L’élection des libéraux québecois maintenant inévitable

Écouter Jean Charest me donne froid dans le dos. Mais pour un grand nombre de Québecois, entendre Jean Charest apporte du réconfort. C’est étrange comment d’une personne à l’autre les perceptions sur une personne donnée peuvent varier.

Et quand le nombre de personnes que Jean Charest réconforte est assez important, le parti libéral va vers un gouvernement majoritaire.

Ce qui fait peur maintenant, pour un grand nombre de Québecois (je ne parle pas pour moi), c’est d’entendre parler d’indépendance ; c’est d’entendre parler d’améliorer le niveau de vie des personnes défavorisées ; c’est entendre le nom "Québec solidaire".

Dans ce contexte, nous les personnes des classes défavorisées du Québec n’avons qu’à endurer au moins quatre autres années de pareil au même à se contenter de survivre, à éviter les endroits où il y a de gros messieurs et de grosses madames et à garder un profil bas pour ne pas qu’ils nous ôtent le peu qui nous reste.