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SOUS PEINE DE MORT : la lutte idéologique et politique, à mener d’urgence contre la réaction fascisante

12 juin 2010, 05:49, par nico du 46

salut

je suis de retour. C’est un article qui marche bien. Combien de temps peut-il rester sur la page principale ? Ca ça serait interressant, messieurs les webmestres.

J’ai parcouru nos réponses. Elles sont acceptables. Mais c’est vrai qu’elles sont trés personnalisées comme à l’accoutumé.

Et oui : "ne nous touche que ce que l’on voit".

Moi même, je n’arrive pas à tout voir ; cela serait prétentieux de ma part. A vrai dire le theme est trés bien mais lorsqu’il sagit de palabrer sur certains sujets d’actualité, là, je décroche.Pourquoi ?

non pas parceque je ne connais pas le sujet ou parceque cela ne m’interresse pas bien au contraire.

Le probleme reside dans nos démocraties, on nous a souvent laissé penser que l’idée devait et pouvait être debattue sans fin : le jeu de paume ; la droite et la gauche. C’est faux. une idée, un débat : daccord. Une idée qui s’améliore : daccord. Mais une idée qui continue dans le pessimisme et la désinformation : non et non. Ce que l’on cherche dans le débat, c’est bien une solution et, pourtant, il y en a peu qui en propose.

Nous assistons à une mutitude de débat sans sens, sans objectifs. Comme si d’un commun accord, on s’était mi à parler en se disant je vais dire à l’autre ce que je sais, peut être sera t’il sur la meme longueur d ondes.

On nous fait participer à des debats. La réalité est de mise. Le débat n’est pas ouvert. Il est orienté. Les problèmes de sociétés sont les mêmes que ceux observés en grece durant l’antiquité. Nous appelions cela la philosophie.

Groso modo, il y a bien une solution :

Donner le pouvoir aux scientifiques une bonne fois pour toutes. Ils peuvent changer la donne et de surcroît ils sont bien plus intelligents que la moyenne. Je pense à un(e) mathématicien(e), à un(e) astrophysicien(e), à un(e) philosophe.Nous n’aurons bientôt plus le choix, du moins j’espere que l’on ous le laissera encore (cf liberté en danger ou sous surveillance) :

nous sommes tellement à l’écoute que la haute classe est obligée d’utiliser des codes pour se faire comprendre d’entres leurs semblables et cela en public.

Parfois même, devant des tribunaux, lorsqu’ils decident de s’attaquer entre eux et que le journaleux tente de décrypter à souhait pour le grand public, sans devoir heurter, sans avancer d’hypothèses qui le mettraient en danger à son tour . Mais quel danger ?

Y a t’il danger à parler sur une personne qui se dit assumer son rôle ?

Voici la preuve en quelques lignes. Je viens de vous faire une démonstration.

C’est à dire : la démocratie à des limites mais quelles limites ? qui les fixent et pour qui ? et surtout dans quel but ? Des questions auxquelles on a du mal à répondre et pourtant.

Au debut : c’est ce que nous cherchions. Rappel de mon hypothèse sur le débat. Il n’y a pas de débat que le débat orienté.

Maintenant, lorsque vous disiez "non, ce n’est pas vrai, le débat n’est pas orienté ; il est une suite d’idées, il a l’avantage de progresser dans le temps."

Alors nous pouvons dire que si le debat est orienté vers le public donc choisi également mais il doit aussi être opportun sans quoi le journaliste pourrait avoir des problèmes et serait accuser en diffamations.

Certaines barrières encore incomprises aujourd’hui, font que, malgrès le temps, nous sommes impuissants faces à certaines hatitudes ou certains rangs d’acquisition. Le problème réside pour nous, communistes, semi-communistes, communard, anticapitaliste, anarchiste ; du fait que nous sommes des hommes de nature, de partage et remplis d’humanisme.

Face à ces scélérats, nous nous mutinerons entre nous. C’est une triste tragédie. Je combat le pessimisme mais il est de force à voir qu’il est bien pressant en France. Je suis moi aussi aller voir ailleurs dans d’autres pays, et, j’en tire un constat bien navrant. Aujourd’hui, à l’heure de l’Europe : les peuples ne sont tournés que vers leurs dirigeants et, ne comprennent pas qu’ils ne se tournent plus désormait que face à des montagnes administratives. C’est ce que l’on appelle noyer le poisson dans l’eau.

Il n’y a pas de democraties ou bien elles est deguisée et prennent à tour de rôle un visage un peu moins inquiétant.

Si vous croyez encore à cela, c’est que vous avez un sacré soucis de compréhension.
Nous rentrons dans une ère, un siècle d’affrontements intellectuels. La bataille sera dure. Nous n’avons que trés peu de temps, et je ne sais si nous tiendrons encore longtemps. La moitié d’entre nous se sont laissés tombés. Ils sont aujourd’hui marginaux, toxicomanes, ou chômeurs. Ils ont essayés de garder leur identité que la société leur a repris. La nature de l’homme si cher aux philosophes. Cette nature que l’on cherche a cacher. Faut-il avoir honte de soi pour devenir quelqu’un d’important ? a t’on encore le droit de se balader en 2cv ?

La guerre de l’image a fait ses preuves : nous sommes remplis de prejugés. Renier le fait que nous avons tous un chacun des préjugés serait renier le fait même de notre nature humaine actuelle fabriquée pour l’évolution.

Il n’est pas impossible que jamais nous ne retrouverons la nature humaine de jadis.

lumière est faite sur l’objet de l’évolution. C’est le soucis majeure. Il est bon d’évoluer mais pas sans limites. Après maintes réflexions, je m’apperçoit que l’homme cherche à être quelqu’un de bon, de juste mais qu’il n’y arrive pas parceque cela est aussi une partie de lui : l’erreur. On lui a dit l’erreur est humaine.

Cela remet en cause la confiance. La confiance est parti prenante du problème de société.