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1er juillet 2008 : la Pologne annonce qu’elle ne ratifiera pas le traité de Lisbonne !

Publie le mardi 1er juillet 2008 par Open-Publishing
4 commentaires

Une des règles de base du droit international : un traité entre en vigueur quand tous les pays concernés l’ont ratifié.

Le 12 juin 2008, l’Irlande vote NON au traité de Lisbonne. Le traité de Lisbonne est mort.

Le 1er juillet 2008, la Pologne annonce qu’elle ne ratifiera pas le traité de Lisbonne. Le traité de Lisbonne est mort et enterré.

Lech Kaczynski : la ratification du traité européen est devenue "inutile" après le "non" irlandais

Messages

  • Lech Kaczynski porte un sérieux coup à Nicolas Sarkozy

    La France a pris lundi à minuit la présidence de l’UE pour six mois, dans un climat de doute après le non irlandais au Traité de Lisbonne. Pour marquer l’occasion, la Tour Eiffel a été illuminée des couleurs du drapeau européen.

    Alors que Nicolas Sarkosy évoquait le référendum négatif irlandais, en déclarant "qu’on n’a pas trop de temps" pour trouver une solution avant "la limite" que constituent les élections européennes de juin 2009, le président polonais Lech Kaczynski a annoncé qu’il ne signerait pas le traité européen de Lisbonne. Il estime qu’il est "sans objet" après le refus des électeurs irlandais de le ratifier.

    Le parlement polonais a pourtant ratifié, dès avril, le traité destiné à réformer le fonctionnement des institutions européennes. Mais pour être définitivement acquise, la ratification doit recevoir la signature du président.

    La défection de Lech Kaczynski porte un coup sérieux aux efforts de Nicolas Sarkozy qui entendait circonscrire le problème de la ratification à l’Irlande.

    Dans son discours, le président français a également lancé une nouvelle charge contre la politique de l’euro fort de la Banque centrale européenne, en estimant que la BCE "devrait se poser la question de la croissance" et "pas simplement de l’inflation".

    La France a fixé quatre priorités à sa présidence : adoption d’une série de mesures en matière de climat et d’énergie, pacte européen pour l’immigration, relance de l’Europe de la défense et agriculture.

    Paris espère que des avancées concrètes sur ces sujets permettront de relancer la confiance des citoyens dans l’Europe.

    La première journée de cette présidence sera dominée par une visite à Paris des membres de la Commission européenne, présidée par José Manuel Barroso, qui seront reçus à déjeuner par le Premier ministre François Fillon et à dîner par M. Sarkozy.

    Autre temps fort de ce début de présidence française, la tenue le 13 juillet d’un sommet pour lancer le projet d’Union pour la Méditerranée (UPM), où sont invités les chefs d’Etat et de gouvernement de l’UE et ceux des pays de la rive méridionale du bassin méditerranéen.

    La France a pris lundi à minuit la présidence de l’UE pour six mois, dans un climat de doute après le non irlandais au Traité de Lisbonne. Pour marquer l’occasion, la Tour Eiffel a été illuminée des couleurs du drapeau européen.

    Alors que Nicolas Sarkosy évoquait le référendum négatif irlandais, en déclarant "qu’on n’a pas trop de temps" pour trouver une solution avant "la limite" que constituent les élections européennes de juin 2009, le président polonais Lech Kaczynski a annoncé qu’il ne signerait pas le traité européen de Lisbonne. Il estime qu’il est "sans objet" après le refus des électeurs irlandais de le ratifier.

    Le parlement polonais a pourtant ratifié, dès avril, le traité destiné à réformer le fonctionnement des institutions européennes. Mais pour être définitivement acquise, la ratification doit recevoir la signature du président.

    La défection de Lech Kaczynski porte un coup sérieux aux efforts de Nicolas Sarkozy qui entendait circonscrire le problème de la ratification à l’Irlande.

    Dans son discours, le président français a également lancé une nouvelle charge contre la politique de l’euro fort de la Banque centrale européenne, en estimant que la BCE "devrait se poser la question de la croissance" et "pas simplement de l’inflation".

    La France a fixé quatre priorités à sa présidence : adoption d’une série de mesures en matière de climat et d’énergie, pacte européen pour l’immigration, relance de l’Europe de la défense et agriculture.

    Paris espère que des avancées concrètes sur ces sujets permettront de relancer la confiance des citoyens dans l’Europe.

    La première journée de cette présidence sera dominée par une visite à Paris des membres de la Commission européenne, présidée par José Manuel Barroso, qui seront reçus à déjeuner par le Premier ministre François Fillon et à dîner par M. Sarkozy.

    Autre temps fort de ce début de présidence française, la tenue le 13 juillet d’un sommet pour lancer le projet d’Union pour la Méditerranée (UPM), où sont invités les chefs d’Etat et de gouvernement de l’UE et ceux des pays de la rive méridionale du bassin méditerranéen.

    (ats / 01 juillet 2008 07:40)

     http://www.romandie.com/infos/ats/d...

  • maintenant la Suède, l’Autriche, la Pologne n’en veulent plus, il faut mettre le paquet pour montrer notre voie