DSK-Gate. La solution finale de la "bombe A" (zaz)
2 novembre 2011, 10:33
De l’affaire Gregory à DSK, les procès au temps médiatique (Les Echos)
"Il y a quelques mois, l’affaire DSK engendrait les plus graves dérives du journalisme moderne et français."
"Il y a quelques mois, l’affaire DSK boostait les audiences et ventes des médias français : « + 55% pour Le Monde [édition papier] » ; « un record pour Le monde.fr » ; « un pic historique de visites pour Ouest France » ; « une hausse des ventes de 113 % […] pour Libération »1… Mais, ce que l’on retiendra, nous (l’opinion publique, les politiques et les médias…), sans doute et davantage, c’est sa capacité à avoir su, en un temps record, cristalliser les plus graves dérives du journalisme moderne et français.."
*****
–Bon ! tout de même il y en a un enfin pour poser clairement bien que timidement le problème. Mais il va sans doute falloir attendre assez longtemps le premier colloque crtitique important et résolu sur le sujet.
Il va falloir poser aussi le grande radicale et vaste question : la liberté de la presse est-elle encore démocratique ou est-elle devenue un vrai merdier nuisible ?
Nous sommes pour notre part, pour résoudre le problème, de plus en plus adeptes, je crois, de ce qu’on appelle élégamment "l’organisation par le bruit".
De l’affaire Gregory à DSK, les procès au temps médiatique (Les Echos)
"Il y a quelques mois, l’affaire DSK engendrait les plus graves dérives du journalisme moderne et français."
"Il y a quelques mois, l’affaire DSK boostait les audiences et ventes des médias français : « + 55% pour Le Monde [édition papier] » ; « un record pour Le monde.fr » ; « un pic historique de visites pour Ouest France » ; « une hausse des ventes de 113 % […] pour Libération »1… Mais, ce que l’on retiendra, nous (l’opinion publique, les politiques et les médias…), sans doute et davantage, c’est sa capacité à avoir su, en un temps record, cristalliser les plus graves dérives du journalisme moderne et français.."
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– Bon ! tout de même il y en a un enfin pour poser clairement bien que timidement le problème. Mais il va sans doute falloir attendre assez longtemps le premier colloque crtitique important et résolu sur le sujet.
Il va falloir poser aussi le grande radicale et vaste question : la liberté de la presse est-elle encore démocratique ou est-elle devenue un vrai merdier nuisible ?
Nous sommes pour notre part, pour résoudre le problème, de plus en plus adeptes, je crois, de ce qu’on appelle élégamment "l’organisation par le bruit".