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Affaire WOERTH : COMBIEN de Bettencourt en France ? On veut les 3000 noms !

30 juin 2010, 02:29

Eh oui, évasions fiscales et fraudes à l’impôt. 40 milliards d’euros par an.

Même les petits bourgeois fraudent, dès qu’ils le peuvent. Il faut absolument se faire payer en liquide afin de n’avoir à déclarer que le minimum.

Dans le même registre, on pourrait parler de la privatisation de toutes les affaires juteuses appartenant à l’Etat par les "divers" hum gouvernement sucessifs de droite comme de G.

Saint Gobain, GDF, EDF, Les autoroutes, les banques, les compagnies d’assurance, toutes côtées en bourse et qui rapportent des dividendes bien juteux aux gros actionnaires.

http://membres.multimania.fr/jugefalcone/falcone.html

Cette machine infernale de l’endettement.

"La dette publique est aujourd’hui le prétexte d’une campagne visant à présenter la baisse des budgets sociaux et la réduction des effectifs de fonctionnaires comme inéluctables. La dette de l’Etat peut être réduite par un prélèvement fort sur les rentes d’Etat et les rentes du capital."

"Auparavant, l’État avait des facilités de trésorerie car la Banque de France pouvait lui accorder des découverts (bien qu’il les utilisait très peu). Le régime de ces concours était fixé par une loi du 21 décembre 1973, où le Trésor pouvait tirer jusqu’à 10,5 milliards de francs sans intérêt, plus 10 milliards supplémentaires aux taux du marché. C’est désormais impossible à cause de la loi du 4 août 1993, en application du Traité de Maastricht, qui interdit à la Banque de France d’accorder tout type de découvert au Trésor public ou à tout autre institutions publiques."

"la dette publique vient d’augmenter ! En effet, les taux d’intérêt étant indexés sur le taux du marché, et ces taux sont définis par un organisme « indépendant », (avec quand même beaucoup de conseillers et experts privés) la Banque Centrale Européenne (BCE). Or, la BCE vient d’augmenter ses taux directeurs et donc le service de la dette (qui rentre dans la dette globale). Il y aura, probablement, pour l’année prochaine encore des coupes budgétaires et d’autres privatisations. La BCE n’a aucune légitimité démocratique mais décide « rationnellement » d’aggraver les politiques d’austérités."

" ce mécanisme équivaut à redistribuer l’impôt à ceux qui ont la gracieuse bonté d’alimenter la trésorerie."