Bilderberg, Trilatérale et transversalité de « gauche »
8 avril 2010, 13:40, par Jak
Ne nous y trompons pas, Valls dirigeant national du PS, hyper présent dans les médias depuis une semaine, vient nous vendre une nouvelle fois "le modernisme" des sociaux-libéraux.
Il se dit, entre autre, opposé à l’ISF et pour une union nationale (sacrée) sur le dossier des retraites au détriment des travailleurs puisqu’il envisage l’allongement des annuités et la remise en cause de l’âge de départ.
Il est présenté comme "l’aile droite du PS" sans qu’il relève ou minore cette présentation.
Son parti le laisse effectivement s’exprimer avec bienveillance sans jamais remettre en question ses prises de positions droitières.
Alors, Valls, au-delà de ses ambitions nationales, ne serait-il pas le ballon d’essai du PS, chargé d’avaliser les thèses sociales-libérales et les rendre compatibles avec celles de Sarkozy, sans trop de casse pour 2012 ?
Si les travailleurs refusent d’avaler ces trop grosses couleuvres, le PS peut toujours marquer sa différence avec Valls et le marginaliser.
Dans le cas contraire, c’est tout bon pour Valls sur le plan perso, et c’est également tout bon pour le PS qui prépare l’électorat de 2012 à ne pas trop rêver, et donne ainsi des gages à la bourgeoisie.
DSK, absent, ne pouvant pas faire le boulot, Valls s’y colle.
Ah, j’oubliais, Valls comme le PS et les directions syndicales, est très attaché à la prise en compte de la "pénibilité du travail dans la réforme des retraites", un des deux ou trois thèmes qui justifient l’union sacrée en faveur de la réforme.
Sale temps en perspective pour nous tous, si on ne réagit pas...
Ne nous y trompons pas, Valls dirigeant national du PS, hyper présent dans les médias depuis une semaine, vient nous vendre une nouvelle fois "le modernisme" des sociaux-libéraux.
Il se dit, entre autre, opposé à l’ISF et pour une union nationale (sacrée) sur le dossier des retraites au détriment des travailleurs puisqu’il envisage l’allongement des annuités et la remise en cause de l’âge de départ.
Il est présenté comme "l’aile droite du PS" sans qu’il relève ou minore cette présentation.
Son parti le laisse effectivement s’exprimer avec bienveillance sans jamais remettre en question ses prises de positions droitières.
Alors, Valls, au-delà de ses ambitions nationales, ne serait-il pas le ballon d’essai du PS, chargé d’avaliser les thèses sociales-libérales et les rendre compatibles avec celles de Sarkozy, sans trop de casse pour 2012 ?
Si les travailleurs refusent d’avaler ces trop grosses couleuvres, le PS peut toujours marquer sa différence avec Valls et le marginaliser.
Dans le cas contraire, c’est tout bon pour Valls sur le plan perso, et c’est également tout bon pour le PS qui prépare l’électorat de 2012 à ne pas trop rêver, et donne ainsi des gages à la bourgeoisie.
DSK, absent, ne pouvant pas faire le boulot, Valls s’y colle.
Ah, j’oubliais, Valls comme le PS et les directions syndicales, est très attaché à la prise en compte de la "pénibilité du travail dans la réforme des retraites", un des deux ou trois thèmes qui justifient l’union sacrée en faveur de la réforme.
Sale temps en perspective pour nous tous, si on ne réagit pas...
Jak