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Purification idéologique en France

20 novembre 2011, 09:42, par Patrice Bardet

Cet article, je ne le soutiens vraiment pas !

Je le trouve plutôt malhonnête sur le fond

une nouvelle fois, l’exemple de François Asselineau est mal choisi, et le traitement n’est pas semblable

François Asselineau n’est pas un progressiste, mais quelqu’un de droite, nullement anticapitaliste ; sur son blog, donc

Après la dissolution de l’Assemblée Nationale en 1997, il rejoint l’Inspection des finances et se rapproche de Charles Pasqua lorsque celui-ci décide, en janvier 1999, de présenter une liste aux élections européennes de juin pour protester contre la ratification sans référendum du traité d’Amsterdam. Quelques mois plus tard, François Asselineau devient directeur chargé des affaires économiques et internationales au Conseil général des Hauts-de-Seine, présidé par Charles Pasqua, puis son directeur de cabinet de 2000 à 2004. Nicolas Sarkozy, qui devient Président du même Conseil général en avril 2004, l’écarte en le nommant Délégué général à l’intelligence économique à Bercy, poste qui sera vite supprimé parce que ses analyses, bien qu’irréfutables, ne sont pas les bienvenues.

François Asselineau, actuellement Inspecteur général des finances et professeur dans plusieurs écoles de commerce, s’est engagé en politique en 1999, en adhérant pour la première fois à un parti, le Rassemblement pour la France (RPF), dans lequel il espérait retrouver un renouveau du gaullisme. Membre du Bureau National, directeur des études et porte-parole de ce parti, François Asselineau est élu Conseiller de Paris en mars 2001 sur une liste qu’il conduisait dans le XIXe arrondissement (15,8% des voix au second tour, en triangulaire contre le candidat socialiste et contre le candidat RPR-UDF).

(...)
L’UPR invite en conséquence tous les Français de bonne volonté à se rassembler, en mettant provisoirement de côté le clivage droite/centre/gauche, le temps de récupérer, tous ensemble, la plénitude de notre souveraineté et de notre démocratie.


Je note une différence fondamentale

 entre persuader politiquement Radio Canuts de ne pas inviter François Asselineau à une émission : c’est parfaitement respectable et défendable de ne pas débattre avec des gens de droite

 et les menaces de violences explicites contre Michel Collon et la conférence au point que la CGT de la bourse du travail ait préféré annuler la conférence pour des questions de sécurité