Accueil > PUJADAS ET LA CENSURE D’ETAT !

PUJADAS ET LA CENSURE D’ETAT !

Publie le mardi 29 décembre 2009 par Open-Publishing
3 commentaires

Pujadas est un journaliste professionnel ! il est sans doute mal informé
de ce qui se passe en Egypte ! les zélés commentateurs du ministère des
affaires étrangères ont oublié de lui téléphoner, merci Mr Sarkozy pour la libération de deux femmes accusées de transporter de la drogue, un petit coup d’éclairage sur l’Iran, mais la marche internationale pour la libération
de Gaza, connais pas ! Et bien Mr PUJADAS, vous êtes maintenant officiellement du même type de journaliste que sous Staline, Pinochet et autre dictateur, c’est à dire complice de crimes contre l’humanité ! regardez vos chaussures, Mr PUJADAS, vous ne méritez que mépris et humiliations !
vous êtes une honte pour le service public que vous êtes censés représenter et vous salissez de nouveau votre profession !

Messages

  • Dans le genre pourri jusqu’à l’os, je suis tombé hier matin sur LCP sur une discussion entre JM Colombani et R Dhély consacrée à Besancenot.

    On sait que les journalistes sont des chiens de garde, mais là la ligne rouge a été largement franchie et les mensonges ont dépassé l’entendement. Au point que je me demande si une action en justice ne serait pas envisageable (j’espère que la direction du NPA a vu cet étron).

    Dhély a bien sûr fait son numéro : OB allié de Sarkozy, utilisant les mêmes méthodes etc. Bon, on est habitué, il est dans son rôle de chien de garde de la bourgeoisie. Et il cherche à vendre son livre, c’est humain...

    En revanche, les 2 pourris ont ensuite affirmé :

    1) qu’OB avait soutenu l’action des Black block lors de la manifestation anti-Otan de Strasbourg,

    2) qu’OB n’avait jamais condamné les méthodes d’Action directe.

    On a du mal à croire que de tels mensonges puissent être proférés devant des caméras... Par des journalistes... Ils n’ont pas le moindre sens de l’éthique, ni même de l’honneur.

    Chico

  • la plus infâme des censures, c’est celle pratiquée par des rédactions stipendiées et mercenaires, aux ordres de la tyrannie