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la nouvelle bande des quatre

Publie le samedi 12 décembre 2009 par Open-Publishing
6 commentaires

FAISONS APPLIQUER NOS STATUTS à
Suite à l’officialisation de leur présence sur la liste de Frêche EN LANGUEDOC-ROUSSILLON...!

 CHAPITRE V - Les élu-e-s communistes (extraits)
18. Les candidatures :
18.2. Les communistes élaborent les projets de candidatures dans l’instance correspondant à la circonscription électorale concernée en liaison avec les instances qu’elle regroupe : (..)
conférence régionale pour l’élection régionale, (..)

18.3. Dans l’instance concernée, le bulletin de vote présentant le projet de candidatures est adopté par les adhérents ou leurs délégués. Tous les efforts sont faits pour aboutir à un projet de candidatures où se retrouve la très grande majorité des adhérents ou de leurs délégués. Malgré cela, si d’autres candidatures sont maintenues, elles sont également soumises au vote. Celles qui reçoivent le plus de voix sont retenues. Les adhérents de la circonscription électorale concernée se prononcent alors individuellement, directement, à bulletin secret, sur le projet de candidatures. Il est définitivement adopté s’il recueille une majorité des suffrages exprimés.
Au bout de ce processus, seules les candidatures ainsi désignées sont celles qui peuvent se prévaloir de l’investiture du Parti.


En cas de maintien d’un-e autre candidat-e, les instances du Parti concernées peuvent suspendre les droits de cet adhérent, de cette adhérente.

Messages

  • Tout le monde s’y attendait. Ils l ’ont officiellement annoncé hier en fin d’après-midi à Montpellier : les vice-présidents communistes sortants du conseil régional ne rejoindront pas le Front de gauche pour les élections régionales de mars 2010. L’Audois Henry Garino, les Héraultais Jean-Claude Gayssot, et Josiane Collerais, le Gardois Jean-Paul Boré, ainsi que la conseillère régionale chevènementiste Béatrice Négrier (MRC) font donc fi des consignes nationales et du plébiscite des militants communistes du Languedoc-Roussillon qui ont décidé, à 87,8 %, de s’allier avec le Front
    de gauche au premier tour.

    "Nous sommes en désaccord avec la stratégie du parti communiste et nous ne l’avons jamais caché, expliquait hier Henry Garino. Le PC refuse l’union avec toutes les forces de gauche et la majorité sortante. C’est pourquoi nous avons décidé de repartir avec les socialistes et Georges Frêche".

    "Pas dans le camp des diviseurs" Même s’ils n’excusent pas les propos tenus par Georges Frêche, Henry Garino et ses camarades, en responsabilité à la Région depuis 2004, considèrent que ce rejet de l’équipe sortante "diabolise un projet régional efficace et avilit le bilan de celles et ceux qui ont contribué à la rupture avec la droite et l’extrême droite en Languedoc-Roussillon".

    L’élu audois poursuit : "Nous considérons que le danger du retour de la droite et de l’extrême droite est réel et que la division n’est pas une bonne chose. On ne peut pas laisser la liste Couderc arriver en tête au premier tour. Or ce refus sectaire de l’union ne peut que conduire à ça. En ce qui nous concerne, nous ne serons pas dans le camp des diviseurs". Mais pour suivre l’équipe socialiste et Georges Frêche, avec lesquels ils ont travaillé pendant cinq ans, les élus communistes sortants posent quelques conditions. "Nous demandons l’élaboration d’un projet commun avec le PS et toutes les forces de gauche en présence sur la liste, précise notamment Henry Garino. Nous exigeons la garantie d’avoir les moyens financiers et humains de mener à bien ce projet et l’assurance d’un travail collectif. Enfin, nous refusons toute hégémonie de qui que ce soit".

    Sur les listes PS départementales Des points que les quatre dissidents communistes et leur collègue du MRC doivent encore éclaircir avec les socialistes, ce qui ne devrait pas poser problème puisque le PS leur a gardé des places, au cas où. "Nous allons discuter avec nos listes socialistes départementales respectives pour finaliser les engagements". Et en ce qui concerne leur avenir au sein même de leur parti, les élus communistes se veulent rassurants. "On ne pourra pas se revendiquer du PC, mais personne ne pourra jamais m’enlever ma qualité de communiste, assure Henry Garino. Nous ne sommes pas d’accord avec les instances nationales et régionales et nous l’assumons. Mais nous restons communistes. Leur choix n’est pas adapté à une élection locale. Aux municipales de Carcassonne, nous avons fait la démonstration que l’union dès le premier tour est le moyen de vaincre la droite".

    Séverine Troucat

    http://www.lindependant.com/articles/2009-12-12/regionales-les-vice-presidents-communistes-avec-georges-freche-93669.php

  • COMMUNIQUE DE PRESSE REGIONAL DES SECRETAIRES FEDERAUX DU PCF DU LANGUEDOC-ROUSSILLON
    du 12 décembre 2009
    Les secrétaires départementaux du PCF en Languedoc-Roussillon prennent acte de la décision des quatre élu-es du conseil régional : Jean Claude Gayssot, Henri Garino, Josiane Collerais, Jean Paul Borè de se mettre à disposition de Georges Frèche pour les élections régionales de 2010 dès le premier tour. Ils avaient affirmé depuis un certain temps leurs désaccords avec la stratégie de notre parti, ils le confirment aujourd’hui.
    Le choix de ces 4 élus sortants leur est personnel et n’engagent pas le PCF dont la grande majorité des adhérents a émis un vote interne très clair ; 87% en faveur du Front de Gauche dès le premier tour.
    En ce qui nous concerne et conformément au vote des communistes dans notre région nous mettons tout en œuvre pour faire vivre et gagner la construction d’un large rassemblement de la gauche de transformation sociale pour battre la droite, pour faire de notre région un pôle de résistance aux logiques financières qui nous ont conduit à la crise, une région à l’initiative et à l’action pour promouvoir d’autres logiques économiques, sociales, écologiques, une région qui soit un exemple de démocratie et de citoyenneté.

    Amandine Carrazoni secrétaire départementale de l’Aude

    Martine Gayraud secrétaire départementale du Gard

    Jean-louis Bousquet secrétaire départemental de l’Hérault

    Nicolas Garcia secrétaire départemental des Pyrénées orientales

  • Choisir une belle anguille bien Fraîche, qui pour être bonne, sera soumise à un traitement barbare : elle sera écorchée vivante. Pour atténuer les souffrances de la bête, il convient de la saisir par la queue avec un torchon, pour éviter qu’elle ne glisse. Monsieur le ministre de la culture, grand spécialiste de l’anguille, surtout des espèces asiatiques, préfère se passer de torchon. Les femmes, quant à elles, ont ce sens inné qui les exonère d’avoir recours à un tel accessoire. Il faut ensuite frapper violemment la tête de notre pauvre poisson sur un coin de table, afin de l’étourdir. Si de telles manières de bouchers prussiens, reconvertis dans les interrogatoires poussés, mais néanmoins nécessaires pour la sécurité de l’Etat, vous rebutent, vous pouvez toujours essayer de lire à notre cher animal, quelques lignes du dernier livre de Giscard d’Estaing. Cette opération vous prendra plus de temps, au risque de vous endormir vous-même, mais au final, le résultat sera le même.
    Quand la bête sommeille, il vous suffit d’inciser la peau autour de la tête, de dégager les morceaux de peau et de les rabattre le long du corps, à l’aide du torchon qui enveloppe toujours la main, jusqu’au bout de la queue. Si vous, Monsieur, ne comprenez pas, demandez à votre épouse de vous expliquer, ou bien lisez les mémoires de Monsieur le Ministre, truffées d’anecdotes et de bonnes recettes exotiques. Videz soigneusement l’anguille, supprimez les nageoires, le sang coagulé à l’arête dorsale et lavez à grande eau, l’emploi du Karcher, étant, pour le cas présent, purement facultatif.
    Tronçonnez en plusieurs morceaux de 7 à 9 centimètres. Monsieur le Ministre, homme courtois et raffiné, mais néanmoins exigeant, préfère tailler à 14,5. Certaines femmes, très gourmandes, n’hésitent pas à couper à 24. Ce qui compte, c’est que chaque convive puisse se délecter d’un bon morceau, à la taille qui lui convient.
    Prenez un plat à sauter et le beurrer grassement, comme un gros entrepreneur de travaux publics, qui veut décrocher un important contrat, sait si bien le faire avec les instances supérieures de votre municipalité. Tapissez le plat d’une couche d’oignons et de carottes en rondelles. Etuvez 20 minutes, doucement et à couvert, toujours en suivant l’exemple de notre gros entrepreneur. Rangez les morceaux d’anguille salés et poivrés et mouillez à hauteur avec un bon vin rouge. Laissez bouillir, comme Frédéric Lefebvre sait si bien le faire avec l’opposition, sitôt qu’il ouvre la bouche, puis laissez mijoter lentement, comme François Mitterrand savait si bien le faire avec certains de ses premiers ministres, pendant 20 minutes. Enlevez les morceaux d’anguille et les réserver. Dans une autre sauteuse, versez la sauce de cuisson filtrée à la passoire fine. On peut à loisir, rajouter des petits oignons blancs, blondis et glacés, comme les rapports entre Martine et Ségolène.
    Pour finir, on lie la sauce avec du beurre manié, on rajoute les morceaux d’anguille, que l’on roule délicatement dans la sauce pour bien les enrober, ainsi qu’a su si bien le faire notre cher président de la République, lors de sa brillante campagne électorale de 2007. Servir le tout bien chaud, bien fumant, comme un discours de notre cher président de Région Languedoc Roussillon, sur la versatilité et les facultés intellectuelles de ses propres électeurs, avec des croûtons de pain dorés à l’huile et bien croustillants, comme les détails rapportés par une presse honteuse sur les habitudes comportementales de notre cher président du Fonds monétaire international.
    Pour conclure, laissez moi proposer une variante, à l’intention de nos amis élus socialistes du Languedoc Roussillon, ou qui prétendent en être.
    S’il ne vous est pas aisé, voire impossible de vous fournir en anguilles, vous pouvez aisément remplacer ces dernières par des couleuvres, de la même taille que celles que vous avalez depuis cinq ans, et que vous continuerez de déguster, au moins jusqu’aux prochaines élections régionales. Grâce à cette recette, le goût vous en paraîtra moins fade et surtout moins amer. Afin de varier les plaisirs, vous pouvez accommoder les couleuvres avec une sauce très pimentée, comme celle que consomment les noirs de l’équipe de France de football, avant un match. Le seul problème peut être l’apparition d’hémorroïdes, pour les plus sensibles d’entre vous. Mais, me direz vous, entre une hémorroïde et un socialiste, il n’y a pas beaucoup de différence : Ils sortent tous les deux du corps en saignant (enseignant).
    Enfin, permettez moi de vous souhaiter un bon Appétit, et je ne peux que vous conseiller de bien vous couvrir, jusqu’au mois de mars prochain, afin de ne pas attraper froid cet hiver. Les températures risquent en effet d’être très Fraîches !!!
    Le Lutin qui lutte

  • Les traitres de la classe ouvrière ont encore de beaux restes en LR .

  • je ne comprend pas votre colère..Il faut se mettre à leurs places..Vous n’avez jamais connu, vous, ce que c’est que d’être invité trés régulièrement à de grands voyages(chine usa maroc etc..)pour inaugurer des maisons de la région bidons,de loger dans des palaces,dêtre invité à toutes les corridas du sud de la France à des parties de chasse où de pêche entre gens de bonne compagnie ,d’avoir car il faut bien vivre des revenus confortables et une cour de pauvres militants qui gobent tout ce que vous leur dites,c’est magnifique.. Alors que des jaloux au sein des fédérations essaient de nous gacher, dès cet été, cette vie là.NON NON et NON...Il parait que certains militants rappelent notre passé de "communistes".C’était il y a très longtemps à l’époque où nous préparions notre reconvertion,parfaitement réussie d’ailleurs.
    Allez du courage,entre les reniements récents sur l’union avec le NPA,et la piteuse déclaration des 1 er secrétaires je n’ai effectivement rien de commun avec ces gens là,même s’ils pretendent être des communistes,oui mais de la "saque" comme on disait dans les Cèvennes...gr