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Les députés européens refusent de limiter les expériences sur les animaux

Publie le samedi 9 mai 2009 par Open-Publishing
17 commentaires

de Michèle Scharapan

Rapport du parlement européen

Ils ont fait leur B.A pour les phoques, avec des dérogations qui laissent présager de ce qui pourrait se passer . Ils ont fait fort ! On fait un petit cadeau , pour montrer combien "on" est sensible aux animaux, et quelques heures plus tard ou plus tôt on refuse d’arrêter la TORTURE !. Il ne faut pas exagérer .. Il ne faut pas trop en demander ! La torture " avec éthique" comme ils disent peut non seulement avoir lieu, mais progresser !

Cette perversité des mots me fait horreur, et les politiques tout autant . En prenant cette décision en "faveur" des phoques ( !!) ils ont ainsi fait passer cette décision de refuser de limiter la vivisection .C’est un coup de poignard dans le dos .

Rien ne justifie la torture, rien. Alors je vous demande de vous mobiliser, d’écrire aux députés, de vous manifester d’une façon ou d’une autre, afin que ce qui est une des grandes faillite de notre humanité, à savoir "l’utilisation" d’êtres vivants qui ne peuvent s’opposer , cesse.

C’est la mobilisation citoyenne qui pourra faire avancer les choses.

Merci,

Environ 12 millions d’animaux sont utilisés chaque année dans l’Union européenne à des fins de recherches scientifiques.

Dans les laboratoires publics et privés, 24 heures sur 24...

1 animal meurt torturé toutes les 12 secondes en France

1 animal meurt torturé toutes les 3 secondes en Europe

25 animaux (minimum) meurent torturés chaque seconde dans le monde.

"Le monde n’avance que grâce à ceux qui s’y opposent." Goethe

http://www.europarl.europa.eu/news/publ ... ult_fr.htm

http://www.lemonde.fr/planete/article/2009/05/05/les-deputes-europeens-refusent-de-limiter-les-experiences-sur-les-animaux_1189320_3244.html#xtor=RSS-3208

Les députés européens refusent de limiter les expériences sur les animaux

Les députés européens ont refusé, mardi 5 mai, de limiter l’expérimentation scientifique en laboratoire sur les animaux et le recours aux primates, pour éviter de compromettre la recherche médicale. "Nous voulons tous réduire le nombre de tests sur les animaux. Mais les citoyens européens demandent aussi à juste titre les meilleurs traitements médicaux les plus efficaces possible", a déclaré le conservateur britannique Neil Parish, dont un rapport en ce sens a été approuvé par 540 voix contre 66 et 34 abstentions.

Les élus ont ainsi modifié une proposition de la Commission prônant la limitation plus stricte de l’usage de certains singes. "C’est un compromis entre la nécessité d’assurer que la recherche puisse se poursuivre dans l’Union européenne et celle d’améliorer le bien-être animal", s’est justifié Neil Parish.

Les parlementaires se sont en revanche prononcés pour l’interdiction de l’utilisation des grands singes – chimpanzés, bonobos, gorilles et orangs-outans –, qui sont menacés d’extinction, sauf s’il s’agit d’expérimentations ayant pour but la conservation de ces espèces. Mais ils ont refusé de restreindre de manière drastique les possibilités d’utilisation de primates comme les ouistitis et les macaques, car cela pourrait "pénaliser la recherche européenne au profit de ses concurrents américains ou asiatiques, moins stricts en termes de bien-être animal".

"OBSCÉNITÉ"

Le Parlement a également rejeté l’idée que l’utilisation des primates non humains soit restreinte aux seules maladies à la fois "invalidantes et potentiellement mortelles", ce qui "risquerait d’entraver sérieusement les recherches notamment sur certains cancers, la sclérose en plaques ou la maladie d’Alzheimer".

Les défenseurs des animaux ont réagi avec fureur : "Les chercheurs seront autorisés à causer des souffrances graves et prolongées aux animaux, ce qui constitue une obscénité dans une société civilisée", a commenté la Coalition européenne pour l’interdiction des expériences sur les animaux.

L’industrie pharmaceutique a en revanche salué le résultat du vote. Le directeur général de l’Association des industries pharmaceutiques en Europe, Brian Ager, a salué cette décision et a invité les Etats européens à prendre en compte les réserves du Parlement pour "permettre la poursuite de la recherche en Europe".

Le dernier mot sur le sujet n’a toutefois pas encore été dit. Le nouveau Parlement issu des élections de juin devra engager des négociations avec les représentants des Etats membres dans le but de conclure un accord et de valider le vote de mardi.

Messages

  • Bonjour,
    Je suis loin de souscrire à cette opinion. Cet idéalisme qui consisterait à ne pas "torturer " les animaux, je le partage, et concrètement je ne mange plus de viande. Mais j’ai le malheur de fréquenter et d’être en même temps le papa d’enfant malade pour désirer que des progrès médicaux soient accélérés.
    Votre raisonnement, s’il est sincère, doit vous contraindre à ne plus toucher aux médicaments quels qu’ils soient car chacun d’eux a été expérimenté sur un animal dans un cadre légal et le sadisme que vous prétextez est bien éloigné des réalités des laboratoires français et européens.
    Votre opinion constitue en quelque sorte , mais peut-être n’y songiez vous même pas, une forme de violence à l’égard de ceux qui comme moi, pleurons chaque jour loin des trompettes médiatiques dans la chambre d’un enfant vaincu par de terribles pathologies que vous n’imaginez pas.
    Mustapha

    • Pardonnez moi, j’ai oublié de vous dire, qu’en effet je ne touche pas aux médicaments, mais le problème n’est pas de se pencher sur le passé, mais sur l’avenir, et arrêter d’utiliser les animaux. En plus en aucun cas le modèle animal ne peut être un modèle pour l’homme. Exemple : Donnez une aspirine à un chat, il meurt ; à un chien,non . Mais comme je l’ai dit dans mon précédent message, mon propos à moi est d’ordre éthique. Ce n’est pas être idéaliste, mais au contraire réaliste.
      Aceptez vous les trafics d’organes faits sur les enfants démunis des pays démunis ? Sur les prisonniers dans certains pays ? Ces trafics d’organes sauvent des humains .. Alors doit-on l’accepter ?
      Où commence l’éthique et où se termine t’elle ? A notre propre intérêt ? Je ne le pense pas.
      En tout cas je vous félicite de ne pas manger les cadavres d’animaux.

    • D’abord pour Michèle : Tu as raison, on ne peut extrapoler d’une espèce à l’autre et, au final, c’est les hommes qui expérimentent leurs nouveaux médicaments sans le savoir ! Surtout que ça change aussi d’un individu à un autre. Cf les allergies qui peuvent tuer avec la molécule anodine pour qq. d’autre ;juste ceci qui est important : Tu te trompes quand tu affirmes ceci : "Donnez une aspirine à un chat, il meurt ; à un chien,non . " En realité c’est nocif pour les 2.
      on ne doit donner ni aspirine ni paracetamol ni aux chiens ni aux chats : poison pour les 2 alors que pour ou, c’est aux bonnes doses absolument anodin.

      L’UE trahit les animaux. faut continuer la lutte c’est à dire, à leur demander de dire STOP à l’ignominie.

    • Pour Mustapha : je comprends qu’on veuille être cohérent. Mais là, il ya erreur ; Accepteriez vous qu’on utilise des humains pour tester les médicaments s’ils ne sont pas volontaires ? Qu’on leur colle des maladies et les découpe en morceaux comme on le fait avec des animaux. Est-ce que vous pensez que puisqu’il est prouvé que ça ferait avancer la science plus vite, il faudrait remplacer les animaux cobayes par des humains ?`

      NON ?
      Donc vous avez des limites à votre désir de guérir votre père, des limites éthiques et c’est tout à votre honneur. Sauf que vos limites vous les laissez juste au niveau des hommes. Faut dire d’abord en quoi vous vous sentez le droit de l’utilisation des êtres à votre merci ?
      En quoi est-ce plus moral ? Parce qu’ils souffriraient moins et que vous avez horreur dites vous de la souffrance ? Mais non, ils ne souffrent pas moins. Au contraire, ils souffrent autant physiqument et plus psychiquement.
      Et il n’y a aucune raison éthique à utiliser des êtres sensibles sous notre domination. Juste une raison immorale.
      Alors, se soigner, oui, mais il fait exiger de ne pas tester sur des vivants sensibles non volontaires. Et les seuls susceptibles de l’être sont des humains.
      bravo d’être végétalien et rejoignez nous dans notre lutte anti vivisection. Bon courage pour vous et pour votre père.

    • la vivisection est un crime abominable un point c’est tout ! Il n’y a aucune excuse à la pratiquer, mêrme si par ces crimes on parvenait à guérir et à soigner, ce qui n’est pas prouvé du tout, des humains ! De quel droit faire souffrir des êtres vivants pour "sauver" des humains ?? sont-ils donc si supérieurs aux animaux ? S’il faut tester, faisons le sur des humains consentant s’il n’y a pas d’autres alternatives...
      Comme Gandhi, la vivisection me fait horreur ! Et ceux qui le pratique ou l’accepte sont des sadiques et des pervers !

  • J’ai connu de près de très près la maladie,la mort de proches( soignés avec la médecine occidentale ) mais RIEN ne peut justifier que l’on prenne la vie d’êtres vivants non consentants. Si il s’agissait d’utiliser des enfants pour peut être en sauver d’autres, que diriez vous ? Je sais, l’humain s’est auto proclamé roi de la planète, donc en son nom tout est permis.
    Les humains doivent s’arranger entre humains consentants.

    Par ailleurs, savez vous combien de médicaments ont été mortels ? Combien sont enlevés du commerce à cause de leur nocivité ?

    Je vous donne le lien d’Antidote. Peut être que cela vous donnera un autre regard. http://www.antidote-europe.org/
    Mon propos à moi est d’ordre éthique. Comme l’a dit le philosophe Bertrand Vergely : On ne doit pas donner la souffrance à quelqu’un pour l’enlever à quelqu’un d’autre.

    Alors, il est temps de s’interroger sur QUI sont les animaux.

  • "L’industrie pharmaceutique a en revanche salué le résultat du vote."

    L’enseignement à retenir est sans doute qu’il nous reste beaucoup de chemin à faire pour contrecarrer les moyens d’influence dont disposent les industries utilisant les animaux. Mais il ne faut pas désespérer d’y arriver.

    Ce vote est décevant. A cause de lui, les animaux vont payer un prix atroce dans les années qui viennent.

    Mais il ne faut pas sous-estimer pour autant le progrès que constitue l’interdiction d’importation des produits dérivées des phoques : l’Europe refuse un type d’importations en le justifiant par des raisons éthiques relatives au bien des animaux. Certes, ce n’est pas fini, le Canada va peut-être tenter un recours auprès de l’OMC... Il n’empêche que ces interdictions d’importation (des peaux de chiens et chat, des produits de la chasse aux phoques...) posent des jalons très précieux. Imaginez ce que ça donnerait si les pays étrangers interdisaient l’importation de notre foie gras national, si on admettait comme n’étant pas une entorse au principe de libre-échange qu’un pays interdise l’importation de produits d’élevages en batterie, etc.

    • @Estiva,

      Je ne crois pas que l’Europe a voté cette loi pour le bien des animaux, mais elle l’a fait pour se donner une belle image afin de pouvoir faire passer le reste. Si c’était uniquement pour le bien des animaux, il n’y aurait pas eu de dérogations , en particulier celle du "transit par l’ Europe" . Si les députés étaient soucieux du bien être des animaux, ils n’auraient pas voté en "faveur" de la vivisection, mais en faveur des méthodes alternatives. L’expérimentation ne va faire que s’amplifier, c’est ça la réalité .Le massacre des phoques a "ému" le monde entier. La "torture" dans les labos c’est caché . Le public ne sait pas ce qui se passe dans les labos, et la majorité des gens ne veut pas savoir, comme elle ne veut pas savoir ce qui se passe dans les abattoirs laics et rituels.
      Je suis désolée, mais je ne crois ABSOLUMENT pas dans l’empathie des politiques envers les animaux.
      Cette décision en est une preuve flagrante, tout comme celle qui concerne les "méthodes d’abattages" .
      Pour moi la torture est ce qui enlève tout sens au mot "humain" . et ces députés sont complices de ces tortures perpétrées sur ceux qui ne peuvent s’opposer.
      Aujourd’hui plus que jamais je méprise ce monde politique , et si il n’y avait pas eu une telle mobilisation citoyenne contre la chasse aux phoques, il est évident que ces députés n’auraient pas voté dans ce sens .
      Je ne fais pas un procès d’intention, je suis lucide .
      Ce vote majoritaire en faveur de la vivisection est une tragédie pour les millions d’animaux qui vont subir des tortures plus ignobles les unes que les autres .

  • Le Parlement européen manque de cohérence, c’est le moins qu’on puisse dire. Un bon point pour les phoques et l’interdiction des produits dérivés du phoque, mais un très mauvais point pour les animaux de labos.

    La décision qui vient d’être prise est simplement scandaleuse. La législation qui était en vigueur depuis 20 ans au moins était loin d’être parfaite. Mais là, on revient 40 ans en arrière. C’est effroyable comment le lobby pharmaceutique aura réussi à affaiblir cette législation visant à protéger les animaux de labos.
    Je rappelle ces points concernant la nouvelle proposition de loi qui vient d’être votée à 540 voix contre 66 et 34 abstentions :

    Il n’y a plus d’agenda pour progressivement mettre fin aux expériences sur les primates, les chats et les chiens (10000 singes sont utilisés en Europe).

    Il n’y plus de projet sur la table pour interdire sans exception l’utilisation des animaux capturés à l’état sauvage.

    La loi prévoit des conditions moins strictes et des contrôles moins rigoureux en ce qui concerne le type d’expérimentation possible, pour limiter la bureaucratie. Il sera possible de ne pas justifier des expériences et il sera possible pour les chercheurs d’utiliser plusieurs fois le même animal.

    Les cellules humaines et embryons surnuméraires ne sont pas considérés comme des alternatives. C’est un non-sens scientifique puisqu’on sait que les tissus humains justement permettent d’améliorer la recherche. Entre une cellule de rat et celle d’un humain, il y a des différences et je préfère que les drogues et les produits chimiques soient testés sur du tissu humain. C’est un peu logique. C’est une abérration scientifique qui traduit un jugement moral de la part des députés pour épargner les sensibilités de ceux qui considèrent que le tissu humain est sacré ou a une dignité propre. J’ai moi-même travaillé sur des cellules humaines foetales.

    Bref les chercheurs auront un cadre de travail moins strict (il ne l’était pas tant que cela avant) par souci de compétitivité avec des pays qui ont des législations moins contraignantes (Asie, Amérique du nord).

    Les députés n’ont pas tenu compte de l’opinion du public européen :
    En Angleterre, la France, l’Allemagne, la Suède, l’Italie et République tchèque, 81% des gens s’opposent aux expérimentations sur les primates qui causent des souffrances.

    Maintenant pour ceux qui défendent les tests sur les animaux...Je voudrais dire que du point de vue éthique, le fait de contraindre sans limitations (ce qui est le cas) des êtres sensibles dans des procédures qui nuisent gravement à leur santé, à leur bien-être pour le bénéfice d’un autre groupe est simplement immoral. Les philosophes des droits des animaux (Tom Regan en particulier) ont clos ce débat.

    Pour les questions scientifiques et politiques, la société refusent de considérer les animaux comme porteur d’un droit au respect et à la vie et donc justifie l’utilisation quasi inconditionnelle des animaux en
    partant du principe que les animaux de labos sont des modèles fiables qui permettent de sauver des vies humaines. Il y a beaucoup à débattre là-dessus. Pour ma part, je ne pense pas que les 12 millions d’animaux tués sont nécessaires à l’avancement des sciences. Beaucoup de recherche ne mène à rien.
    Je laisse à ceux et celles qui le veulent le loisir d’aller visiter quelques sites d’information pour qu’ils aient les preuves scientifiques de l’invalidité de l’expérimentation animale :

    http://www.cah-research.com/Primate_Research_Center_in_Laval_Critique_FINAL_fr.pdf

    Le site d’Antidote Europe est formidable

    http://www.curedisease.net/

    http://david-ruffieux.over-blog.fr/article-29632386.html

    • TOUT EST DIT !!!
      Merci à Michèle Scharapan pour avoir initié ce débat et à David Ruffieux pour avoir fait en sorte qu’il n’y ait plus rien à ajouter après son passage.
      Et merci à Antidote...d’exister.

    • moi je vais résumer ce que je pense et applique, les animaux ont droit au respect de la vie et nous les "humains" bien pensant ne devons pas y déroger sous quelque forme que ce soit, c’est tout !

    • Oui merci d’avoir donné cette information.
      Les médias sont restées bien silencieux sur ce sujet . Tous les communiqués de presse ont écrit sur la grandeur des européens à avoir voté non aux produits issus du phoque ( sans trop s’attarder sur les dérogations qui ne sont pourtant pas à leur honneur .)
      12 millions d’animaux utilisés chaque année pour toutes sortes d’expérimentations est en effet scandaleux, et avec REACH cela ne va que s’amplifier.
      Il y a parait-il un "comité d’éthique". On peut se demander à quoi il sert. Le mot éthique est un laissé passer de premier ordre.
      Merci d’avoir mis cette information sur la place publique,même si celle ci amoindrie l’euphorie qui semble règner au sein de nombreuses associations qui se féliciteznt, comme le font d’ailleurs les politiques.
      Il faut agir contre l’expérimentation et pas seulement avec les mots.

  • Je suis toujours étonnée lorsqu’ on prétend parler de « société civilisée ».La barbarie n’a pas reculé d’un pouce depuis la nuit des temps,pour exemple,cet argument communément admis selon lequel un accès plus rapide à la mise en place de nouveaux traitements ou l"utilité"des expériences justifieraient toutes les tortures et les conditions de vie et de mort atroces et absolument effroyables que l’on fait subir à nos frères qui ne peuvent s’exprimer.. Le summum de la honte ( et de la nausée)est atteint lorsque les chercheurs invoquent la similitude de physiologie animale et humaine pour justifier leur activité criminelle et institutionnalisée.Or s’il y a similitude dans la physiologie,n’y aurait il donc pas similitude dans la réaction à la douleur ?

    Qu’attendre de nos députés ? Rien.A part un soulèvement massif de l’opinion publique qui pour l’instant, préfère en rester à son egoïsme aveugle et confortable,rien ne saurait préserver nos députés de l’obscénité,de la barbarie commune, et de l’injure faite à l’éthique .

  • Ie voudrais également attirer votre attention sur les animaux torturés pour l’école et l’université.
    Par exemple en psycho,on doit faire psychophysio, et on doit injecter des produits, électrocuter, parfois noyer, des animaux. Lors de la pratique de psy il n’y a jamais aucun rapport entre ces tortures et son boulot sinon en un point : ceux qui ont accepté de le faire(pas moi, seule ds des amphis de 200 personnes) ceux ci peuvent se connaître comme ayant des dons pour l’obéissance à tout régime de type nazi. Voilà ce que vous allez voir quand vous consultez un psy. Par éthique, il faut donc demander à ce que les animaux ne soient plus utilisés dans l’éducation nationale, y compris comme "joujoux" en cage, genre hamster etc.

    • En Italie l’Objection de conscience est un droit, et un devoir pour les directeurs d’ Universités d’en informer les étudiants . L’Objection de conscience en Italie ne se limite pas aux Universités. Les médecins, ont le droit eux aussi de refuser l’expérimentation sur les animaux . En France, , ce droit n’existe pas. Pourquoi ? Parce qu’à long terme cela pourrait nuire à l’industrie ?
      Toujours est-il que les étudiants français n’ont pas le droit de refuser de torturer les animaux.

  • PLUS FACILE DE TORTURER DES ËTRES VIVANTS ET SENSIBLES DANS LES SOUS SOLS DES LABOS COMPLICES ET SANS AMES QUE DE DEBLOQUER DES FONDS ET SE CREUSER LA CERVELLE POUR SE TOURNER VERS DES METHODES MOINS BARBARES.

    L’HUMAIN EST UN ANIMAL "RATE"

  • C’est répugnant !
    Personnellement je suis atteinte d’un cancer (récidive), je suis consciente du fait qu’en acceptant de suivre la chimio, je serai hipothétiquement soignée, mais surtout que je deviens consomatrice (non payante, c’est l’argent publique qui est dilapidé à flot) car ma maladie sert surtout à enrichir les labos super-puissants dont je ne causionne pas du tout les pratiques et le business médical.
    Je vis celà trés mal, bien plus mal que le cancer lui même. D’ailleur ce même cancer, étant donné que j’ai un mode de vie assez sain, n’est-il pas lui même dus à l’avidité des chimiquiers qui polluent la planete et ses habitants ?
    Il ne faut pas etre dupes, la recherche et la médecine de nos jours c’est avant tout un énorme business, des lobbies sont prets à tout (et encore on en ignore beaucoup) pour amasser de l’argent et piétiner toute éthique.
    Faire souffrir des millions d’animaux ne leur cause aucun scrupule, il considèrent le débat d’un air autain et cynique, et la cause médicale a bon dos. Des alternativent existent aux expériences animales, de plus celle-ci n’empèche pas des produits nocifs d’optenir l’AMM si le labo a les moyens.
    Malheureusement il n’existe aucune transparence qui permette au malade d’accepter ou de refuser un produit selon que des animaux ait été torturés pour sa mise sur le marché. Pour ma part mon choix serait sans appel et je refuserai le produit, ne serait-ce que par conviction. D’ailleur je commence à douter du bien fondé des chimios pour le malade lui-même.
    L’arrogance et l’égoisme de l’espèce humaine qui s’autorise le massacre et la souffrance des autres espèces pour son bien etre est répugnante. N’oublions pas que ces expériences animales s’appliquent également aux produits superficiels comme le maquillage. Quant à prétexter les pratiques des autres continents pour se justifier, depuis quand s’aligne t-on sur sur le pire pour s’autoriser le crime ? C’est amoral. La communauté européeenne est à la botte des lobbies, les décisionnaires ont certainement des interets personnels divers plus motivants que la justice et la justesse.