Du plâtre du Mexique au plâtre de Tunis : la France de Sarkozy, pays de peintres-plâtriers (zaz)
20 février 2011, 15:57
On ne sait toujours pas pourquoi le jeune ambassadeur Boillon s’est fâché tout bleu comme il l’a fait.
Certes une première question était embarrassante mais parfaitement prévisible : elle portait sur la "légèreté" supposée de MAM et le rôle comme au ralenti adopté par la France pendant la révolution de jasmin.
Une question finale fut enfin assez choqueusement nulle : elle portait cette fois sur "son jeune âge et sa capacité à agir bien". Mais bon y avait pas non plus là de quoi pour un homme normal vraiment fouetter son chat !
Ne pas savoir que le milieu médiatique est obligé de trouver "dans le champ volontiers débloquant" de quoi nourrir l’air environnant ou le papier enveloppant est un carence basique chez un plénipotentiaire.
Encore a-t-on en ce moment la chance de ne pas vivre sous de Gaulle, le général aurait apaisé la controverse à la lourde masse de dignité de la France pour trente ans sonnés.
On ne sait toujours pas pourquoi le jeune ambassadeur Boillon s’est fâché tout bleu comme il l’a fait.
Certes une première question était embarrassante mais parfaitement prévisible : elle portait sur la "légèreté" supposée de MAM et le rôle comme au ralenti adopté par la France pendant la révolution de jasmin.
Une question finale fut enfin assez choqueusement nulle : elle portait cette fois sur "son jeune âge et sa capacité à agir bien". Mais bon y avait pas non plus là de quoi pour un homme normal vraiment fouetter son chat !
Ne pas savoir que le milieu médiatique est obligé de trouver "dans le champ volontiers débloquant" de quoi nourrir l’air environnant ou le papier enveloppant est un carence basique chez un plénipotentiaire.
Encore a-t-on en ce moment la chance de ne pas vivre sous de Gaulle, le général aurait apaisé la controverse à la lourde masse de dignité de la France pour trente ans sonnés.