Accueil > Sortons

Sortons

Publie le vendredi 4 mai 2007 par Open-Publishing
1 commentaire

Ballet Ciao

Il me semble que la route est fausse, non que je souhaite vilipender, mais là tout de même, nous sommes arrivés dans une impasse ontologique, à savoir ce questionnement "quelle merde pour demain". Soyons normaux et cessons de nous réfugier dans des idéologies de façade.

J’ai cru, comme vous tous, aux bienfaits, tantôt des socialistes, tantôt des "extrêmes gauchers" et là, vraiment... émotion feinte... je me décide à ne plus décider, franchement, "irresponsablement"( que c’est doux un néologisme qui ne termine pas par "iste"). Quelques sous-entendus pour crier que ce ciel ne nous souhaite que l’obscurité, la grotte au nucléaire, ça ne brule pas, oui... mais bon, cela semble un jeu pour ceux qui nous amusent. Arlette aurait du servir de buzzer à ce moment là.... les pièges ont du bon, la preuve. Ils sont recyclables (Vive Nicolas. Lequel ? L’autre salarié...)

Ainsi cela s’est-il passé car, après leurs conneries provoquées par un journaliste sur le nucléaire sous-marin, voilà que, bons écoliers, nos braves représentants-candidats jouent à la question qui n’a pas de réponse -pour eux-, et nous voilà embarqués dans de stupides querelles de collégiens, sans pensée, dégueulants de leçons apprises par coeur (de pierre) ; à l’unisson dans le nivellement vers la Rance d’en bas, piètres clowns devant leurs marionnettistes, pauvres pantins devant leurs publics, béats respectivement devant la drôlerie de l’adversaire, caricatures !

Parlons sérieusement.

Il y a en France un peuple et ledit peuple tremble, voire s’allonge devant les puissants, administrateurs s’entend. Ce peuple qui se gausse de sa grandeur intellectuelle, cette folie de 60 millions d’individus, qui a accepté Vichy, eut des "difficultés" pour lâcher ses colonies... bien sûr, ce peuple n’a jamais été responsable de rien, et cela va de soi, la faute en revient à tout les omnipotents de la république, à savoir les Putain... pardon Pétain et compagnie. Cela est constitutif de mauvaise foi, de léthargie non assumée.

Tenons nous le pour dit, excepté la pensée, Bourdieu, Debord, la DDHC etc, je ne me sens en rien l’héritier ce pays qui trucide tout contradicteur, se rallie aux puissant et néglige sa population.

Une démocratie qui dit à la rue qu’elle ne gouverne pas n’est pas une démocratie. Vous allez voter et puis après.... (merci Léo)

La démocratie est dans la rue, comme vous, comme moi. Nous

Prenons les stylos et étalons notre drame, les uns à la suite des autres de sorte que la rue soit forte d’une nouvelle religion, elle-même.

Sortons

Messages

  • on evite le pire, et le combat continue dans la rue dans l´entreprise dans l´urne etc je vote anti-sarko, donc un bulletin sego. anarcho votant et encarte la gauche allemande jean francois dieux stuttgart