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Palestine et diffamation.

Publie le mercredi 29 avril 2009 par Open-Publishing
4 commentaires

Voici comment la presse local de Reims (L’Union ) diffame ceux qui ont manifesté en janvier dernier pour les droits de l’homme et en l’occurrence pour protester contre l’agression criminelle de la bande de Gaza.

Aucun des faits rapportés par ce "journaliste "ne sont véridiques pour la simple raison que celui ci ne couvrait pas la manifestation.

Cette manifestation du 10 janvier sous l’égide de la LDH et de son appel aux consciences ,a été organisé par le PC les Verts, le NPA et le parti de gauche ainsi que par de nombreuses associations et des personnalités de la société civile. Ce procédé vil n’est pas nouveau et il necessite une réaction pour que la liberté de manifester pour les droits de l’homme et en particulier pour le peuple palestinien ne soit plus bientôt qu’un souvenir.

Salutations.

Aissaoui Ali
Medecin
Maire adjoint Reims
Collectif Palestine Marne.

Comme un remugle de bête immonde….

Pouaah !!!! Ca sent mauvais. Un relent de vieilles haines recuites et racornies, de bêtise rance, d’infâme mal écrasé… Ca pue, à Genève où l’aspirant Hitler, Mahmoud Ahmadinejad, a vomi une fois de plus à la face du monde, sa haine d’Israël, des Juifs, de l’Occident, de tout ce qui n’est pas dans l’orthodoxie imbécile de son monde de Mollahs obtus et fanatiques. Ahmadinejad, qui prône l’extermination d’Israël, c’est le patron des assassins du Hamas et du Hezbollah, l’ami de tous les antisémites de France et de Navarre, d’extrême droite et d’extrême gauche… Parce qu’en France aussi, ça sent mauvais le racisme ordinaire et revendiqué, en métropole et outre-mer.

Les bonnes âmes, comme Kouchner, expliquent qu’il faut discuter avec les Ahmadinejad pour leur faire entendre raison. Ils disaient la même chose en 1939 encore, les prédécesseurs mous du brillant Kouchner, des pacifistes bêlants, ancêtres des altermondialistes… En la matière, pourtant, il n’y a pas de quoi ergoter. Il n’y a pas de bons et de mauvais racistes. Pas de distinguo possible. Pourtant, Mme Hazan vient d’interdire « à Monsieur Dieudonné M’Bala M’Bala de présenter un spectacle sur le territoire de la Ville de Reims ».

Pas question pour elle que des propos négationnistes soient tenus à Reims, ville marquée par une histoire douloureuse. Dont acte. Que n’a-t-elle interdit, le samedi 10 janvier dernier, la manifestation organisée par plusieurs associations dont la Ligue des Droits de l’Homme, pour apporter un soutien aux victimes des bombardements de Gaza, place d’Erlon. Car en fait de soutien aux victimes palestiniennes, il s’agissait surtout de procéder au lynchage symbolique des Israëliens. On a pendu une effigie en chiffon, des enfants - que faisaient-ils donc là ? - ont distribué des tracts appelant au boycott des entreprises sionistes, des commerces « juifs »…

Tout ça avec la complicité du très engagé Ali Aissaoui, adjoint au maire de Reims, chargé de la démocratie locale…

Philippe Le Claire

Messages

  • On se demande de quel côté est la "haine racornie, rance" etc
    Très CLAIR !!!!

    De quel droit ce journaleux insulte-t-il un défenseur des droits de l’homme bafoués en Palestine ????

    J’apporte tout mon soutien à M. l’adjoint au maire. Il devrait y en avoir d’autres comme lui dans nos pouvoirs locaux. Pour ma part, j’ai écrit à un député de gauche de ma région au moment des bombardements sur Gaza, j’attends toujours sa réponse... Sans doute a- t-il peur des media du coin au vu de cet article ! Quelle triste gauche... Et on voudrait que je vote pour des types comme ça aux européennes ?

    • Les habitants du camp de réfugiés palestinien d’Aida, près de Bethléem, veulent recevoir le pape, attendu le 13 mai, dans un lieu qui déclenche la polémique : il construisent une scène en plein air, tout près de l’immense mur de béton gris, section du "mur de séparation" construit par Israël qui les surplombe sur deux côtés.
      Le camp d’Aida, où vivent environ 5.000 personnes, situé entre Jérusalem et Béthléem, existe depuis 1948 et la guerre qui a accompagné la naissance de l’Etat d’Israël.
      Benoît XVI doit visiter ce camp le 13 mai, et les résidents expliquent avoir choisi cet endroit pour mettre l’accent sur ce qu’est leur quotidien sous occupation militaire israélienne.
      Mais le gouvernement israélien a donné l’ordre d’arrêter la construction de cette scène, jugeant que sa proximité du "mur" pose un risque de sécurité. Selon le maire de Béthléem, Benoît XVI, qui est en Terre sainte du 8 au 15 mai, est censé y prononcer un discours et assister à un spectacle de danse folklorique.
      Les travaux de construction du théâtre en plein air, d’une capacité d’un millier de places, devraient être terminés d’ici au 5 mai.
      Mais les responsables locaux ont expliqué que des soldats israéliens avaient forcé la semaine dernière les ouvriers à quitter le site, mais qu’ils sont revenus et mettent les bouchées doubles pour finir à temps.
      "Nous sommes déterminés à recevoir le pape à cet endroit, parce que cela résume les souffrances palestiniennes : le camp de réfugiés, le mur et la tour de garde de l’armée israélienne", explique Salah Taameri, gouverneur du district de Béthléem.
      Pour Miki Galin, responsable militaire en Cisjordanie, outre la proximité de la barrière qui risque de poser problème au niveau de la sécurité, cet ampithéâtre est construit dans un secteur sous contrôle israélien et n’a pas les autorisations nécessaires. Et de se refuser à commenter la portée symbolique de l’endroit choisi par les Palestiniens.
      Les discussions entre Israéliens et Palestiniens se poursuivent pour trouver un éventuel autre lieu où organiser le discours du pape, mais les responsables locaux notent que le mur est visible de partout dans le camp. "Le mur nous entoure comme une bague entoure le doigt", dit le député palestinien Issa Karakeh.

      et pendant ce temps on lit que des cancéreux meurent à gaza à cause de la rivalité fatah hamas , idiot que je suis je croyais que c’était à cause du blocus mais le journaliste "intègre finit par lacherle mot blocus à la dernière ligne !!!

      et pendant ce temps des libanais manifestent au liban sud contre la venue de l’ambassadeur américain et tout cela à cause des bombes "sales" larguées en 2006 ,dont israel donc les states refusent de fournir les plans !!!

      Bravo M. l’adjoint au maire , moi dans ma commune ils regardaient tous ailleurs (commune ump mais l’opposition ne bougeait pas non plus)le plus engagé parlait de sujet trop sensible pour être abordé !!!!!!!!!!!!

    • Un professeur juif américain à l’Université de Californie Santa Barbara est sous le coup d’une enquête, pour l’envoi d’un e-mail qui assimile le blocus imposé par l’entité sioniste à la bande de Gaza, et l’offensive déclenchée contre elle à l’Holocauste.

      Accusé d’antisémitisme, William I. Robinson qui est professeur de sociologie a nié ces allégations tandis que deux groupes israéliens ont continué d’exiger qu’il présente des excuses.
      Selon lui, " l’accusation de l’antisémitisme est absolument scandaleuse" et s’apparente à prétendre que quelqu’un qui critique le régime de l’Iran qu’il est antimusulman.

      Le 19 janvier Robinson avait envoyé un e-mail pour 80 élèves de son cours "Sociologie de la mondialisation" intitulée : « le parallèle entre des images de nazis et celles des Israéliens."

      "Gaza est le Varsovie d’Israël – c’est un vaste camp de concentration où le blocus renferme depuis deux ans les Palestiniens, et les soumet à une mort lente par la malnutrition, la maladie et le désespoir, puis ils sont soumis à une mort rapide par les bombardements israéliens »,a écrit Robinson. Et de signaler : « Nous sommes témoins d’un lent processus de génocide ...."

      le e-mail transmis de ce professeur comprenait un e-mail comportant une juxtaposition de photos de l’époque nazie avec celles du blocus et de l’offensive contre Gaza, présentant des similitudes frappantes, y compris des photos horribles de cadavres d’enfants.

      Cet e-mail a déclenché une fureur sur le campus. Deux étudiants israéliens ont quitté la classe et déposé une plainte à l’université des lettres, en faisant valoir leur avis.

      L’université du Sénat académique, composé de membres du corps professoral, a créé un comité ad hoc pour examiner cette plainte selon laquelle Robinson a violé la politique universitaire qui interdit l’intimidation des étudiants, et l’utilisation des ressources de l’université pour un usage personnel, ou pour des raisons politiques sans rapport avec les cours.

      Ce comité décidera si l’affaire doit procéder à un comité permanent du Sénat académique.

      Robinson a dit qu’il a retenu les services d’un avocat et a exigé une enquête pour "violation à la liberté académique." « Je m’attends à être totalement disculpée", a-t-il ajouté. Et d’expliquer : « Il s’agit d’un cours sur les affaires mondiales. ... Nous discutons les questions les plus pressants », y compris les guerres.

      Pour le soutenir, certains étudiants ont formé un comité de soutien à l’extérieur de l’université, y compris en collaboration avec le célèbre philosophe et militant Naomi Chomsky.
      Robinson a dit avoir reçu des centaines d’e-mails de soutien de la part d’étudiants et d’universitaires, eux aussi sidérés par l’obscénité et la campagne de haine en charge contre lui.

      Ce même email de photographies juxtaposées avait suscité la controverse en Janvier dernier, diffusé à grande échelle le lendemain de l’offensive contre la Bande de Gaza. Il avait été mis au point par une diplomate norvégienne siégeant en Arabie saoudite et qui avait utilisé son courrier officiel du ministère des Affaires étrangères pour le diffuser.
      almanar

    • pendant ce temps à gaza où ’on pourrait croire que tout va bien
      Cela fait deux ans et demi, date de la victoire du Hamas aux élections législatives, que des produits indispensables dans le bâtiment sont interdits d’entrée dans la Bande de Gaza, pour pousser les Palestiniens à se soumettre aux concessions nationales imposées. En raison des séquelles de la dernière guerre, la situation n’en est devenue que plus pénible. Une solution vient d’être préconisée, voire ressuscitée de nouveau : l’argile ou la terre cuite.

      Selon le ministre des travaux et de l’habitat dans le gouvernement Hamas, Youssef al-Mannsi, le gouvernement a formé une commission pour effectuer des études opérationnelles pour l’utilisation de l’argile pour la reconstruction de bâtiments et d’installations, en recyclant les décombres des bâtiments bombardés durant la dernière offensive. Mannsi précise que " des spécimens seront édifiés, notamment une école, une mosquée et une clinique, en guise d’expérimentation, avant d’élargir l’exécution du projet".

      L’idée a déjà été mise à exécution, par Jihad Cha’er, après trois mois d’attente vaine, dans une tente.

      Ayant construit un deux pièces en argile et en terre cuite, qui lui a coûté 3000 $, il conseille aux Gazaouis qui viennent le visiter quotidiennement pour voir de leurs propres yeux sa maison, de faire de même, excluant la possibilité que le blocus soit suspendu prochainement : " c’est une maison en argile, c’est-à-dire qu’elle est fraîche l’été et chaude l’hiver".

      Ce sentiment de désespoir est partagé par beaucoup de ses compatriotes, qui ne croient plus que les 5 milliards de dollars promis le mois de janvier dernier par la Communauté internationale, au pris de concessions nationalistes puissent leur parvenir.
      Avec la propagation des maisons d’argile, les Palestiniens donnent la preuve qu’ils n’ont pas fini de résister !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!