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Pour la libération de Simona Pari et Simona Torretta

Publie le lundi 13 septembre 2004 par Open-Publishing

Nous, le mouvement italien pour la paix, frères et soeurs de Simona Pari et de Simona Torretta, opératrices de paix en Iraq, demandons aux personnes qui les détiennent ensemble aux deux opérateurs irakiens, Ra’à Alì abdul- Aziz et Mahnaz Bassam, de les libérer au plus vite.

Nous vous demandons de considérer combien de dommage vous allez provoquer à la cause de la paix et à celle-là du peuple irakien. Comme il a écrit l’Unione des comunnautés islamiques en Italie, « donnez-vous témoignage d’une dette de reconnaissance vis-à-vis de personnes qui ont partagé la souffrance du peuple irakien dans les ans de l’embargo, qui sont restées dans le pays lorsque du ciel pleuvaient les bombes, elles ne l’ont abandonné même pas dans ces mois horribles de confusion et de violence. »

Nous vous demandons de ne pas casser le brin de solidarieté que, malgré et contre l’embargue d’abord et la guerre ensuite, malgré et contre les choix de notre gouvernement, personnes comme nos soeurs ont maintenu tenacement et courageusement, par exemple en réapprovisionnant d’eau la population assiégée de Falluja et de Najaf.

« Un pont pour », leur Ong, ensemble à des centaines d’organisations sociales et politiques de notre pays, a organisé des gigantesques manifestations en faveur de la paix et pour le retrait des troupes étrangères de l’Iraq, et a cherché de ne pas abandonner les irakiens à l’abus de l’occupation militaire. Au nom de cette bataille et de la vérité, nous vous prions : libérez-les au plus vite.

Au peuple irakien et à tous les amants de la paix dans le monde et en Italie, nous demandons de nous aider dans le tentative de sauver la vie de Simona Pari, de Simona Torretta, de Ra’à Alì abdul- Aziz, de Mahnaz Bassam. Ils et elles etaient à Baghdad au nom de nous tous. Nous sommes dans leur prison même, aujourd’hui.

Leur libération serait une luer de lumière dans le sombre de la violence. Encore dans ces heures, dans beaucoup de villes irakiennes, la guerre fauche des victimes innocentes. Nous continuons donc à demander avec fermeté que à parler ne soyent plus les armes, que l’occupation termine.

Chaque forme de mobilisation, de pression, les appels et les défilés aux flambeaux, les messages aux respectifs gouvernements sont les moyens dont nous disposons, nous, le peuple de la paix. Employons tous ces moyens, maintenant. Au mouvement italien nous demandons de descendre dans le rue, dans chaque ville, au plus vite, avec les couleurs de l’arc-en-ciel et au nom de nos soeurs et de nos frères séquestrés en Iraq.

Il Comitato italiano Fermiamo la guerra, organizzatore delle marce del 15 febbraio 2003 e del 20 marzo 2004 Un ponte per Baghdad