit...À son "Élégie II" vois sur quoi je suis tombé, lis ce merveilleux éloge :

      "Qu’avons-nous, vous et moi,
      quand Nazim Hikmet est tombé comme une tour,
      comme une tour bleue qui s’écroule ?

      Il me semble parfois
      que le soleil s’en est allé avec lui qui était le jour,
      oui, Nazim était un grand jour doré
      qui rempli son devoir de renaître à chaque aube
      malgré les chaînes et les châtiments :
      Adieu, lumineux compagnon ! "

      Tu m’as mis sur la voie de Nazim, Tzigane à complété, j’ai des difficultés à trouver une partie de son oeuvre, même à la F..c il n’ont rien sur lui. Peux-tu m’indiquer un moyen d’y accéder ? Ou Tzigane peut-être ?

      Ceci dit, TOUS À POIL À MINUIT... q ;D

      Esteban

      Allez les filles un peu moins de pudeur, les "Bartolin" doivent se réveiller ce soir...à minuit...

      JMH sans rancune, tu es trop Zen, je trouverais autre chose. ;D

      Quant à THOM, il fallait lire bien sûr : À Thom "l’onaniste" ! Okay ?? :o

    • Dear Esteban,

      Visiter Amazon (plusieurs ouvrages) et Chapitre.com...

      TZ.

    • Content que ce soit arrivé , c’etait promis depuis si longtemps !
      j’ai compris que tu aimais les animaux sans etre zoophile , ce qui est tout à ton honneur ,
      mais à minuit ce soir au Fou , il n’est pas question d’animaux , de créatures tout au plus !

      claude de T.

    • TROPICO, TROPICANA...

      ...Corps rétamés des écrevisses à la nage... seul un pêt de douce fraîcheur, grâce à l’ombre bleue bienfaitrice des paletuviers et des jacarandas... les filles en maillots string de rigueur (les brésiliens appellent cela un fil dentaire !). Le sable est chaud, chaud aux petons fragiles...
      l’Adonis Esteban fait de la muscu, fait jouer ses muscles pour épater la galerie des filles, un oeil baladeur sur les gambas géantes grillées par le gitan... Nose apporte son petit blanc des familles... Tout baigne. Le bonheur, quoi...
      Ce soir à la fraîche, TOUS A POIL pour le bain de minuit, puis guitarristes Cap-verdiens et leur Morna nostalgique et Meringué !!

      Les folles soirées tropicales n’interdisent point la lecture. J’amène avec moi les excellents auteurs portugais José Lobo Antunes et José Saramago et son petit dernier "La lucidité", plusieurs de Manuel Vasquez Montalban et deux (spécialement pour Nose le dévoreur), "Pur porc" de Jean-Paul Brighelli (pour mieux connaître la Corse...) et, applaudissements... "Saraka Bô" du génial Tobie Nathan.

      BONNES VACANCES !

      Tzigane

    • TROPICO, TROPICANA...

      ...Corps rétamés des écrevisses à la nage... seul un pêt de douce fraîcheur, grâce à l’ombre bleue bienfaitrice des palétuviers et des jacarandas... les filles en maillots string de rigueur (les brésiliens appellent cela un fil dentaire !). Le sable est chaud, chaud aux petons fragiles...
      l’Adonis Esteban fait de la muscu, fait jouer ses muscles pour épater la galerie des filles, un oeil baladeur sur les gambas géantes grillées par le gitan... Nose apporte son petit blanc des familles... Tout baigne. Le bonheur, quoi...
      Ce soir à la fraîche, TOUS A POIL pour le bain de minuit, puis guitarristes Cap-verdiens et leur Morna nostalgique et Meringué !!

      Les folles soirées tropicales n’interdisent point la lecture. J’amène avec moi les excellents auteurs portugais José Lobo Antunes et José Saramago et son petit dernier "La lucidité", plusieurs de Manuel Vasquez Montalban et deux (spécialement pour Nose le dévoreur), "Pur porc" de Jean-Paul Brighelli (pour mieux connaître la Corse...) et, applaudissements... "Saraka Bô" du génial Tobie Nathan.

      BONNES VACANCES !

      Tzigane

    • THOBIE NATHAN...

      ... Je connais bien et j’ai quasiment tout ce qui est paru en "Rivagesnoirs"...
      Je vois Tzigane que tu as de saines lectures !
      Continue !

      Allez, un p’tit coup de blanc de blanc de la coopérative d’Oger pour tout le monde. La nuit va être chaude... Je ferais une interruption avec "PJ" (là c’est pour moi) ce soir, quand même, puis avec "Avocats et associés" (là c’est pour Chantal)...

      À ciao !

      NOSE

    • Bon, alors, si c’est aussi une soirée culturelle, j’apporte la version en espagnol de "Cuba est une ile" que ma fille m’a laissé puisqu’elle est partie un mois en Patagonie. Et c’est dédicacé par Danielle, s’il vous plaît !

      JMH

    • Je l’ai aussi dédicacé par danielle.

      Lis le bien, c’est une vision très contrastée de Cuba, de celle que nous avons chez nous. et pourtant Danielle et ViKtor dénoncent également les carences. Ce n’est pas l’apologie de Cuba mais simplement CUBA en marche.
      Dans ta lancée si tu peux également lire "Les États Unis de mal Empire" avec la contribution de Maxime Vivas, tu auras une vision de l’emprise des USA sur l’Amérique Latine, mais cela tu dois peut-être avoir de visu un aperçu.

      Esteban

    • NOSE...

      Mon"Pur porc" est aussi dédicacé par son auteur, à Tzigane et sa gitanne : "Cette sale histoire pleine de cochons et autres prédateurs à deux pattes"... TZ.

    • J’ai un problème, c’est que je n’ai pas lu la version française donc je ne risque pas de voir la différence...

      JMH

    • Non jean michel, je parlais de la vision sur CUBA. celle du livre et celle de nos médias.

      Les versions, elles, sont les mêmes.

      Esteban

    • Ah, je suis rassuré. C’est donc juste une trad.

      JMH

    • Je ne suis plus sûr mais il me semble qu’Amanda m’a dit que Danielle allait lui envoyer "Les Etats-Unis de mal empire". Pour l’aperçu, au bout de 18 ans passés dans 3 pays d’Amérique Latine et de nombreux voyages dans d’autres, effectivement, j’ai quelquefois le sentiment d’avoir même un peu plus qu’un aperçu...

      JMH

    • Je note la référence "Pur porc"...

      L’ami Tz, j’avoue que tu m’en as bouché un coin au sujet des vacances d’André Stil à Porto Pollo... Je t’en ai pardonné ta référence aux Colonna !

      Ta définition de la langue corse (mâtiné de latin liturgique et d’italien) est remarquable de concision...

      Je voulais t’apporter quelques précisions à ce sujet :

      la langue corse est aujourd’hui considérée comme une langue romane à part entière, ainsi que toutes celles, nationales ou régionales, issues du latin, qui se pratiquent dans le vase ensemble géographique que les linguistes appellent la Romania et qui s’étend de la Roumanie au Portugal en remontant jusqu’à la Wallonie en passant par la Corse.

      Sept siècles de présence romaine (-III av JC - V ap JC), puis des Pisans dans les années Mille.
      au cours desquels on parla le bas latin ou latin populaire, les occupants n’étant pas des lettré,s constituent le creuset de l’actuelle langue corse.

      On pense aujourd’hui que le corse - tout comme les autres langues de la péninsule italienne (toscan compris) et de l’ensemble de la Romania - est une formation linguistique romane issue de la langue mère : le latin populaire.

      Francis G de Quincy

    • Eps ! pas vrai pour tout, le basque n’en fait pas partie, puisqu’on estime que cette langue remonte à l’âge de la pierre.

      Juju

    • Tu as tout à fait raison, Juju,

      La langue basque n’appartient pas à la famille linguistique indo-européenne, mais ferait partie selon certains linguistes du groupe déné-caucasien.

      Un autre élément suggère que les Basques auraient conservé les caractères d’une population européenne primitive : le pourcentage d’individus du groupe sanguin Rhésus négatif est bien plus élevé dans la population basque que dans la plupart des autres populations du monde.

      Cela ferait d’eux (il ne faut pas le prendre mâle...) des descendants en droite ligne de l’homme de Cro-Magnon.

      Francis G de Quincy

    • Ben dis, t’es sûr de ce que tu avances ??? Parce que je suis rhésus +. Par contre, seuls les mâles basques seraient porteurs d’un marqueur spécifique dans le sang, qui les rattachent à l’homme de l’âge de la pierre.

      Cro-magnons ou pas, ils sont beaux nos Basques, et t’as entendu leur organe vocal ??? Puissant, fin, grave, sublime !!! Un peu comme les Corses (j’aime leur polyphonie) !

      Juju

    • Certain !

      J’ai vu une émission très sérieuse à ce sujet ("magazine santé" sur France 5 la semaine dernière).

      Quant à l’organe, je t’approuve entièrement. Les qualificatifs valent pour les Corses comme pour les Basques (plaisanterie à part, j’ai une fille qui fait partie d’un groupe polyphonique et qui a particulièrement apprécié son séjour en Pays Basque et les échanges qu’elle a eus avec des groupes de chant).

      Francis

    • Et l’alsacien, à l’âge de la bière.

      JMH

    • "Cela ferait d’eux (il ne faut pas le prendre mâle...) des descendants en droite ligne de l’homme de Cro-Magnon."

      Ah, le Gros Moignon ? Oui, oui, je comprends... Bon, ben, ça sera peut-être pour une prochaine fois , ma Juju. Je rejoins illico la salle de musculation...

      JMH

    • "J’ai vu une émission très sérieuse à ce sujet"

      Attention Francis, ça au Fou, c’est suspect...

      JMH

    • Ami Francis, lire aussi "Nouvelle histoire de la Corse" de Jacques Grégori - Jérôme Martineau 1967 le "Le crépuscule des corses" de Nicolas Giudici, assassiné en 2001 - Grasset 1997 et "Esprit corse et romantisme" de Eugène Gherardi - Albiana 2004.

      Bonne lecture.
      TZ. le pinzutu

    • pourquoi "les filles , un peu moins de pudeur", vous les hommes, vous êtes tous libérés ??? anna

    • Zut ! j’avais compris la THOM de brebis, ah, le couillon !!! TZ.

    • OUI TOBIE NATHAN est un auteur désopilant ! Normal il est psychiatre et l’excellent auteur portugais José Lobo Antunes, aussi... Il y a beaucoup à dire là-dessus, sur les gens dits "normaux, notamment.

      TZ.

    • Euh Tzigane...
      il s´appelle pas Antonio, Lobo Antunes, ou le José c´est un écrivain de la même famille (d´Antonio) ?
      Pas sympa d´ailleurs le Lobo Antunes Antonio, prétentieux, macho, élitiste, beerk ! Belle référence pour Bellaciao, vraiment !

    • Ami Tz, je m’en vais lire "Les Pardaillan" (Coll. Bouquins, Ed. R. Laffont, 1988) de Michel Zévaco, né à Ajaccio le 1/2/1860, et qui militait chez ceux qu’on appelait alors les « socialistes révolutionnaires » : grand roman de cape et d’épée, feuilleton très feuilletonnant.

      Francis

    • aaah,
      bon je sais, c´est trop tard, ce commentaire va tomber dans l´oubli ou être effacé, mais ces histoires de rhésus, ça me donne des crampes d´estomac ! L´histoire des Basques ayant apporté le rhésus négatif, c´est tout simplement une connerie raciste reprise par certains nationalistes basques dans les années 70 (?!). Mon bon Quincy, (un nom "pinzzuttu" entre parenthèses) le rhésus négatif existe aussi en Corse - j´en sais quelque chose - mais peut-être suis-je d´origine basque après tout. Comme on dit dans mon village "à cochons" Corsica ta askatasuna (ou quelque chose d´approchant ?).

    • Ou comment ce soir j’ai appris que rhésus négatif est une insulte raciste.
      Je la trouve très distinguée cette insulte. Cela ne tombera pas dans l’oubli, elle me plaît et je l’adopte !
      C’est Fou cet arrivage massif de Corse, cochons, Francis ... cette année ! Mais attention que des rhésus positif !
      Super cette insulte ! Et toi Claude tu n’es qu’un rhésus négatif, va !
      Léa.

    • Bon, je profite que c’est Candelo... quoi qui parle sur TF2 ;

      Cher 217.***.248.*** (???) , j’avoue n’avoir pas bien compris le sens de ton message... sauf qu’il me laisse comme une petite impression de... racisme justement !

      Mais sans doute n’as tu pas compris qu’en ce lieu il est à peu près tout permis, sauf le manque de respect des autres !

      Quant au nom "pinzutu", sache que Quincy n’est pas mon patronyme... mais le nom la ville où, les circonstances de la vie ont fait (en attendant de retrouver mon village de Lumiu) que j’ai élu domicile...

      Francis (un Corse en pétard !!!)

    • J’ai un copain curé très sympa qui m’a dit qu’il n’y avait que Rhésus Christ qui était positif.

      JMH

    • Il était certainement ZERO POSITIF !!!

      (c’est authentique, je l’ai entendu de la pert d’une personne découvrant qu’elle était O+)

      Francis

    • Ohoh, mon message te laisse une impression de racisme ! Désolée ! Peut-être que mon cynisme ne passe pas, j´ai l´habitude.
      Moi ce qui m´a chiffonnée, c´est l´affaire de rhésus que tu as mis sur le tapis ; ça m´a rappelé de vilaines histoires sur le pays basque (il se trouve que j´ai un peu étudié la question, ce qui m´a valu bien des soucis, mais c´est une autre histoire) et des commentaires dont j´ai été la cible - en Corse- sur notre"sang" , "notre race".
      Enfin, mon commentaire était au deuxième degré et si ça peut te rassurer, sache que je suis "pinzutta, ma fiera, cuzzanaccia, ma fiera, colonese, ma fiera, iranese, ma fiera...." alora ?

    • Oh bella, tu vois, il faut se parler !

      "Notre sang, notre race", non, très peu pour moi...

      Je suis Corse (depuis aussi loin que je puisse remonter)... et j’en suis fier , mais j’en aurais presque honte quand j’entends ceux d’entre nous (Talamoni & Co) à qui on donne la parole dans les media .

      Je suis pour le métissage et je mets mes principes en pratique : et j’ai un enfant avec une femme descendante des esclaves venus d’Afrique peupler la Caraïbe et je suis fier de retourner dans mon village avec ma compagne et notre enfant...

      J’arrête, il est temps d’aller dormir.

      A bientôt,

      Bona note,

      Francis

    • ... SORRY, MY DEAR 217 ** 248...

      Exact, c’est bien sûr Antonio !!! Mon lapsus est dû a une fixation personnelle sur Saramago, le prix Nobel de littérature en 1998... Sur le jugement porté sur l’auteur, il n’engage que toi, mon cher.

      Cordialement, TZ.

  • Moi, je trouve le gars sur la photo, très beau. M’inspire le diable... THOM c’est toi ?

    Juju

  • Mon amour !

    J’ai envie de toi ...

    Léa.

  • Puisque c’est une soirée culturelle, je viens d’apprendre à l’instant l’origine d’une expression...

    JMH

    Par un beau jour d’automne 1820, le duc de Mirnouf, passionné par la chasse mais frustré par le maigre gibier qu’il ramenait de ses pérégrinations forestières, imagina qu’il devait être possible de fabriquer un outil apte à lui faciliter la tâche et rendre plus plaisante sa traque des animaux.

    Il convoqua tous les artisans de la contrée pour mettre au concours la concrétisation de cette idée et leur laissa deux mois pour fabriquer le plus inventif et le plus efficace des appareils.

    A peine une semaine plus tard, un marchand du nom de Martin Hécouye, se présenta au château clamant à qui voulait l’entendre qu’il possédait ce dont le duc rêvait.

    Il obtint sans peine une audience auprès du noble et s’empressa de lui faire la démonstration de sa merveille.

    Devant une assemblée dubitative mais curieuse, il sortit de sa poche un minuscule sifflet et le porta à la bouche pour produire un son strident qui aussitôt imposa le silence parmi les personnes présentes.

    A peine quelques secondes plus tard, des dizaines d’oiseaux de toute sorte s’approchèrent et virevoltèrent autour de lui, comme attirés et charmés par cette étrange mélodie.

    Le duc imagina sans peine le profit qu’il pourrait tirer d’un tel accessoire lors des ses futures chasses. Il s’éclaircit la gorge et ne prononça qu’une seule phrase

    « - Combien cela va-t-il me coûter ? »

    Martin Hécouye, sûr de lui, répondit qu’il accepterait de se séparer de son objet en échange de la moitié de la fortune de son interlocuteur.

    Cette requête fit sourire l’assemblée mais le duc garda tout son sérieux et accepta la transaction. La nouvelle fit grand bruit et se répandit vite bien au delà des limites du duché :
    « Un marchand avait vendu un sifflet pour une somme astronomique au Duc qui en paya le coût sans broncher. »

    On ne sait plus aujourd’hui ce que le marchand est devenu par la suite et l’objet n’a hélas pas survécu aux années mais cette anecdote a subsisté dans la langue française pour qualifier les objets hors de prix, au travers de l’expression ...

    « coûter l’appeau d’Hécouye ».

  • J’aimerais bien faire une ribaude virée arrosée au Fou mais j’peux point. Because ma peau ! Elle ne peut pas survivre sans SUN. Mais qu’avez-vous donc fait du SUN ? C’est le complément déontique au FUN intempérant !!!

    Phara HAUNNES

  • Heu... Les militants purs et durs au lieu de déconner au fou de bassan vous devriez peut-être vous remuer un peu plus vu que votre candidate préférée est côtée à égalité avec... De Villiers !!!!!!

    Dusic

  • ô courbe des paroles nues,

    ô dessin des mots de porphyre

    sur l’onde molle des étés,

    l’hiver des glaces éclatées

    ...

    Ce routier qui marche vers Moissac

    Ce savetier qui va vers Compostelle

    Ce forgeron au dur frappe-devant

    Cette pastoure ouvrant son âme aux vents

    Et ces faydits aux châteaux de vapeur

    Sont frères

    ...

    Ne cherchez pas trop loin,

    mes mots sont clairs, je pense

    Les mots fuyaient de moi comme la pluie qui pleut (...) prédicats incertains, adjectifs papillons,

    long peuple errant de substantifs aux vieux visages,

    indéfinis des soirs, possessifs des toujours,

    conjonctions brisées, parenthèses d’amour

    Pierre Gamarra : « Romances de Garonne »

    Après une semaine à ferrailler loin de mes terres, je vois qu’on porte haut notre (éten)dard !

    Francis G de Quincy

  • A ma muse Briarde

    Soyez pas jalouses les Filles ?

    Mais il est des temps ou la sagesse nous gagne et ou l éparpillement n’est plus de mise …..

    Suffit-il donc que tu paraisses

    Del air que te fait rattachant

    Tes cheveux ce geste touchant

    Que je renaisse et reconnaisse

    Un monde habité par le chant

    Elsa mon amour ma jeunesse

    O forte et douce comme un vin

    Pareille au soleil des fenêtres

    Tu me rends la caresse d être

    Tu me rends la soif et la faim

    De vivre encore et connaître

    Notre histoire jusqu’ à la fin

    C est miracle que d être ensemble

    Que la lumière sur ta joue

    Qu’autour de toi le vent se joue

    Toujours si je te vois je tremble

    Comme a son premier rendez-vous

    Un jeune homme qui me ressemble

    Pour la première fois ta bouche

    Pour la première fois ta voix

    D une aile a la cime des bois

    L arbre frémit jusqu’ a la souche

    C est toujours la première fois
    Quand ta robe en passant me touche

    Ma vie en vérité commence

    Le jour ou je t ai rencontrée

    Toi dont- les bras ont su barrer

    Sa route atroce a me démence

    Et qui m as montré la contrée

    Que le bonté seule ensemence

    Tu vins au cœur du désarroi

    Pour chasser les mauvaises fièvres

    Et j ai flambé comme un genièvre

    A la noël entre tes doigts

    Je suis né vraiment de ta lèvre

    Ma vie est à partir de toi

    « Elsa » Aragon

    Bon je sors de Réunion j ai soif à boire Aubergiste !!!!!

    CF Vitry 94

  • ET ALORS ?

    JE VOUS AI TOUS ET TOUTES ATTENDU TOUT NU À MINUIT, VOUS M’AVEZ LAISSÉ POIREAUTER ET VERS DEUX HEURES NE VOYANT PERSONNE VENIR, J’AI DU PRATIQUER LA TECHNIQUE DE THOM !

    LÀ, VOUS AVEZ DÉCONNÉ...LES FILLES !!!

    Enfin je viens prendre un petit café au lait au bistrot, je suis gelé. Tiens je m’assoie sur le canapé de Rose, et rien que pour çà vous ne me reverrez plus tout nu !

    Esteban con gelé

  • A propos de con. Le blason de Tonton Georges.

    Ce n’est pas un bel hommage, mesdames ?

    JMH

    Ayant avecques lui toujours fait bon ménage

    J’eusse aimé célébrer sans être inconvenant

    Tendre corps féminin ton plus bel apanage

    Que tous ceux qui l’ont vu disent hallucinant.

    Ceût été mon ultime chant mon chant du cygne

    Mon dernier billet doux mon message d’adieu

    Or malheureusement les mots qui le désignent

    Le disputent à l’exécrable à l’odieux.

    C’est la grande pitié de la langue française

    C’est son talon d’Achille et c’est son déshonneur

    De n’offrir que des mots entachés de bassesse

    A cette incomparable instrument de bonheur.

    Alors que tant de fleurs ont des noms poétiques

    Tendre corps féminin’ c’est fort malencontreux

    Que la fleur la plus douce la plus érotique

    Et la plus enivrante en ait de plus scabreux.

    Mais le pire de tous est un petit vocable

    De trois lettres pas plus familier coutumier

    Il est inexplicable il est irrévocable

    Honte à celui-là qui l’employa le premier

    Honte à celui-là qui par dépit par gageure

    Dota de même terme en son fiel venimeux

    Ce grand ami de l’homme et la cinglante injure

    Celui-là c’est probable en était un fameux.

    Misogyne à coup sûr asexué sans doute

    Au charmes de Vénus absolument rétif

    Etait ce bougre qui toute honte bue toute

    Fit ce rapprochement d’ailleurs intempestif.

    La malpeste soit de cette homonymie

    C’est injuste madame et c’est désobligeant

    Que ce morceau de roi de votre anatomie

    Porte le même nom qu’une foule de gens.

    Fasse le ciel qu’un jour, dans un trait de génie

    Un poète inspiré que Pégase soutient

    Donne en effaçant d’un coup des siècles d’avanie

    A cette vraie merveille un joli nom chrétien

    En attendant madame il semblerait dommage

    Et vos adorateurs en seraient tous peinés

    D’aller perdre de vue que pour lui rendre hommage

    Il est d’autre moyen et que je les connais

    Et que je les connais.

    • ne parle-t-on parfois de "bouton de rose" ? c’est joli, non ? anna

    • Oui c’est joli ! Essaie de garder cette ligne-là, Anna, laisse tomber l’autre, croit-moi !
      Léa.

    • DIFFERENCE DU VIT A LA MONICHE

      Un vit n’est pas bon pour dix Moniches,
      Une Moniche résiste à dix Vits ;
      Pour engloutir les Vits sont faites les Moniches,
      Mais pour baiser toujours ne bandent pas les Vits ;

      Sans les Vits ne peuvent subsister les Moniches,
      Sans les Moniches ne peuvent subsister les Vits ;
      Elles sont donc nécessaires, ces grandes Moniches,
      Et tout aussi nécessaires sont les gros Vits ;

      Pour qu’on les enfile sont faites les Moniches,
      Et rien que pour enfiler sont faits les Vits ;
      Un grand malheur arriverait sans les Moniches,

      Et un plus grand encore, si n’existaient les Vits,
      Car se porteraient mal toutes les Moniches ;
      Donc, mariez toujours les Moniches aux Vits.

      Zorzi Baffo, poète vénitien in "Oeuvres érotiques" 1694-1768

      via Tzigane

    • Je comprends mieux d’où Claude Piéplu tire son inspiration... avec ses shadocks...!!!

      Juju qui en apprend tous les jours !

    • Et ma Juju,

      Sais tu d’où Claude Piéplu tire son Gégéne dans les Shadocks ?

      JMH

    • Pour la culture de Juju :

      Parce que dans les caraïbes, il y a un petit insecte appelé "jejen" en espagnol qui attaque au coucher du soleil, entre 18 et 19 h à peu près, qui est minuscule, qu’on prend souvent pour un moustique mais qui n’en est pas un car il mord et ne pique pas, qui te bouffe le sang et te laisse avec des boutons qui te démangent pendant 3 ou 4 jours. J’ai découvert ça au Venezuela en 87. C’est terrible !

      Et voilà d’où il vient Gègène...

      Bises ma Juju

      JMH

    • En fait JMH, les moustiques nous « mordent » (avec leurs mandibules), et c’est de manière impropre qu’on dit qu’ils nous piquent.

      Ce qui est certain, c’est que les moustiques nous sucent… (quitte à être sucés, il y a plus agréable). Sus aux moustiques !

      Sous nos latitudes, il existe un insecte voisin du moustique, le chironome, qui lui est inoffensif (un rapport avec ton jejen ???).

      Dans les zones habitées par cet insecte, les poissons (truite notamment) en sont très friands : d’où une technique de pêche à la mouche (cf. commentaires plus haut…) dite « technique du chironome »…

      Comme quoi, tout se tient…

      Francis G de Quincy

    • Francis, tu prends des risques. Si ESTEBAN lit tes lignes, il va rappliquer en vitesse, tant certains mots font l’effet de stimulis sensoriels, sur ses petits neurones très développés.

      Juju qui rit.

    • Ah, j’apprends des trucs. Finalement, comme je suis passablement zobsédé par la pêche à l’Aline ce soir, il me semble que l’usage du chironome serait peut-être une bonne solution pour doubler Esteban qui, il faut bien le reconnaître, a pris une sérieuse option pour la victoire finale. Néanmoins, il faut dénoncer une tricherie puisqu’Esteban n’envoie pas sa vraie photo et peut-être que si j’avais fait de même pour les 3 que j’ai fournies, aujourd’hui Alina me dirais "Beau Jean-Michel". Mais bon, on peut rêver...

      JMH

  • Et au fait !!! Qu’est-ce qu’on boit ce soir ?
    Léa.

  • Je vous signale quand même le passage de Marie-George Buffet chez Ruquier : c’est maintenant sur TF1.

    Pas certain que ce soit l’émission idéale pour parler de politique... mais bon, j’allume la télé !

    Francis

    • Dommage ! On aurait pu rester tous les deux, mes deux fiancés sont déjà devant la télé. Anna va y aller aussi ... Alors qu’est-ce que je vais faire ... ?

      Mais oui !!! Je vais aller prendre un bain de minuit ! Oh c’est cool de n’avoir que des copains communistes scotchés devant l’écran à kiffer MGB ! Pas un ne pourra me voir toute nue dans la mer.
      A moi l’éblouissement !
      A moi l’explosion !
      Hasta la vista !
      Léa.

    • En plus je viens de mettre ces infos (MGB dans les media) sur mon blog "gauchepopulaire" !!!

      J’essaie de ne pas trop me mélanger les pinceaux entre le blog chez MGB et le Fou (c’est pas tout à fait le même genre...).

      A ce propos, Nose, je t’ai mis un commentaire sur ton article relatif à la fiscalité.

      Bon, j’arrête d’être sérieux.

      Chez Ruquier, c’est nul : on ne voit plus MGB !!!

      J’en profite pour me servir un punch à la mirabelle. A la vôtre, amis du Fou !

      Léa, tout communiste que je suis, je suis prêt à faire des infidélités à Marie-George pour participer avec toi au bain de minuit.

      Au ruisseau de mon rêve, où murmure un frisson

      D’amour, de poésie, de tendresse secrète,

      Glissent comme un voilier ces choses qui ne sont

      Qu’un espoir

      Sous les draps de la vie je m’endors ou vacille,

      Ton corps brûlant, fiévreux, noué entre mes mains…

      Au ruisseau de mon rêve ainsi se déshabillent

      L’amour, la poésie, la tendresse… A demain !

      http://www.webzine-entre-nous.com/i...

      Francis

    • Emission terminée, MGB super !!! Elle est parvenue à faire de la politique, y compris face aux rigolos du plateau (par contre, Pollac est tombé bien bas !... - mais n’est-ce pas le sort dévolu à tous nos trostsko-mao-etc... à moins qu’ils n’atterrissent dans les instances dirigeantes du PS...)

      Bises de mes lèvres avides à nos amies,

      Au lit !

      Francis

    • Francis,

      Aurais-tu l’obligeance de raconter à un pauvre francochilien exilé soumis aux choix de TV5 Monde et qui, avec un peu de chance, verra l’emission dans quelques jours et plus probablement jamais.

      Snif, snif...

      JMH

    • OUAIS...

      c’était sur Rance 2, et MGB s’en est admirablement bien tirée, aux dires de Chantal... moi j’étais tombé dans les bras de Morphée et j’ai manqué l’heure de mes médicaments...
      Chantal qui n’est pas une groupie a été conquise par Marie-Georges, sa gentillesse et son humour discret, comme sa patience et sa pédagogie.

      NOSE

    • LES INQUISITEURS ZEMMOUR ET POLACK EN SERVICE COMMANDE...

      Minable et ordurière tentative (au niveau des latrines de la Sainte Inquisition) de lynchage en direct hier soir sur Rance2, et un Ruquier arbitre quelque peu gêné comptant les points...

      Résultat des courses : Marie-George Buffet, une grande dame combative courageuse et digne face aux abbés Cochon, obtient sans hésitation aucune les 4 voix supplémentaires de mon auguste famille.

      Tzigane, outré

    • HOU... HOU...

      Ben alors les filles... roulées dans la farine et pas de réaction à la dernière du Baron corse Francis : "Bises de mes lèvres avides à nos amies" et à l’ordre péremptoire, "Au lit" ??

      TZ., soucieux

  • Salut la joyeuse compagnie,

    A propos de "Con", belle tirade, très cher JMH, et ANNA, le "bouton de rose" poétique et sensuel, je propose pour ESTEBAN, dans une version dynamique : "el chocho alegre". (prononcer : el tchotcho alégré) Je vous laisse traduire...

    Bises matinales,
    Juju

    • NOSE, NOSE...

      J’ai des bretonnes faciles à ouvrir... avec un petit blanc de chez toi, rien que nous deux, hein ??

      fraternellement,

      TZ.

    • AH BON...

      ... c’est pas de refus maintenant que j’ai récupéré et bien dormi !
      Ouvrons, ouvrons et avec un petit Riesling d’Alsace ou même de la Forêt Noire allemande, çà vaut son détour.
      À la tienne Tzigane !

      NB : J’ai des problèmes avec mon blog du "Merle Moqueur". il me refuse tout nouvelle article car il serait plein aux lignes 615 et 1400 et quelques ! Est-ce possible après seulement une trentaine d’articles ? Heureusement que j’en suis qu’au 8° article sur "Perthois Populaire et Antilibéral" !!!

      NOSE

    • Que tu es dure juju chérie, :(

      Je te pardonne ma nine comme à chaque fois. Car c’est toujours le soi-disant "puissant" qui fait toujours le premier pas pour pardonner...Vous savez, celui que toutes appelez :"l’homme", "la brute", "le non-sentimental", "le pense-qu’à-lui".

      Vous savez bien mes chéries que je vous aime toutes, même juju qui garde toujours sa carapace, anna qui a explosé avec son ode merveilleuse...et Léa aahhh Léa...

      Les garçons qui tous déploient leur charme pour vous séduire certes, chacun à sa façon, mais vous croyez souvent que ce n’est QUE la brute avide seulement de "bouton rose" qui vous titille.

      Avez-vous vu le molosse furieux comme il devient docile ?
      La finesse de notre gitano ?
      Les envolées lyriques de notre président ?
      Le charmeur partisan parigot ?
      Notre "fantasque" de la vallée du paradis ?
      Et les apparitions furtives du gardien du temple ?
      Ainsi que notre Barman qui vole souvent à votre secours ?
      Et que dites-vous des coquins qui vous disent coucou et puis s’en vont ?

      Je dois vous quitter mes très chers ami(e)s, la suite sera dure, nous entrons en Campagne, l’épreuve sera dure...Elle aurait pu être plus facile...mais c’est ainsi...On peut toujours espérer.

      Dernière tournée pour tout le monde de ma part...je suis triste, je sors...à bientôt, que le temps sera long...

      Je vous laisse conclure, que le dernier ou la dernière ferme les portes et fenêtres, éteigne les lumières.

      I Love you dears friends !

      Hasta la vista !

      Esteban q:D

    • TZIGANE, TES PROPOS SONT-ILS SCIEMMENT À DOUBLE SENS ?

      Tu me ravives par là le souvenir cuisant d’un échec amoureux avec une demoiselle habitant dans les environs du port de Vannes...
      Non, toutes les Bretonnes ne sont pas faciles !

      NOSE DE CHAMPAGNE

    • Elle est belle "Alina", sur un autre fil, hein ???

      Juju

    • Eh, les filles et les gars... en à peine 2 jours 327 interventions c’est pas trop mal comme part de marché, non ??

      Ca va faire des jaloux, sûr !!

      Tzigane, l’amis des FOUS

    • NOSE, PAS DU TOUT, QUELLE IDEE SAUGRENUE...

      Mouais, je sais que parfois c’est difficile a percevoir pour certains incultes, après un bon petit blanc, mais c’est véridique, les huitres bretonnes sont faciles à ouvrir, là !!!

      TZ.

    • CELA DIT...

      ... comme çà fait 35 ans, je m’en suis remis !
      Maintenant j’ai plus de difficulté avec les huîtres.

      NOSE

    • C’EST VRAI ...

      ... qu’on irait bien à la pêche à l’Aline !

      NOSE

    • Maintenant pour l’Adonis "en campagne" c’est Alina par ci, belle Alina par là... Alors on la boucle les filles ??

      Tzigane qui s’interroge

    • ELLE EST CON-TENUE DANS LE LIVRE DE PIERRE PERRET...

      ...Je parle d’Aline REYES...
      Mais je veux "déborder" maintenant sur Louise LABÉ, poétesse du XVI°siècle, qui n’a vécu que 39 ans, mais savait de quoi elle rêvait et de quoi elle parlait !

      "SONNETS

      O beaus yeux bruns, ô regars desrournez,

      O chaus soupirs, ô larmes espandues,

      O noires nuits vainement attendues,

      O jours luisans vainement retournez :

      O tristes pleins, ô désirs obstinez,

      O tems perdu, ô peines déspendues,

      O mile morts en mile rets tendus,

      O pires maus contre moy destinez.

      O ris, ô front, cheveus, bras, mains et doigts :

      O lut pleintif, viole, archet et voix :

      Tant de flambeaux pour ardre une femelle !

      De toy me plein, que tant de feus portant,

      En tant d’endrois d’iceus mon coeur tatant,

      N’en est sur toy volé quelque étincelle.

      Baise m’encor, rebaise my et baise :

      Donne m’en un de tes plus savoureus,

      Donne m’en un de tes plus amoureus :

      Je t’en rendrais quatre plus chaus que braise..."

      Et je m’en arrête là car Estéban pourrait revenir et m’agresser d’ardeur intempestive en prenant tout çà pour lui !
      Mais consultez s’il vous plaît cet ouvrage indispensable, passez-le et repassez-le à quelques jours de la Saint Valentin... Je crois qu’il vous aidera à faire des heureu/ses/x...

      Et tout cela se terminera en mousses fines et aériennes que nous appellerons Champagne !

      NOSE DE CHAMPAGNE

    • ELLE EST CON-TENUE DANS LE LIVRE DE PIERRE PERRET...

      ...Je parle d’Aline REYES...
      Mais je veux "déborder" maintenant sur Louise LABÉ, poétesse du XVI°siècle, qui n’a vécu que 39 ans, mais savait de quoi elle rêvait et de quoi elle parlait !

      "SONNETS

      O beaus yeux bruns, ô regars desrournez,

      O chaus soupirs, ô larmes espandues,

      O noires nuits vainement attendues,

      O jours luisans vainement retournez :

      O tristes pleins, ô désirs obstinez,

      O tems perdu, ô peines déspendues,

      O mile morts en mile rets tendus,

      O pires maus contre moy destinez.

      O ris, ô front, cheveus, bras, mains et doigts :

      O lut pleintif, viole, archet et voix :

      Tant de flambeaux pour ardre une femelle !

      De toy me plein, que tant de feus portant,

      En tant d’endrois d’iceus mon coeur tatant,

      N’en est sur toy volé quelque étincelle.

      Baise m’encor, rebaise moy et baise :

      Donne m’en un de tes plus savoureus,

      Donne m’en un de tes plus amoureus :

      Je t’en rendrais quatre plus chaus que braise..."

      Et je m’en arrête là car Estéban pourrait revenir et m’agresser d’ardeur intempestive en prenant tout çà pour lui !
      Mais consultez s’il vous plaît cet ouvrage indispensable, passez-le et repassez-le à quelques jours de la Saint Valentin... Je crois qu’il vous aidera à faire des heureu/ses/x...

      Et tout cela se terminera en mousses fines et aériennes que nous appellerons Champagne !

      NOSE DE CHAMPAGNE

    • "qu’on irait bien à la pêche à l’Aline !"

      Le problème, c’est comment la faire mordre à l’hameçon ?

      JMH

    • Nose,

      Louis Labbé n’a jamais existé. Un livre d’une universitaire est sorti l’année dernière à ce sujet.
      LOUISE LABÉ. Une créature de papier de Mireille Huchon. Droz, 488 p., 22 €.
      Je dois avoir l’article de Martc Fumaroli qui en rend compte, si ça t’intéresse.

      Marsacub

    • ON A DEJA FAIT...

      c’coup là à Shakespeare... Or il a existé ... et puis je l’ai rencontré !
      En plus Louise Labé, c’est elle qui m’a donné mon premier baiser, alors ?

      NOSE

    • C’EST VRAI JMH...

      ...qu’il faut être monté très costaud ! Combien à ton avis ?
      Et puis il faut un bon moulinet, avec freins et tout le toutim...

      NOSE

    • je confirme, surtout celles de cancale...je vous en envoie ? anna

    • à la mouche ? ou au vers ? et il faut peut-être appâter ??? pour une telle prise § anna

    •  :-)))))

      Alors ? Les rêves sont à tous ! Et les baisers sont doux !

      Extrait de l’article en question :

      Savante, mais ne s’en laissant pas conter, sorbonnarde, mais non philistine, Mireille Huchon, dans son livre Louise Labé, une créature de papier, lève le voile sur certains détours de l’art négligés par "décodeurs" et biographes. Spécialiste de Rabelais et du "beau XVIe siècle" français, Mireille Huchon rejoint les conclusions auxquelles sont parvenus les meilleurs connaisseurs actuels, un Paul Veyne, un Philip Hardie, de ces élégiaques grecs et latins que les doctes (mais facétieux) poètes de la Renaissance savaient par coeur et imitaient en connaissance de cause : leurs "cris" mélodieux de colère, de jalousie, ou de déception relèvent d’un art, d’un genre, et de leurs conventions. Les Corinne ou les Lesbie auxquelles ils les adressent sont des scriptae puellae, des "demoiselles écrites", dont l’existence, réelle ou non, importe peu au beau jeu du poème.

      Pourquoi cette insincérité, ces impostures, ces trompe-l’oeil, ces jeux de masque séducteurs ? Il faut s’y faire : pour la joie virtuose de jouer librement de l’ironique puissance d’illusion dont dispose sur ses lecteurs et lectrices le langage poétique, joie d’un tout autre ordre (surtout lorsqu’elle prend pour sujet et pour emblème les blessures d’Eros), que les plaisirs "vécus", sinon partagés, de l’alcôve. Pour l’Ovide des Amours qui a fait croire, au centre de sa fiction amoureuse, à une imaginaire "Corinne", le comble de l’humour est atteint lorsqu’il se surprend, jaloux de son propre succès, à redouter que ses lecteurs ne deviennent réellement amoureux de cette beauté de parchemin !

      Sur cet arrière-fond d’élégie grecque et romaine, Mireille Huchon démontre que Louise Labé, la "Sappho françoise", est un "emploi féminin", inventé de toutes pièces par un groupe de poètes réuni autour de Maurice Scève, le Mallarmé lyonnais du XVIe siècle, capable tout comme le Racine de Phèdre ou le Mallarmé d’Hérodiade de travestir sa voix pour la prêter à une grande cantatrice fictive. La démonstration de Mireille Huchon est irréfutable et réjouissante, même si elle doit faire rentrer sous terre les exégètes et les biographes qui, depuis le XIXe siècle, ont pris au pied de la lettre un double jeu poétique "de haulte gresse" dont le sel attique leur a échappé.

      "LOUER LOUISE"

      S’il y a querelle entre l’auteur et les derniers croyants de "Louise Labé", elle s’achèvera comme celle qui opposa, dans les années 1960, Frédéric Deloffre à Yves Florenne, celui-ci soutenant, après beaucoup d’autres, dont Stendhal, que les bouleversantes Lettres de la religieuse portugaise (1669) étaient l’oeuvre d’une soeur Mariana Alcoforado, s’adressant à un officier français qui l’aurait séduite et abandonnée, alors que Deloffre prouvait que, Mariana ou non, ces Lettres étaient l’exercice littéraire, imité des Héroïdes d’Ovide, d’un gentilhomme français fort lettré, Guilleragues. De sa vie celui-ci n’avait mis les pieds au Portugal, mais il était des amis intimes de Molière, lequel est l’auteur, comme chacun sait, d’autres plaintes amoureuses sublimes, telles celles d’Elvire dans Dom Juan (1663).

      Les poètes qui, avec Scève et son brillant éditeur Jean de Tournes, ont composé les Œuvres de Louise Labé, Lyonnoise (1545), qui ont concouru à célébrer cette Sappho imaginaire dans une "guirlande" qui occupe la moitié du recueil, qui ont fait exécuter la même année, par un excellent graveur, un portrait de la fictive poétesse (non joint à ce livre), n’avaient nullement en tête de gagner une bataille dans la "guerre des sexes". Au contraire, ces lecteurs de Platon, de Ficin, de Léon Hébreu, ces disciples de la Diotime du Banquet, en prenant les devants, en inventant une "Sappho françoise" et son oeuvre lyrique, entendaient créer un exemple qui encouragerait leurs partenaires féminines à entrer hardiment, comme déjà la soeur de François Ier, Marguerite de Navarre, et comme plusieurs Italiennes, dans la lice poétique et littéraire.

      Dès 1542, Clément Marot incitait en vers ses confrères lyonnais à "louer Louise", jeu de syllabes comme les poètes d’alors les adoraient, et qui équivaut au "laudare Laura" de Pétrarque. Cela revenait à leur proposer, pour exercice de leur talent, de créer une autre Laure, rivalisant avec la fascinante "demoiselle de papier" du Canzoniere italien. La Laure poétique de Pétrarque n’avait jamais eu qu’un rapport tout nominal avec Laure de Noves, puis de Sade, pas plus que la "Délie" de Scève (1544) avec une inspiratrice improbable. Exista-t-il à Lyon une Louise Labé qui n’a pas laissé d’autres traces littéraires que le petit recueil de 1545 et les jeux de mots (Labe-rinte, La-soif de bai-sers) auxquels ce nom se prêtait ? Faut-il l’identifier à la courtisane lyonnaise que l’on appelait "la belle Cordière" ? Sauf un nom et un surnom, elles sont restées toutes deux de parfaites inconnues. L’une ou l’autre ne furent jamais, au mieux, que des prétextes. Scève et ses amis, Olivier de Magny (auquel on a, au XIXe siècle, prêté, comme à Marot, une ardente liaison avec l’imaginaire Sylphide lyonnaise), Jacques Peletier du Mans, Guillaume des Autels, entre autres, ont donné un tour d’écrou supplémentaire à l’antique puella scripta du désir élégiaque. Non contents de "louer Louise", ils se sont employés à lui prêter le talent dont ils la louaient, réunissant sous son nom une exceptionnelle offrande lyrique.

      A la même époque, à Lyon, un descendant de Laure de Sade publiait un recueil de poèmes en réponse au Canzoniere : il les attribuait à ladite Laure. L’éditeur et ami de Scève, Jean de Tournes, attribuait au poète la découverte en 1533 du tombeau de Laure, d’où il aurait tiré un sonnet manuscrit et inédit de Pétrarque. Autant de supercheries qui trompaient sans tromper personne, dans ce milieu de littérature raffinée. Les grands rhétoriqueurs lyonnais de l’amour n’ignoraient rien ni des paradoxes cruels et facétieux dont Eros, "le petit dieu félon" (Montaigne dixit), est fertile, ni surtout des délices et déceptions dont le langage est capable lorsqu’il est chauffé à blanc.

      Exit Louise Labé. Mais la mince brochure (un superbe dialogue en prose de Folie et Amour, trois élégies, vingt-trois sonnets déchirants) qui a suffi, avec les éloges d’un choeur de poètes, à faire exister une personnalité poétique hors pair, ne perd rien au change. Au contraire, ce que ce recueil abandonne dans l’ordre romantique de la "sincérité", il le gagne dans l’ordre du sentiment de l’art, de sa puissance à prêter la parole à l’éternelle violence androgyne du désir, mais aussi de l’ironie supérieure avec laquelle il se joue et se moque de sa propre puissance d’illusion et de déception. Merci, Madame.

      LOUISE LABÉ. Une créature de papier de Mireille Huchon. Droz, 488 p., 22 €.
      Marc Fumaroli
      Article paru dans l’édition du 12.05.06


      M.

    • Nose, je crois avoir la taille de la ligne suffisante lestée de deux plombs de dimensions raisonnables et un bon moulinet à paroles mais j’ai peur de manquer de frein car depuis que j’ai vu sa photo je le ronge...

      JMH

    • Mais Anna, tout ce que je dis est parfaitement vérifiable. Je n’ai aucun secret.

      JMH

    • Pour avoir une belle prise, c’est la pêche à l’aline qui se fait toujours avec des vers, parce que la mouche ce n’est plus tendance. Les monarques ne l’utilisent plus, alors...

      Juju

    • Ah, ouais, t’as aucun secret, mon oeil !

      Juju

    • Je n’ai pas encore fait mon choix là-dessus pour la pêche à l’Aline, car auparavant, j’aimerais savoir si quelquefois, elle prend la mouche. Cela pourrait alors me donner une ouverture pour me retrouver nu comme un ver...

      JMH

    • Mais non Anna, la pèche au gros se fait à la petite cuillère, le bel hidalgo en sait quelque chose !! De là l’expression populaire "ramasser à la petite cuillère"...
      TZ, sans rancune aucune

    • Nose, on a un sérieux problème pour la pêche à l’Aline ! Va voir les commentaires après l’article d’Alina : il y a Esteban qui a eu une touche !

      JMH

    • Ah, oui, vu comme ça, ça pose un problème : comment prendre la mouche si le ver est nu. Là, franchement, je te conseille de voir avec ESTEBAN, il est passé maître en la matière. Il trouvera forcément une solution à ce problème, apparemment insoluble...

      Juju désarmée.

    • Avec les perliaires, Nose, ça roule tout seul, les cancalaises surtout... Bises de TZ, le baron d’Armorique.

    • mouche tsé-tsé ? alors là t’es foutu JM

    • pour nous la boucler il en faut d’autres !!! n’est-ce pas juju ? anna

    • AH ? MOI...

      ... j’irais carrément au vif !

      NOSE

    • Ah, tout à fait Anna ! S’il le faut, on sera des Marianne portant drapeaux au vent, marchant fièrement à moitié dépoitraillées, écrasant de nos sabots, sur le passage, les privilèges machistes !!!

      Attention les gars... la femme c’est comme un chat, ça ne dort que d’un oeil...

      Juju

    • oh ! oui juju, allons -y
      allons z’enfants de la patrie

      la gloire des femmes est arrivée.....anna

    • Ohhhhhh, ma petite Anna, c’est vrai t’es sur site alors j’attends les plates de Cancale, c’est délicieux ! Tu as les mêmes à Vigo (Gallicie), les celtes sont passés par là, déposé leurs cornemuses et des tas de cadeaux... Les cancalaises (huîtres) sont de loin plus goûteuses que les portugaises, connues pour être ensablées...

      Mon manège à moi, c’est toi... TZ.

      NB : Par colissimo STP, merci !

    • Les portugaises sont peut-être ensablées, mais ce we elles se sont rebiffées. Y en a marre des p’tits cadeaux imposés, empoisonnés !

      Juju

  • C’est un vallon sauvage abrité de l’Euxin ;

    Au dessus de la source un noir laurier se penche.

    Et la nymphe,riant,suspendue à la branche,

    Frôle d’un pied craintif l’eau froide du bassin.

    Ses compagnes, d’un bond, à l’appel du buccin,

    Dans l’onde jaillissante ou s’ébat leur chair blanche

    Plongent,et de l’écume émergent une hanche,

    De clairs cheveux,un torse ou la rose d’un sein.

    Une gaïté divine emplit le grand bois sombre.

    Mais deux yeux,brusquement, ont illuminé l’ombre.

    Le Satyre !...Son rire épouvante leurs jeux ;

    Elles s’élancent.Tel lorsqu’un corbeau sinistre

    Croasse,sur le fleuve éperdument neigeux

    S’éffarouche le vol des cygnes du Caÿstre.

    José Maria DE HEREDIA

    Juste pour faire un chiffre rond.

    Roger bretagne

  • Pour ce rien cet impondérable

    Qui fait qu’on croit à l’incroyable

    Au premier regard échangé

    Pour cet instant de trouble étrange

    Où l’on entend rire les anges

    Avant même de se toucher

    Pour cette robe que l’on frôle

    Ce châle quittant vos épaules

    En haut des marches d’escalier

    je vous aime

    Je vous aime

    Pour la lampe déjà éteinte

    Et la première de vos plaintes

    La porte à peine refermée

    Pour vos dessous qui s’éparpillent

    Comme des grappes de jonquilles

    Aux quatre coins du lit semés

    Pour vos yeux de vague mourante

    Et ce désir qui s’impatiente

    Aux pointes de vos seins levés

    Je vous aime
    J
    e vous aime

    Pour vos toisons de ronces douces

    Qui me retiennent me repoussent

    Quand mes lèvres vont s’y noyer

    Pour vos paroles démesure

    La source le chant la blessure

    De votre corps écartelé

    Pour vos reins de houle profonde

    Pour ce plaisir qui vous inonde

    En long sanglots inachevés

    Je vous aime

    Je Vous aime

    Jean Ferrat

    L ali(g)ne qd a moi que je prefère est la palengrotte aux appats multiples.......

    CF VITRY 94

  • Je ne resite pas a vous dédier celle ci les filles du FOU

    CF vitry 94

    Viperes lubriques
    (Jean Ferrat)

    Je te mange à la croque au sel

    Ton vice est mon péché véniel

    Mais si je dis dans ma chanson

    Qu’aimer c’est pas la communion

    Que les versets de mes prières

    Sont bannis dans nos séminaires

    Que je te prends très rarement

    Comme on prend le saint sacrement

    Il est certain que mes écrits

    Feront d’la peine au pape

    Il est certain que ses écrits

    Feront d’la peine au pape

    Je crains que les enfants d’Marie

    A jamais n’m’échappent

    Il craint que les enfants d’Marie

    A jamais n’lui échappent

    Si je racontais nos fantasmes

    Et comment tu prends ton orgasme

    Comment tu peux trouver suave

    De jouer ma petite esclave

    Comment c’est bien plus rigolo

    D’être ton petit gigolo

    Comment parfois je tyrannise

    Tendrement ma putain soumise

    Je me ferais traiter d’sado

    De petit sadique

    Il se ferait traiter d’sado

    De petit sadique

    Je me ferais planter dans l’dos

    L’épée juridique

    Il se ferait planter dans l’dos

    L’épée juridique

    C’est pourquoi j’aime mieux qu’on taise

    Ce qui brûle en tes yeux de braise

    Car si je disais par ailleurs

    Que je suis même un peu voyeur

    Que parfois je suis ton sujet

    Que je puis être un homme-objet

    Qu’en rêvant tu me mets des chaînes

    Tu me prends pour ton bois d’ébène

    Je me ferais traiter d’maso

    De masochiste

    Il se ferait traiter d’maso

    De masochiste

    Je me ferais broyer les os

    Par les moralistes

    Il se ferait broyer les os

    Par les moralistes

    Si je disais qu’en plus de ça

    Les pédés ne me gênent pas

    Que je n’ai rien contre les gouines

    Que sont nos deux jolies voisines

    Si j’ajoutais qu’il nous arrive

    De faire la fête avec des Juives

    Et de danser jusqu’au matin

    Chez des amis nord-africains

    On verrait dans le Parisien

    Ma figure hirsute

    On verrait dans le Parisien

    Sa figure hirsute

    La belle tête d’assassin

    Ecrirait Minute

    La belle tête d’assassin

    Ecrirait Minute

  • TF I ca n étonnera personne a fait son choix lepen 1H MGB 35 mn ..... Et maintenant le vicmte de villiers ...
    MGB a été comme d hab. BRILLANTE et c est sorti de tout les piéges de fort belle maniére .

    CF vitry94

    • Mon Cricri,

      Tu m’avais habitué à ne plus bien savoir où tu habitais, Vitryot, Vittry,... mais de là à t’appeler Forfeot dans ton dernier article, là, je dois dire que tu m’épates. Elle te fait un sacré effet Marie-George, hein ?

      Bon, tu me préviens quand la vidéo est en ligne ?

      Abrazo chileno (con pisco sour)

      JMH

    • Yes sir ....Mais je pense que quelqu un aura la détente plus rapîde que moi pour la mettre en ligne ...Sur bellaciao

      Le F est a coté du G en AZERTY Je n ai pas des doigts de couturiére et j ai voulu faire vite ....!!!

      CF vitry 94

    • JMH

      Elle est visible sur le site de TFI en intégralité

      CF vitry 94

    • Ben ouais mais ça commence à charger puis ça s’arrête et moi pas comprendre Milord.

      Roberthom : Au secouuuuuuuuuuuurs, vite, en ligne sur Bellaciao la vidéoooooooooooooooo !!!!!!

      JMH

    • Mais pourtant, on m’a toujours dit qu’un homme AZERTI en vaut deux et tu m’avais habitué à faire dans la dentelle, alors je ne comprends plus rien.

      JMH

    • C’est vrai que MGB a été brillante, et je dirais aussi OB. Quel dommage qu’ils ne soient pas main dans la main, ces deux-là. J’ai bien aimé les 85 % des richesses sont produites par l’ensemble des salariés et la patronne furax qui mangeait son micro, elle m’a fait trop rire.

      Bueno, me voy, hasta luego. Besos.
      Juju

    • MARIE-GEORGES : QUAND ELLE VEUT, OÙ ELLE VEUT...

      Non, non ! ce n’est pas ce que vous croyez... Décidément l’Adonis déteint !

      Elle venait pourtant après le dangereux batteleur des estrades JMLP, qui s’est montré toujours aussi habile à prendre les faibles dans ses rets...

      Mais c’est pour dire que MGB qui prend le temps de bien écouter les gens, même ceux qui croient qu’ils vont lui glisser une bonne chausse-trappe, et ensuite qui répond calmement et avec un grand sens pédagogique explique des choses qui pourraient a priori sembler difficile a emporté la palme sur téeffe 1 hier soir. Sa douceur, mais tout de même sa fermeté de conviction, lui ont gagné le respect du plateau et des téléspectateurs.

      Olivier Besancenot a été assez bon, mais sur certains sujets il "travaille petit" et montre qu’il n’a pas la stature d’un homme d’état. Certains domaines abordés ne reçoivent pas de réponse à la hauteur d’une responsabilité nationale : telle la question de l’indépendance de la France (et ses moyens) dans une Europe des peuples et un Monde de coopération et de Paix.
      Et puis, il n’y a pas eu de la part de MGB cette centration sur soi si présente chez OB...

      Le Vicomte a été lamentable et son passage lui aura certainement coûté pour son image. Il ne fait pas le poids et çà s’est vu.

      Donc, ma conclusion sera un Paul d’Echailly 2000 brut des Grappes d’Or à Oger (51190) !
      J’en lache une palette ici et on arrose à donf !
      Bravo Marie-Georges !

      NOSE DE CHAMPAGNE

    • Et pour faire bonne mesure, on arrose par la même occasion les 10 000 signatures pour Bellaciao.

      ¡Salud !

      JMH

    • Dites, j’ai entendu à la radio que Sarkozy, quand il est passé à l’émission de PPDA, la semaine dernière, aurait eu une oreillette pour écouter, j’imagine, les réponses qu’il fallait donner aux spectateurs qui le questionnaient !!! J’ai bien vu ce mouvement si particulier des gens qui portent une oreillette lors d’intervews, je comprends mieux ses hésitations, ses bafouillis. Mais alors, quelle honte. Aller tricher jusque là, pour séduire, se montrer à la hauteur, c’est stupéfiant. Il déshonore les élections présidentielles. On a déjà Bush, dans le monde, ça suffira !

      En attendant, je prendrais bien una copita de Champagne, avant l’embrasement que je crains d’ici peu. Il est question d’augmenter par x l’inscription à la fac pour la prochaine rentrée. Est-ce un bruit, est-ce vrai ???

      Et une autre copita pour faire passer !
      Juju

    • Nose, mon frère,

      J’attends toujours ton courriel (mail) pour pouvoir communiquer... Tks d’avance. TZ.

    • Jésus , Marie , Joseph , comme disait ma grand mere , je viens de voir une photo de Léa , qui confirme : ""Roberto ! Je suis démasquée. Enlève cette photo de toute urgence !!!
      Tu m’as trahie ! Je vais te poursuivre en justice.
      Léa.

      Voilà des mois que nous lui parlions sans la connaitre , et elle ne veut plus me parler !
      tous ça à cause de ces nases de ""louise attaque " , Esteban intercede en ma faveur , je ne m’en remettrais pas !

      Léa , si tu me parles de nouveau , je serais l’ombre de ton chien .

      claude de Toulouse .
      Fou parmis les fous !

    • claude, tu ne vas quand même pas t’abaisser à cela, l : "l’ombre de ton chien"....juju, au secours, il est devenu FOU !!!!

      anna

    • Maintenant qu’il a vu la couleur de la bête, voilà notre Claude prêt a rempiler sur les chemins de Compostelle... Prochain épisode "La chute", de la même célèbre réalisatrice, Léa KINO.

      Diffusion exceptionnelle le 20 Février à 20H45 sur Rance2, votre chaîne favorite. TZ.

    • Anna, tu as raison, Claude essaie de se saborder. Mais rassures-toi, il n’a pas de chien, donc pas d’ombre. Je le soupçonne d’avoir une grosse envie de calins féminins, Léa n’étant qu’un prétexte.

      Entends le chanter...

      Laisse-moi devenir /
      L’ombre de ton ombre /
      L’ombre de ta main /
      L’ombre de ton chien /
      Ne me quitte pas /
      Ne me quitte pas /
      Ne me quitte pas /
      Ne me quitte pas/

      C’est beau la saint-Valentin...

      Juju épatée

    • Juju ma juju ,

      la blague de Dennizot ce soir sur canal :

      "" A la saint Valentin tu me serres la main ,
      vivement la ste marguerite ""

      c’est pas trés fleur bleue , je le concede !

      claude de Toulouse .

    • TZ , tz ,

      maintenant que j’ai vu la couleur de la BELLE , qui entre parenthése me remet en mémoire les superbes jeunes femmes que l’on peut voir à la Réunion , j’ai une soudaine envie de pain d’epice , et je me ferais miel , pour etre tartiné !

      le comte fou , qui construira lui aussi un chateau sur les collines de Garonne , rien que pour elle , comme l’a fait mon cousin de Baviere !

      c de T.

    • Il a dit "désolé" ??? Tiens, je t’offre encore ceci, saint-Valentin m’y autorise...Poutous, Juju

      Fleur bleue

      Paroles et Musique : Charles Trenet 1937


      Refrain :
      Un doux parfum qu’on respire

      C’est fleur bleue

      Un regard qui vous attire

      C’est fleur bleue

      Des mots difficiles à dire

      C’est fleur bleue

      C’est fleur bleue

      Une chanson qu’on fredonne

      C’est fleur bleue

      Un jeune amour qui se donne

      Deux grands yeux qui s’abandonnent

      C’est fleur bleue

    • Pas fleur bleue, d’accord, mais je suis mort de rire !

      JMH

    • " je me ferai miel, pour être tartiné.." pour être tartiné ou léché...hum !!! cher claude anna

    • Et peut-on savoir pourquoi t’es mort de rire ???
      Juju

  • AUJOURD’HUI C’EST LA SAINT VALENTIN...

    ... et ce midi j’ai conduit ma Chantal à la Grande Brasserie, le restaurant spécialisé en produits de la mer dans la Plus Grande Capitale du Perthois qu’on a eu du Monde !
    Cela fait 12 ans qu’on a fait tous deux cette rencontre salutaire... un 10 février...

    On s’est bu une coupe de Champagne L’Hoste de Bassuet, très fin et fleuri...
    Puis elle a attaqué son tartare de saumon et moi j’ai entrepris mon bar rôti à la fleur de sel de Guérande, que nous avons accompagné d’un Riesling très jaune et vraiment goûteux...
    Après çà, une galette aux pommes-cannelle et un café-chocolat !
    Bien, très bien...
    Ensuite, nous avons passé l’après-midi à Saint-Dizier, à l’autre bout du Perthois noyé sous la grisaille de la pluie... Nous sommes entrés dans une librairie-café et nous avons parcouru des dizaines et des dizaines de couvertures, de noms, de mots, de pages imprimées et voyagé durant 2 heures avant de rentrer promener notre Lulu pour le mettre en appétit...
    Maintenant, Lulu et Marcel ont dîné et nous allons en faire autant après que j’ai eu le temps de vous servir un bon Rosé des Riceys et pris le temps de vous dédier ces vers de Walt Whitman, poète américain de la fin du XIX° :

    "JE CHANTE LE SOI-MÊME

    Je chante la personne simple séparée, le Soi-même,

    Cependant que j’exprime le mot Démocratique, le mot

    En-Masse.

    La physiologie fait mon chant pied et cap,

    Ni la physionomie ni le cerveau à eux seuls ne méritent

    la Muse, je dis que la forme complète la mérite bien

    davantage,

    Le Féminin autant que le Masculin fait mon chant.

    Vie immense en ses passions, son rythme, sa puissance,

    Trésor d’allégresse, conçu pour la liberté d’agir sous la

    contrainte divine,

    L’Homme Moderne fait mon chant."

    On n’est pas obligés d’attendre la St Valen tin pour se faire du bien, certes, mais on n’est pas obligés de ne pas s’en faire parce que c’est elle !
    À la vôtre, amies et amis, et au Fou et ses hébergeurs si bons bergers !

    NOSE DE CHAMPAGNE

    • Et pendant ce temps... NOSE, le poète du Fou, fait le Valentin quelque part en Champagne...

      Bises,
      Juju

    • je signale à tous les admirateurs béats de Valentin , que demain est le jour d’un saint encore plus craquant !

      c de T.

    • Ah, oui Mon Claude, c’est ta fête demain, et ce qui est marrant c’est le surlendemain... Julienne, que la sécu m’a donnée par erreur. Il y a de ces hasards parfois...toi, moi... une chanson, un poème, une histoire...

      Juju

    • ""Toi et moi ça peut se raconter
      Comme une belle histoire
      Comme un conte de fées
      C’est aussi clair que midi sonne
      Tous les plaisirs que l’on se donne
      À vivre ensemble
      Ensemble

      Toi et moi
      C’est colombe et soleil
      C’est difficile à croire
      Toi et moi s’est pareil
      C’est cent mille ans au jour le jour
      Et si ce n’est pas de l’amour
      Ça lui ressemble
      Ressemble

      Bien heureux les amoureux
      Qui s’aiment autant que nous
      Bienvenus les inconnus
      D’ici et de partout
      Ils sont notre image
      Ils ont notre visage
      Ils ont le même âge
      Et la même vie

      Toi et moi
      C’est tout droit devant nous
      En suivant notre étoile
      On ira jusqu’au bout
      On nous verra après la terre
      Au paradis ou en enfer
      Toujours ensemble
      Ensemble

      Bien heureux les amoureux
      Qui s’aiment autant que nous
      Bienvenus les inconnus
      D’ici et de partout
      Ils sont notre image
      Ils ont notre visage
      Ils ont le même âge
      Et la même vie

    • Pour Juliette , pour Léa , pour Anna ,

      pour la st Valentin , je vous offre ce que j’ai pu voler de plus beau !

      votre ami

      claude .

      ""Qu’il est loin mon pays, qu’il est loin
      Parfois au fond de moi se raniment
      L’eau verte du canal du Midi
      Et la brique rouge des Minimes

      O mon païs, ô Toulouse, ô Toulouse

      Je reprends l’avenue vers l’école
      Mon cartable est bourré de coups de poing
      Ici, si tu cognes, tu gagnes
      Ici, même les mémés aiment la castagne

      O mon païs, ô Toulouse

      Un torrent de cailloux roule dans ton accent
      Ta violence bouillone jusque dans tes violettes
      On se traite de con à peine qu’on se traite
      Il y a de l’orage dans l’air et pourtant

      L’église St-Sernin illumine le soir
      D’une fleur de corail que le soleil arrose
      Une fleur de corail que le soleil arrose
      C’est peut-être pour ça malgré ton rouge et noir
      C’est peut-être pour ça qu’on te dit Ville Rose

      Je revois ton pavé, ô ma cité gasconne
      Ton trottoir éventré sur les tuyaux du gaz
      Est-ce l’Espagne en toi qui pousse un peu sa corne
      Ou serait-ce dans tes tripes une bulle de jazz ?

      Voici le Capitole, j’y arrête mes pas
      Les tenors enrhumés tremblaient sous leurs ventouses
      J’entends encore l’écho de la voix de papa
      C’était en ce temps-là mon seul chanteur de blues

      Aujourd’hui, tes buildings grimpent haut
      A Blagnac, tes avions sont plus beaux
      Si l’un me ramène sur cette ville
      Pourrai-je encore y revoir ma pincée de tuiles

      O mon païs, ô Toulouse, ô Toulouse

    • Merci Mon Claude, toi qui t’appelles comme Claude N., je m’en vais rêver au pays des songes, après ce petit intermède musical qui me fait planer !

      Bisoux à tous, valentins et valentines. Bonne nuit (Claude suce pas ton pouce !)
      Juju

    • N’EST-CE PAS À ST. CLAUDE,

      ... d’ailleurs qu’on fait les meilleures pipes ?

      NOSE

    • est-ce une légende ou une réalité ???? je demande à voir !!!!
      et puis une pipe, il faut qu’elle soit bien culottée, paraît-il ? anna

    • C’est évident Nose ,

      que pour qu’une pipe soit bonne elle soit faite à (st) claude !

      c de T.

    • Anna ,

      juste un point technique , la pipe tu la coinces entre tes dents et tu la mordilles parfois , comme font les vrais fumeurs , ou bien te contentes tu de la tenir dans ta main , pour tirer dessus de temps en temps ?

      claude de Toulouse .

    • Ah, lala, Anna, tu trouves pas que Claude et Nose parlent en langage codé ?

      Bonne fête à ton saint, Claude !!!
      Poutous sanctifiés (pour l’occasion)
      Juju

    • message reçu...5 sur 5 , claude , mon cher ami !!!!! anna

      mais tu ne serais pas josé bové ?

    • chère juju,
      langage codé sans doute, mais facilement déchiffrable, ne trouves-tu pas, au 1er comme au 2nd degré....? ils sont comme deux larrons en foire !!!
      ça va juju ? je me mets aussi aux poutous ....est-c une spécialité de toulouse ?

      gros poutous anna

    • CHERE ANNA...

      ... Je fus dans ma jeunesse un fumeur de pipes "invertébré" et je peux t’assurer qu’une pipe se culotte toute seule en se tartrant à l’usage...
      À la tienne !

      NOSE

    • je préfèrerais un rosé des riceys, s’il te plait, nose bises anna

    • Oui, c’est trop facile. Ils ne se décarcassent pas trop, nos joyeux lurrons, pour nous ballader ! On n’aurait pas gagné la guerre avec un codage pareil ! Heureusement qu’il reste les poutous de chez nous, pour se consoler !

      Poutous joyeux
      Juju

    • DANS MA GRANDE BONTÉ...

      ... c’est accordé !
      À la tienne et bisous !

      NOSE

    • ’tu as vu j’ai écrit un nouveau texte sur le site : "inventaire à la prévert..) ? bises anna

    • À VOUS TOUTES... NOS MUSES

      "Pour un peu de tendresse

      Je donnerai les diamants

      Que le diable caresse

      Dans mes coffres d’argent

      Pourquoi crois-tu ma belle

      Que les marins au port (N’est-ce pas Estéban ?)

      Dident leurs escarcelles

      Pour offrir des trésors

      À de fausses princesses

      Pour un peu de tendresse

      Pour un peu de tendresse

      Je changerais de visage

      Je changerais d’ivresse

      Je changerais de langage

      Pourquoi crois-tu la belle

      Qu’au somme de leurs chants

      Empereurs et ménestrels

      Abandonnent souvent

      Puissances et richesses

      Pour un peu de tendresse

      Pour un peu de tendresse

      Je t’offrirais le temps

      Qu’il reste de jeunesse

      À l’été finissant

      Pourquoi crois-tu la belle

      Que monte ma chanson

      Vers la claire dentelle

      Qui danse sur ton front

      Penché vers ma détresse

      Pour un peu de tendresse"

      C’est "La tendresse" de notre grand Jacques Brel !
      Alors, pour faire passer çà : un rosé des Riceys est tout à fait recommandé !

      NOSE

    • VA-T-ON PASSER...

      ... le cap des 500 ?
      C’est important pour bouster le score de Bellaciao et du tandem Thom-Roberto !
      En attendant je vous bouste avec une palettre de rosé des Riceys !
      À la vôtre,

      NOSE

    • oh, merci nose, j’adore cette chanson....pour un peu de tendresse , que ne ferions nous pas , ?
      et pour un peu d’ivresse, une petite coupe des riceys.... avec vous tous évidemment....juju, claude mon doux ami , esteban, la princesse sorcière fée léa ! ah ! la nôtre anna

    • LES ARISTOS DU FOU DE BASSAN DOUBLEMENT RECONNUS

      Dans le dernier N° du "Canard Enchaîné", en page 5, le célèbre caricaturiste Cabu nous consacre un dessin...

      Dans "Total totalement innocent", l’article de J-L Porquet évoque le procès de "l’Erika" qui s’ouvre à Paris et s’interroge sur le montant du fameux fonds d’indemnisation et comment évaluer "le préjudice écologique" ?. Combien coûte une plage souillée ? UN FOU DE BASSAN GOUDRONNE A MORT ?...

      Nous recevons enfin une motion de soutien de Sarkosy puisque nous faisons partie DE SES AMIS !

      C’est beaucoup trop et rien à la fois...

      Solidaire de tous les goudronnés,
      le grillon de service. TZ.

    • chers fous goudronnés....

      pour faire avancer le schimlblick jusqu’à 500 comme le soumet nose, bonne journée à tous, repas de famille pour moi !!! bises mes fous anna

    • Les "fous goudronnés" dorment encore, le MEDEF de Parisot, la belle crêmière, bosse, lui...
      Bande féniasses !! TZ.

    • LE REVEIL D’UN DIEU...

      La chevelure éparse et la gorge meurtrie,
      Irritant par les pleurs l’ivresse de leurs sens,
      Les femmes de Byblos, en lugubres accents,
      Mènent la funéraire et lente théorie.

      C’est sur le lit jonché d’anémone fleurie
      Où la mort avait clos ses longs yeux languissants,
      Repose, parfumé d’aromate et d’encens,
      Le jeune homme adoré des vierges de Syrie.

      Jusqu’à l’aurore ainsi le choeur s’est lamenté.
      Mais voici qu’il s’éveille à l’appel d’Astarté,
      L’Epoux mystérieux que le cinname arrose.

      Il est ressuscité, l’antique adolescent !
      Et le ciel tout en fleur semble une immense rose
      Qu’un ADONIS céleste a teinte de son sang.

      José Maria de Heredia

      A LA VOTRE LES AMIS...

      A propos, qu’est-ce qu’on mange à midi ??

      via le Baron de Tziganie

    • C’EST PAS TELLEMENT LE REPOS QUI NOUS RETIENT ÉLOIGNÉS DU FOU...

      ... que l’énorme boulot à faire sur le terrain en ce moment.
      J’ai eu cette seule semaine 5 entretiens préalables, avec leur préparation et les compte-rendus à faire...
      Il y a aussi le bilan 2006 à rendre au DDTEFP...
      C’est beaucoup, beaucoup de travail...
      Alors, même si on n’est pas là pour intervenir, on pense à vous tous !

      NOSE

    • et nous aussi, nose, pensons fort à toi pour tout ce dévouement.....pour les autres........bon courage ami nose bisous .....anna

    • qu’est-ce qu’on mange à midi.......et nous sommes déjà le soir......moi je boirais bien un p’tit quelque chose.....que me proposez- vous baron ? anna

    • FINALEMENT PRESENTE...

      Ah... Anna, ma belle poétesse... il n’y a pas beaucoup de clients ce soir, n’est-ce pas ? Pourquoi pas un vers de LAGAVULIN de l’ami Cricri, tous les deux, en amoureux des belles choses de la vie ?

      Bises tendres de ton Baron TZ.

    • À MIDI...

      Couscous-mouton arrosé de Valpolicella...
      Ce soir, en rentrant du magnifique meeting avec Marie-Georges à Troyes (on était 500 dans le grand amphi de l’Université Technologique de Troyes) poulet au rizotto...
      Avant de rentrer on a bu une bonne bouteille de Champagne de Bar sur Seine qui était d’une très honnête tenue ! Les 70 kilomètres du retour dans la nuit sont passés plus facilement...
      D’ailleurs je vous en débouche quelques autres pour vous faire taster !
      À la vôtre !

      NOSE

    • je préfère l rosé des riceys !!!!anna

    • un vers...un verre de LAGAVULIN !!!! et bien les deux ! cher TZ anna

    • 500..... aujourd’hui !!!!

      pour estaban...

      tout finit un dimanche

      un dimanche pas commun

      d’un hiver pas commun

      on surfe sur le FOU

      refuge intemporel

      où se retrouvent quelques amis...

      on écrit sans tabou

      on délire, on joue

      où il suffit d’un mot

      pour déclencher les rire

      le "FOU" m’a éblouie

      tendre et serein

      épicurien

      délire de tous !

      à suivre.......anna

    • De bon matin du Rosé des Riceys ??? Et le croissant du dimanche matin, Anna, tu le mange pas ?

      Juju

    • "délire de tous", délice de chacun, ESTEBAN sait d’instinct ce qui mène le monde, le s..., et a su en jouer !

      Il sert à la reproduction, au plaisir, à la domination, à la violence, à acheter, à vendre, au jeu, à tromper, à séduire ...

      ADONIS n’est pas qui veut !

      Bisous à tous et à Adonis.
      Juju

    • C’est fait les 500 sont atteints !!! Juju

    • oh ! la rate !!!! tu m’as court-circuitée !!!! sans rancune ma juju !!! le petit croissant, c’est fait, c’est même moi qui suis allée les chercher !!!!

      500.....qu’est-ce qu’on gagne THOM, ROBERTO ? une inscription ds le livre des guiness ?

      NOSE, vite une palette de bulles pour fêter cet évènement, entre nous !!

      bises à tous les FOUS !!! anna

    • Cher Tzigane,

      Ce texte est magnifique et me laisse rêveur...

      Quelle finesse...

      Obrigado TZ,

      Esteban

    • Incorrigible Esteban ! Adonis te colle à la peau ! Et pourtant il était un dieu phénicien de la Végétation, honoré dans le monde gréco-romain. C’est vrai aussi qu’il a eu des amours torrides avec la belle Venus !

      Bises coquines.
      Juju

    • Anna, les 500 c’est le fruit de tous les Fous et Folles. NOSE va sûrement nous servir de son meilleur Champagne qui fait des bulles qui montent verticalement, c’est mathématique ça.

      Tiens, pour la peine, je vous fais une grosse assiette de tapas !
      Bisous à tous.
      Juju

    • Belle juju,

      Il y a derrière ta carapace un superbe trésor. Tu as envie de...mais tu te retiens.

      Tu n’oses pas nous dire...pourtant je devine sans trop me tromper que la plus grande partie de juju ( la belle) ne nous est pas dévoilée.

      Dans tes non-dits et tes retenues, je devine le reste. Ainsi tu ne dis pas le mot SEXE mais tu nous le fais dire, c’est ton charme juju, mais la belle juju qui se retient pour son ÉROS n’a rien a perdre à se dénuder...un peu.

      Un jour j’espère que comme Anna qui nous a subjugué, tu nous feras cadeau d’un autre petit bout de l’intérieur de ton coeuret ton intelligence...juju.

      Bises à tous et à JUJU,

      Esteban

    • tu sais juju, je me découvre moi même et n’en reviens de ce que j’ose.....grâce aux fous ?

      anna

    • Ce n’est pas osé d’être soi-même, tes mots, Anna, sont simples et beaux...c’est une belle femme qui les a écrit.

      C’est dur de vivre emprisonné et quel plaisir lorsque tombent les barrières et les murs auto-érigés...Vive la liberté !

      Esteban

    • Esteban, pourquoi devrais-je me dénuder davantage ? Ca ne te suffit pas que je porte l’étendard de la révolte, à moitié dépoitraillée, au risque d’attraper mal ???

      Allons, allons, Adonis, toi qui as été initié par Vénus, tu n’as pas besoin que la femme se dévêtisse davantage pour sonder son coeur, car, par je ne sais quelle magie, tu sais lire ce que la femme cache derrière son voile de pudeur...tout le charme et le mystère sont là !

      Juju.

      Je suis une femme

      Je vous l’avoue

      Je suis une femme

      De bout en bout.

      J’ai comme l’envie incontrôlée

      Monsieur de vous faire rêver

      J’ai le désir démesuré

      De faire de vous un vrai brasier.

      De soies légères et de taffetas

      J’en mettrai de haut en bas

      Je vais voir le plaisir

      Dans vos pupilles se mettre à luire

      Je suis une femme

      Je vous l’avoue

      Je suis une femme

      De bout en bout.

      Et n’en déplaise à la morale

      Je deviens comme cannibale

      Je veux un festin royal

      Enfin rien de plus banal.

      Je suis femme

      Je vous l’avoue

      J’ai faim de vous

      De bout en bout.

    • YEEAAAHHHHH !!!

      C’EST LE BING BANG AU FOU DE BASSAN

      BRAVO JUJU

      Esteban

    • UNE RÉVÉLATION SUR ADONIS...

      Quand je feuillette le catalogue "Poésie/Gallimard - NRF", je découvre le recueil N°368 dont le nom d’auteur est "Adonis" et dont les oeuvres portent pour titres respectifs :
       "Chants de Mihyar le Damascène", et
       "Singuliers"...
      Estéban, éclaire nous sur tes activités ocultes !
      Tu n’auras pas à rougir de ton auditoire, puisqu’il semble que de plus en plus se révèlent des attentes de formes poétiques, ici et même ailleurs (voir les blogs de la gauche populaire et antilibérales)...
      Avec un petit blanc de blanc du matin pour s’éclaircir la voix, que la fête de ce jour comme chaque jour commence !

      NOSE

    • Tu as raison NOSE, Adonis n’est pas clair, mais alors pas clair du tout ! Il a un autre visage, pour une autre vie ! Quel cachottier !

      Eclercissons nous la voix avec le blanc de blanc que tu nous offres si généreusement ; il va nous en falloir de la voix pour se faire entendre !
      Big bisous, NOSE, notre Troubadour adoré.
      Juju